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Communiqué n° 1999 : Sur le débat présidentiel et sur le vote du 7 mai

Communiqué n° 1999, jeudi 4 mai 2017
Sur le débat présidentiel et le vote du 7 mai

Le parti de l’in-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) estiment qu’à l’issue du débat présidentiel du 3 mai 2017 Mme Marine Le Pen, qui ne les a jamais représentés que très partiellement, et notamment lors de ce débat, a perdu pour ainsi dire toute chance de l’emporter dimanche, et n’a pas rendu très souhaitable, même, la perspective selon laquelle elle l’emporterait en effet. Paradoxalement ils ne voient dans cette situation peu satisfaisante, et presque désespérée, en tout cas désespérante, qu’une raison supplémentaire d’apporter leurs suffrages à cette candidate. Les belles âmes, en effet, ne sont plus exposées au risque plus ou moins imaginaire et péniblement surjoué d’un succès du Front national, vieux dragon de carton-pâte infiniment moins redoutable que le rutilant Léviathan cybernétique dont Emmanuel Macron est le nom, fabrique mondiale de l’homme remplaçable, siège du remplacisme global, usine de production de la Matière Humaine Indifférenciée (MHI) et bien sûr, s’agissant de la France et de l’Europe, administration centrale du Grand Remplacement. Il ne s’agit pas de voter pour Marine Le Pen mais contre Emmanuel Macron, dont la présidence, si elle se déroulait selon ses vœux, serait fatale à notre pays et aux liens de notre peuple avec la France. Or le bulletin du vote contre Emmanuel Macron ne porte hélas qu’un nom, celui de Marine Le Pen.
Et ce qui ne doit pas manquer de nous interpeller, c'est le fait que les Algériens soient davantage intéressés par le résultat de l’élection présidentielle française plutôt que par leur propre avenir, chez eux.

Les Algériens attendent des visas, encore et toujours des visas, et surtout cette "libre circulation" (à sens unique évidemment) promise par le candidat remplaciste Macron.
Citation
Pascal Mavrakis
Et ce qui ne doit pas manquer de nous interpeller, c'est le fait que les Algériens soient davantage intéressés par le résultat de l’élection présidentielle française plutôt que par leur propre avenir, chez eux.

Les Algériens attendent des visas, encore et toujours des visas, et surtout cette "libre circulation" (à sens unique évidemment) promise par le candidat remplaciste Macron.

A sens unique ? Pascal, je ne serais pas étonné si dans 10 ans nous nous rencontrions pour la première fois dans un café de la corniche d'Alger pour y deviser, dans un pays riche, faiblement peuplé, largement sécularisé et sûr, de la situation de plus en plus préoccupante, d'après le Conseil de sécurité de l'ONU, au Frankistan. Ce chassé-croisé là ne me paraît en rien chimérique.
je ne serais pas étonné si dans 10 ans nous nous rencontrions pour la première fois dans un café de la corniche d'Alger pour y deviser
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Quand on pense à ce que risque de devenir Plieux et ses environs (une banlieue de Bamako, en pire) il n'est pas exclu que Renaud Camus soit lui aussi de la partie. La France, la vraie, finira à Alger.


(Me souviens d'avoir rencontré un gogo (la trentaine, profession graphiste, grand lecteur de Libé) qui me disait ne pas comprendre "pourquoi l'Algérie n'était toujours pas dans l'UE ?..." car "avec une jeunesse et un potentiel pareils​, ça serait tout bénef pour nous".)
L'Algérie, le Maroc, la Tunisie, la Turquie, etc., sont pourtant déjà très présents dans l'UE, il me semble. Il n'y a qu'à sortir de chez soi pour s'en rendre compte.
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