Le site du parti de l'In-nocence

Communiqué n° 1971 : Sur une chanson de “Sting”

Communiqué n° 1971, lundi 14 novembre 2016
Sur une chanson de “Sting”

Le parti de l’In-nocence, qui d’ordinaire ne s’intéresse guère au chanteur de variétés anglais nommé “Sting”, est néanmoins révulsé par le fait qu’il ait pu interpréter une sienne chansonnette intitulée Inch’Allah (sic) à l’occasion de la récente soirée organisée au Bataclan en mémoire des victimes des massacres islamiques du 13 novembre 2015. Certes l’on ne s’attendait pas à ce que ce soir-là et en cet endroit-là il fût donné le Requiem de Mozart ou quoi que ce soit d’un peu digne, mais tout de même, c’est pousser l’abjecte dhimmitude vraiment loin que d’interpréter une chanson qui, par son seul titre, est tout à la gloire du Dieu des assassins de Paris et des conquérants de l’Europe.

Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) appellent tous les Français qui ont été bouleversés par ces massacres à boycotter et dénoncer ces artistes de music-hall, ces membres du clergé médiatique et bien entendu ces hommes politiques qui prétendent lutter contre les kalachnikov à coups d’ours en peluche et de lâchers de ballons multicolores — alors qu’en réalité ils encouragent et précipitent, à l’instar de “Sting”, la soumission de l’Europe à l’islam.
Le lâcher de ballons est ici.

Nous avons réellement atteint le sommet du ridicule, de l'infantilisme et de la crétinerie. Même les descriptions de Muray paraissent dépassées par ces petits ballons multicolores lâchés par M. le président de la République et Mme le maire de Paris « pour en mémoire » (sic, ça va ensemble bien sûr) des victimes.
Utilisateur anonyme
15 novembre 2016, 22:09   Re : Communiqué n° 1971 : Sur une chanson de “Sting”
Ouais... des jolis p'tits ballons pour leur montrer qu"'ils n'auront pas notre haine", jamais !, parce que la haine c'est pas bien, et que pardonner et faire des bizous c'est mieux, etc.
Pas étonnant tout ça, puisqu'on leur explique à longueur de temps que le drame dans ce monde, et en France en particulier, c’est le racisme, c'est l’islamophobie ! C’est ça, l’info principale. Il ne faudrait surtout pas affronter le véritable problème : la déferlante migratoire et la constitution de ghettos dans lesquels des jeunes abêtis par l’inculture et le salafisme haïssent un pays qui les nourrit.

Fluctuat nec mergitur... ? Bein voyons.
Utilisateur anonyme
16 novembre 2016, 00:34   Re : Communiqué n° 1971 : Sur une chanson de “Sting”
J'apprends qu'un habitant d'Orléans a déposé à Paris 130 pots de pensées...

J'apprends également que Sting a dédié sa chanson aux "migrants" (il y avait plusieurs "migrants" parmi les tueurs...), et qu'il nous invite à faire preuve de davantage d’empathie à leur égard...


Bon là j'arrête. La coupe est pleine.
Soyons justes et lucides avec nous-mêmes : ces réactions, ces manifestations, sont celles d’une réalité qui ne peut plus être la nôtre. Nos âmes ne peuvent plus se mélanger avec celles de ces hommes-là. D'accord, pas d'accord, ce n'est plus la question.

Comment se sent-on, dans quel état d'âme nous mettent les déclarations, ci-dessous, de ce monsieur ? Le malaise est si profond que je ne sais même pas comment m'asseoir sur ma chaise pour l'écouter. Est-ce cela l'inquiétante étrangeté analysée par Freud ?


[www.bfmtv.com]
Utilisateur anonyme
16 novembre 2016, 02:07   Re : Communiqué n° 1971 : Sur une chanson de “Sting”
Le fils de la victime du stade de France (cf. la vidéo indiquée par Pierre Jean Comolli) est le produit ultime d'un dressage idéologique allant jusqu'à la lobotomie. Ecoutez-le parler, on dirait un robot qui s'exprime. Il enchaîne les poncifs et syntagmes bien-pensants comme d'autres enchaînent les rafales de kalachnikov un soir au Bataclan.

Chez lui les mots ne sont plus là pour signifier une pensée ; ils ne servent plus qu'à plâtrer, enduire, étouffer.

Voilà pourquoi tout “débat” avec la majorité de mes contemporains me semble si vain, si inutile. Peut-on discuter avec un disque rayé ? Faut-il même essayer ? Non.

Ce ne sont plus des humains, ce sont des zombies idéologisés au dernier degré. Plus rien ne les réveillera ni les fera changer.

Ils sont fous. Ils votent. Ils sont la majorité.
Des automates, des drones terrestres à forme humaine, des zombies qui débitent des versets remplacistes... Vous avez raison.
Utilisateur anonyme
16 novembre 2016, 08:28   Re : Communiqué n° 1971 : Sur une chanson de “Sting”
Comment ne pas vous donner raison mon cher Trystan... ? Même l'ami Marche semble las, ces jours-ci.


Mais bon... Et ces grands panneaux publicitaires dans Paris portant l'inscription " Fluctuat nec mergitur..."
Le caractère pédant, l'inutilité, et surtout le ridicule de cette locution latine dans un pays où le latin et l'histoire ont à peu près disparu des programmes scolaires, et où la lâcheté règne partout. Un affichage qui, pour le dire euphémiquement, ne parait guère approprié au monde d'aujourd'hui et aux événements évoqués. Tout cet argent dépensé à si mauvais escient et qui aurait pu financer du matériel pour nos policiers, des expulsions massives (rêvons un peu).
Utilisateur anonyme
16 novembre 2016, 08:50   Re : Communiqué n° 1971 : Sur une chanson de “Sting”
Rien ne les arrêtera, jamais. Ils nous auront à l'épuisement (et regardez-moi ces gueules...) :
[www.ouest-france.fr]
M'enfin ! vous n'avez rien compris ! Ce qui est grave ce n'est pas la progression inexorable de l'islam radical avec son arsenal d'intimidations, de menaces de morts et de massacres, pas dut tout ! C'est la montée de l' ''extrêême drouâte''. Le reste n'est que broutilles, pinaillages d'islamophobes.
Utilisateur anonyme
16 novembre 2016, 10:38   Re : Communiqué n° 1971 : Sur une chanson de “Sting”
Me revient cette page de Saint-Simon où il est conté comment les nouvelles de la bataille d'Hochstedt angoissent Louis XIV et tout Versailles :

"On n'apprenait rien que par lambeaux, et rares et médiocres, qui ne faisaient qu'augmenter l'inquiétude sur la chose même."
Lâchers de ballons et autres colombes, bougies et autres lampions, bouquets de fleurs, prières et larmes ont certainement toute leur place en pareilles occasions, mais uniquement pour rendre hommage aux victimes, pour le temps du recueillement ; iIs ne doivent pas occuper tout l'espace-temps et, en particulier, ne constituent bien sûr en rien une résistance (une résilience dirait Cyrulnik) face à l'ennemi.
Imagine-t-on un juif de 1942 dire à Hitler : Vous n'aurez pas ma haine!
La seconde guerre mondiale a été gagnée par des soldats, des résistants, des patriotes, c'est-à-dire des Français, des Anglais, des Américains, des Russes, etc. qui, pour la plupart, étaient des êtres pacifiques mais pas des pacifistes.
Les premiers nommés sont courtois et bienveillants envers tous ceux qui ne les agressent pas ; les seconds, comme on sait, préfèrant Hitler à la guerre, ne sont pas disposés à risquer leur vie pour des valeurs, fussent-elles celles qui pourtant reviennent sans arrêt dans leur discours (telle la liberté).
Il me semble que de plus en plus d'Européens convaincus (cons-vaincus) partagent physiologiquement (au plus profond d'eux-mêmes) ce pacifisme et que donc, si on a pu échapper au nazisme du temps des Nations libres et couillues on ne pourra faire de même cette fois ci face à qui vous savez.
» Ils sont fous

Je ne crois pas, il me semble plutôt que leurs réactions sont sensées, puisqu'elles sont en accord avec leur état d'esprit et leurs idées : si l'on veut éviter le rapport de force et les situations de conflit, et si l'on est un individualiste consumériste jouisseur pratiquement imperméable à toute idéologie collective mobilisatrice et aux valeurs en découlant (l'idée de nation, la défense de la patrie et le souci de son intégrité etc.), alors on promeut l'accueil, l'entente, la bienveillance sympa, les bons sentiments conciliateurs et le syncrétisme bon enfant à portée de main.
Celui qui décidément ne veut pas se battre n'a que faire d'une identité collective, sa seule petite bulle personnelle et son entourage immédiat constituent son seul horizon et une raison d'être suffisante, et nos sociétés sont encore capables d'en sécréter (de ces bulles) qui soient parfaitement viables en grande majorité.
D'ailleurs il est remarquable à quel point la vogue du smartphone constitue une parfaite illustration de cette atomisation satisfaite, de cette monadisation des esprits, puisque chacun est désormais en mesure de sortir de chez soi en continuant de porter sa petite coquille d'effets et de relations personnels sur soi, et la monade est, comme on sait, sans portes ni fenêtres.
Mondialisation et monadisation vont évidemment de pair, se suscitant l'une l'autre sitôt que la structure intermédiaire qu'est la nation a commencé de se déliter, et il serait intéressant d'analyser de façon plus fine, marxienne pour ainsi dire, le moment où cette apparente contradiction aura atteint son point de rupture, si jamais...
Ces gens-là croient avoir du coeur alors qu'ils n'ont à sa place qu'un logiciel compassionnel au goût du jour et de leur milieu.
Utilisateur anonyme
20 novembre 2016, 00:00   Re : Communiqué n° 1971 : Sur une chanson de “Sting”
Ils sont fous

Je ne crois pas, il me semble plutôt que leurs réactions sont sensées, puisqu'elles sont en accord avec leur état d'esprit et leurs idées : si l'on veut éviter le rapport de force et les situations de conflit, et si l'on est un individualiste consumériste jouisseur pratiquement imperméable à toute idéologie collective mobilisatrice et aux valeurs en découlant (l'idée de nation, la défense de la patrie et le souci de son intégrité etc.), alors on promeut l'accueil, l'entente, la bienveillance sympa, les bons sentiments conciliateurs et le syncrétisme bon enfant à portée de main.
Celui qui décidément ne veut pas se battre n'a que faire d'une identité collective, sa seule petite bulle personnelle et son entourage immédiat constituent son seul horizon et une raison d'être suffisante, et nos sociétés sont encore capables d'en sécréter (de ces bulles) qui soient parfaitement viables en grande majorité
.

///

Vous avez visé juste, Alain.

On peut définir la morale aristocratique par un critère constant : la capacité d'agir contre ses intérêts. C'est exactement l'inverse de la "théorie libérale", que votre message illustre à la perfection, selon laquelle l'homme, essentiellement défini comme agent économique, poursuit toujours son "meilleur intérêt ".

W. Sombart définissait le héros comme celui qui cherche constamment ce qu'il peut donner à la vie, par opposition au bourgeois, qui cherche constamment ce qu'il peut retirer de la vie.
A New York, l'un des épicentres du capitalisme financier, chaque individu est aussi comme un mini Stock Exchange, une "bulle" financière à lui tout seul, monadique en effet et au cerveau suractivé par d'incessants calculs (les plus fauchés comme les plus riches ne pensent ici qu'à l'argent).
Utilisateur anonyme
20 novembre 2016, 09:05   Re : Communiqué n° 1971 : Sur une chanson de “Sting”
chaque individu est aussi comme un mini Stock Exchange, une "bulle" financière à lui tout seul, monadique en effet et au cerveau suractivé par d'incessants calculs (les plus fauchés comme les plus riches ne pensent ici qu'à l'argent).

//////
"un mini Stock Exchange, une "bulle" financière à lui tout seul"

J'adore !


Des jours où je comprends qu'on puisse trouver certains Envahisseurs infiniment plus beaux, plus dignes, plus intéressants, plus humains... On en voit qui ont tout de même de sacrées belles gueules, contrairement à ces maudits bipèdes connectés sans visages.

Debord dit je ne sais plus où "qu'ils n'ont plus de rapport qu'avec la marchandise"... Mais c'était avant " l'homme connecté'.
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter