À la charge financière énorme, au boulet que représente l’immigration au sens large, même légale ou naturalisée, s’ajoute désormais le coût exorbitant des clandestins ou "migrants", qui explose, sans même parler ici des "mineurs clandestins". Sur 47.000 places d’hébergement d’urgence disponibles, 22.000 sont des nuits d’hôtels (chiffres de 2015, sans cesse en augmentation), au prix astronomique, supporté par le budget de l’État déficitaire.
Mais M. Carenco nous dit qu'il s'en fout ! Que c'est comme ça ! Et qu'il continuera dans ce sens, que ça nous plaise ou non !