J'ai appris récemment, grâce à Marcel Meyer qui me l'a signalé, que je disposais sur ce site même d'une "boîte à lettres". Je n'en connaissais pas l'existence auparavant, j'ai beaucoup de mal à y accéder, on me demande en chemin des codes dont je n'ai pas la moindre idée et si, une fois-là, je réponds, mes messages ne peuvent pas partir. Je prie donc instamment les personnes qui voudraient bien m'écrire de le faire à la seule adresse que je connaisse et que j'aie jamais donnée,
renaud.camus@wanadoo.fr
D'autre part je remarque que certains des messages qui m'attendaient dans "ma" boîte à lettres sur ce site émanent du prétendu "Boris Joyce", lequel s'impatiente, même, que je n'y réponde pas. Mais c'est que pour ma part je m'estime dispensé à vie de M. "Boris Joyce", l'auteur immortel de « comme écrivain passe encore mais alors comme homme... » et surtout, surtout, du moralement admirable (et imparable) « si seulement vous saviez ce que les gens que vous aimez disent de vous dans votre dos... » (je cite de mémoire). Chacun est libre de dire ce qu'il veut mais enfin il me semble que si on insulte gravement, publiquement, fondamentalement et irrémissiblement les gens ( « mais alors comme homme... »), on considère qu'on a dit ce qu'on estimait avoir à dire et l'affaire est classée ; on n'écrit pas aux mêmes personnes comme si de rien n'était, en s'attendant à ce qu'elles vous répondent, en s'impatientant quand elles ne le font pas et en en appelant à la politesse qui voudrait qu'elles le fissent...