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Communiqué n° 1983 : Sur M. Donald Trump, la chancelière Merkel et l’Europe

Communiqué n° 1983, lundi 16 janvier 2016
Sur M. Donald Trump, la chancelière Merkel et l’Europe

Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple & de Civilisation) ne peuvent qu’approuver les propos du président élu des États-Unis, M. Donald Trump, lorsqu’il déplore la folie de l’attitude de la chancelière allemande, Mme Angela Merkel, à propos de la prétendue “crise des migrants”. Il n’y a bien sûr aucune “crise des migrants”, mais une invasion, dont les autorités européennes et les divers chefs de gouvernement, la chancelière Merkel en tête, sont au mieux les complices, au pis les instigateurs. Leurs prises de position diverses, et notamment la sienne, équivalent à rien de moins que de la trahison.

Le parti de l’In-nocence et le NON ne sont pas moins en accord avec les déclarations du président-élu lorsqu’il fustige l’Union européenne pour son avarice et sa lâcheté dans l’organisation de sa propre défense. Il ne le fait sans doute pas par amitié, plutôt par patriotisme américain, mais il a raison sur le fond. Puisse la nouvelle façon de voir américaine, qu’il incarne, constituer un encouragement de plus à ce qui était déjà, de toute façon, le parti le plus raisonnable et le plus honorable : à savoir le réarmement de l’Europe en général et de la France en particulier, en vue d’une indispensable autonomie militaire de notre continent, entre les deux géants qui l’encadrent.
Immigration : l'Union européenne sur la sellette
Par Ivan Rioufol le 18 janvier 2017

L’Union européenne, sourde aux protestations des peuples, peut craindre pour son proche avenir. Une même menace pèse sur les dirigeants qui, comme en France, ne veulent décidément rien entendre des électeurs qui s’inquiètent de la dilution progressive de leur identité dans une nation ouverte à tous. "Il est de plus en plus difficile aux vieux Français de se sentir heureux en France", m’avait écrit un lecteur en 2006 (1), dans une lettre résumant bien l’état d’esprit observé chez les Oubliés. Ce sentiment de dépossession, vécu comme une violence et une tragédie par beaucoup, a aussi gagné, depuis, de nombreux jeunes en quête d’enracinement. Or, pour avoir trop longtemps méprisé ces plaintes "populistes", l’UE et ses soutiens vont devoir affronter la prévisible insurrection des peuples. Theresa May, premier ministre britannique, vient d’en donner le signal en quittant mardi l’UE et le marché unique, dans le but prioritaire de rétrocéder à son pays la maîtrise de ses frontières et de l’immigration. Donald Trump, qui prendra ses fonctions présidentielles vendredi, porte une analyse lucide quand il déclare, lundi à propos des Britanniques : "S’ils n’avaient pas été forcés de prendre tous ces réfugiés, avec tous les problèmes que cela amène, il n’y aurait pas eu de Brexit (…) Je crois que d’autres pays vont suivre". Ce mercredi, un sondage Cevipof publié par Les Echos montre que 64% des Français estiment qu’il y a "trop d’immigrés en France". 62% disent que "l’islam représente une menace pour la République". A moins que les technocrates de Bruxelles n’infléchissent dans l’urgence leur politique migratoire, ils doivent s’attendre à des turbulences qu’ils n’auront pas volées.

L’UE s’est volontairement construite sur cette immigration de peuplement que refusent les citoyens et qui sera au centre de la présidentielle française. "La migration est une des (dix) priorités politiques de la Commission Juncker", peut-on lire sur le site de la Commission européenne, présidée par Jean-Claude Juncker. Elle définit ainsi sa "nouvelle politique migration légale" : "Faire en sorte que l’Europe reste une destination attrayante pour les migrants dans un contexte de déclin démographique". Dimitris Avramopoulos, commissaire chargé de la migration, est plus explicite quand il déclare, en décembre 2014 lors de la Journée internationale des migrants : "Les migrations sont source de croissance économique et d’enrichissement culturel et social. La migration régulière est devenue une composante essentielle des sociétés et des marchés du travail dans l’Union européenne". Pour sa part, le conseiller d’Etat français, Thierry Tuot, se réjouissait en 2013, dans un rapport remis au premier ministre sur "La refondation des politiques d’intégration" : "Nous ne maîtrisons pas – et, ajoutons-le, heureusement, car ce serait indigne ! – les flux migratoires pour les deux tiers d’entre eux". C’est cette idéologie immigrationniste, à laquelle Angela Merkel a succombé en 2015 en laissant venir plus d’un million de "migrants", qui est contestée par ceux qui ne s’effraient plus des accusations en racisme ou en xénophobie lancées par les docteurs Folamour. Les "élites" qui feignent encore de ne rien comprendre de l’exaspération qui vient auront été prévenues
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Cascades de progressisme & gauchisme hier aux Etats-Unis
video: [www.youtube.com]
Hier sur BFM ou ITélé on évoquait déjà les chances et les possibilités d’un "impeachment"...
Fantastique comme ces bisounours en guimauve d’hier, ces jolies personnes qui poussent la chansonnette comme les "Enfoirés" avec la tête inclinée sur le côté se sont soudainement transformés en hyènes, en coyotes, chacals et gremlins. Une meute pleine de dépit et de haine, dont une grande partie est financée par G. Soros (mais chut !, les médias français n'en diront rien). Touche pas à ma haine car ma haine, c’est le Bien ! Touche pas à mon Amérique à môa !

Die Welt sort un article d’une rare violence contre ce clan de salopards mondains (politiciens, publicistes, journalistes, "artistes") qui s’est accaparé le pouvoir, et dont la "pensée politique" se résume en gros à disserter sur le rouge et le bleu des cravates de D. Trump, ou sur la hauteur des talons de sa ravissante épouse. Ça cherche, ça renifle...
[www.welt.de]
impeachment. Procédure apparue en Grande-Bretagne au XIVe s. et qui permettait de mettre en jeu la responsabilité pénale individuelle des ministres et officiers de la Couronne. Procédé de mise en accusation, devant le Congrès, du président, du vice-président ou d'un haut fonctionnaire des États-Unis.


C'est bien ça ?, Francis.
Oui. C'est la procédure de destitution, reprise ailleurs, en Amérique du Sud (au Brésil me semble-t-il), à laquelle François Hollande a échappé pour être Français. On ne destitue pas, en France : on guillotine ou on laisse pisser. La modulation des réponses et le juste milieu n'ont jamais été français. Jacqueline Sauvage a été élargie avec un sourire présidentiel et des plateaux télés complaisants. En Amérique, comme on l'a vu lors du procès en Arizona en 2013 où une criminelle -- Jodi Ann Arias -- avait trucidé son amant (Travis Victor Alexander) chez lui sous la douche à coups de couteau et de révolver avant de plaider le victimat et la "légitime défense", les jurés durent délibérer au cours de deux procès successifs où la sentence fut pendante entre la réclusion à perpétuité sans remise de peine et l'injection léthale, l'unanimité ne se faisant pas dans le jury. Ce fut finalement perpète ferme et incompressible, sentence prononcée en 2015. La donzelle passa à un doigt de l'euthanasie par piqure, retenue dans des harnais sur une couche haute en faux cuir comme dans les cabinets médicaux.

L'issue française de l'affaire Jacqueline Sauvage me fait aimer l'Amérique. Je parle bien de celle de Donald Trump, où l'on destitue les félons sans y mettre des états d'âme et où les femmes accusées de meurtres pleurnichent pour des prunes dans les prétoires.

L'affaire du meurtre d'Alexander (en anglais) : [en.wikipedia.org]
Je crois, cher Pascal Mavrakis, que le violent article de “Die Welt” que vous indiquez (Quelle mise en scène de pacotille !) n'est pas dirigé « contre ce clan de salopards mondains (politiciens, publicistes, journalistes, "artistes") qui s’est accaparé le pouvoir, et dont la "pensée politique" se résume en gros à disserter sur le rouge et le bleu des cravates de D. Trump, ou sur la hauteur des talons de sa ravissante épouse » mais constitue au contraire un bon exemple des diatribes anti-Trump dont ces gens nous inondent. Je trouve en revanche très remarquable le fait que les commentaire de lecteurs (je n'en ai lu que la première douzaine sur les trois cents) paraissent unanimement réprobateurs, et même très violemment réprobateurs vis-à-vis de ce libelle.
Ah ? J'ai sûrement lu trop vite..., de plus ma connaissance de la langue allemande est très imparfaite - la preuve.
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