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L’Algérie interdit le passage des prédicateurs et salafistes sur les chaines télé et les radios

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
[www.webdo.tn]

La Tunisie qui ne récupère pas ses djihadistes globe-trotteurs, le Maroc qui interdit et la fabrication et le port de la burqua, et maintenant l'Algérie... Si ça se trouve dans 15 ans j'enverrai mes enfants faire des études supérieures dans ces pays moins peuplés et bien plus sûrs et développés que la post-France.
. Si ça se trouve dans 15 ans j'enverrai mes enfants faire des études supérieures dans ces pays moins peuplés et bien plus sûrs et développés que la post-France
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De même pour les prisons, mieux vaut aller purger sa peine ailleurs...



« Dans les prisons parisiennes, il y a à peu près trois quarts de musulmans et seulement 5 % d’Européens. »
Prières collectives illégales, apologie du terrorisme, prosélytisme omniprésent : le dernier ouvrage du sociologue Farhad Khosrokhavar dresse un portrait alarmant des prisons françaises, devenues l’un des théâtres de la propagation de l’islam radical en France.

Que se passe-t-il vraiment à l’ombre des cellules, derrière les portiques de sécurité, dans le secret des parloirs, entre les yeux des miradors ?

« Lors du ramadan, 80 % des détenus des prisons franciliennes demandent des plateaux-repas compatibles avec leurs impératifs religieux », et «Le Coran est, avec le Code de procédure pénale, l’ouvrage le plus emprunté dans les prisons
Khrosrokhavar est un sacré ami du Désastre, pourtant.

Bon, bon, bon. Qu'en dit Laurent Muchielli ?
Khrosrokhavar est un sacré ami du Désastre, pourtant.

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Oui Trystan je sais, je sais... Cependant j'avoue que "L'islamisme et la mort" m'avait beaucoup impressionné.
Citation
Trystan Dee
Bon, bon, bon. Qu'en dit Laurent Muchielli ?

Il est désormais, je crois, sur la même ligne que Bozo Liogier: l'islam radical est, ma foi, un assez bon outil de prévention de la délinquance.

Ce sophisme permet à nos deux clowns de faire d'une pierre deux coups: sauver leur honneur sociologique (et leur carrière) et faire diversion en n'ayant pas à s'excuser d'avoir plastronné, livres de 300 pages à l'appui, pendant une décennie que l'insécurité et l'islamisation étaient des fantasmes. Déplacer le problème, tout un art.
@Pierre Jean


Et puis s'ils sont vraiment dans l'caca l'ami Le Bras pourra toujours nous ressortir un joli tableau expliquant courbes et chiffres à l'appui que le nombre de radicalisés va diminuant, qu'avant aussi il y avait des "bandes de jeunes" (les Apaches, les Rockers, les Punks), que la violence a toujours existé (dans les "quartiers populaires"), que la France n'est plus "attractive" pour-qui-vous-savez, qu'il y a beaucoup moins d'immigrés que dans les années 30, etc. Avec Le Bras, tout s'explique "scientifiquement".
Citation
Pascal Mavrakis
@Pierre Jean


Et puis s'ils sont vraiment dans l'caca l'ami Le Bras pourra toujours nous ressortir un joli tableau expliquant courbes et chiffres à l'appui que le nombre de radicalisés va diminuant, qu'avant aussi il y avait des "bandes de jeunes" (les Apaches, les Rockers, les Punks), que la violence a toujours existé (dans les "quartiers populaires"), que la France n'est plus "attractive" pour-qui-vous-savez, qu'il y a beaucoup moins d'immigrés que dans les années 30, etc.

Il y en a bcp des exemples, des explications, qui me mettent en rogne, mais celui que vous citez... "Ah mais il n'y a rien de nouveau sous le soleil ! Dans un village du Haut-Karabagh, en 1308, DÉJÀ, s'exprimait une violence comparable", etc.

Le comparatisme déraisonné, l'historicisation maniaque sont deux des armes les plus vite dégainées par les collabos de tous poils.
On peut aussi s'amuser que les considérations de Monsieur Météo sur "la température ressentie" (quatre à cinq degrés inférieure à la témpérature ambiante réelle, mesurable métriquement, scientifiquement donc, ces temps-ci) obéissent à un principe que le sociologue de cour rejette catégoriquement s'agissant du mal-être provoqué par l'immigration, la violence et l'insécurité car dans ce domaine, selon ces diafoirus, seule l'immigration dans sa réalité métrique et chiffrée doit être prise en compte de même que le degré métrologiquement établi de la violence et de l'insécurité (l'insécurité "ressentie", à la différence du ressenti thermique de Monsieur Météo, étant classée comme "fantasme").

Tel est la fausse science, qui brandit ses mesures métrologiques là et seulement là où ses maîtres politiques y trouvent leur compte.

Les naturalisations de masse prônées et mises en oeuvre par Valls dès 2013 -- et l'immigration non moins massive des parents étrangers de ces néo-Français produits à la chaîne -- font que la température métrique du chaudron de la liquidation du peuple légitime par cette immigration ne bouge pratiquement pas. Et sachant qu'il n'y a pas, en sociologie, de "température migratoire ressentie", la supercherie passe inaperçue et les sociologues de cour retombent encore et toujours sur leurs deux pieds.
@Francis
Tel est la fausse science, qui brandit ses mesures métrologiques là et seulement là où ses maîtres politiques y trouvent leur compte
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Le Bras, auquel un journaliste avait demandé s'il se sentait français, avait répondu (je cite de mémoire) : " Euh oui, bien sûr... Enfin je me sens surtout appartenir à la communauté des scientifiques !"
N'empêche qu'il se "lâche grave" le petit Guénolé... La relève de Big Mucchielli est assurée.


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Ménard sacré meilleur menteur de 2016
Mis à jour le 19/01/2017 à 09:26

C'est Robert Ménard qui a été sacré plus grand menteur de l'année 2016, annonce ce matin le journal Marianne qui fait partie du jury. Il succède ainsi à Marine Le Pen, sacrée l’année dernière par ce prix créé à l’initiative du politologue Thomas Guénolé.
Les déclarations à l'origine de ce « sacre » de Ménard sont nombreuses : chiffres manipulés sur les origines des migrants et le regroupement familial, propos sur le remplacement des cours de français par des cours de turc et d’arabe à l’école…
Le vote était serré entre Ménard et Valls, qui ne reçoit donc que la deuxième place pour ses nombreux retournements de veste (...).

Christian Estrosi gagne le prix « Un certain regard » pour ses affirmations fausses régulières, mais surtout pour avoir prétendu qu’il avait fait installer des portiques de sécurité à la gare de Marseille en réponse aux attentats de novembre : ceux-ci ont été mis en place par la SNCF, sans aucun lien avec les attentats. Le prix « Jacques Dutronc » du plus beau retournement de veste revient à François Fillon pour ses changements de position quant à la réforme de la Sécurité Sociale au lendemain de la primaire.
Jean-Pierre Chevènement reçoit le prix du « Grand Remplacement » pour sa phrase : « il y a 135 nationalités à Saint-Denis, dont une, la française, qui a quasiment disparu ». Le prix du Jeune espoir est partagé entre les responsables frontistes Nicolas Bay et Florian Philippot.
Enfin, Donald Trump reçoit le prix du meilleur menteur politique à l’étranger « pour l’ensemble de son œuvre ».

lefigaro.fr
Triste... triste pays. Régime gris, soviétique. L'Union soviétique adorait les statistiques, les chiffres, tout baignait. Les chiffres le disaient.

Suis-je le seul à voir dans ce lyssenkisme, et ces remises de prix fictifs, au fond, un divertissement de cour, un jeu de colin-maillard dans les jardins du petit Trianon ?
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