Le féminisme n'est rien d'autre qu'un long “shit test”, une provocation qui dure depuis un gros siècle en Occident.
« Montre-moi que tu es capable de me remettre à ma place » : telle est la demande réelle cachée derrière la revendication féministe, par-delà la grossièreté instituée, les piercings et les poils des aisselles teints en bleu fluo. Mais hélas l'homme occidental a complètement échoué à comprendre cela, et à présent la situation n'est plus contrôlable.
La tribune citée par l'ami Mavrakis ne fait que confirmer ce que je n'ai que trop écrit ici, à savoir que dans une authentique culture patriarcale, le féminisme ne peut se développer : on le tue dans l'œuf. Les femmes, quel que soit leur degré de féminisme, le savent et l'acceptent parfaitement — cette tribune nous le rappelle. On voit bien que cela ne leur pose aucun problème, au contraire. La vie va pouvoir enfin reprendre son cours normal, et l'antique contrat social qui unissait les hommes et les femmes va enfin pouvoir être restauré, quoique sous une forme plus rude (mais c'est bien normal, après un siècle de grand n'importe quoi).
Le combat de nos féministes contre le prétendu patriarcat — celui que leur imposerait l'homme blanc (
rires) — est d'autant plus ridicule qu'un tel patriarcat n'existe pas. Ce n'est qu'un monstre de carton-pâte, complètement usé, mais qui permet aux femmes de continuer à miner le monde occidental et précipiter sa fin.
Il n'y a pas de remplacisme au sens strict. La réalité est beaucoup plus concrète que cela. Il y a une civilisation qui pourrit parce qu'elle s'est laissée ronger par les termites, sans jamais vouloir appliquer les quelques solutions qui, en temps utile, auraient pu la sauver. Il est normal que d'autres peuples arrivent, heureux de se partager les débris de ce vieux bout de bois prestigieux que fut jadis l'Occident.