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Edwy, l'Idiot (très) utile de Tariq

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
04 novembre 2017, 15:15   Edwy, l'Idiot (très) utile de Tariq
"Tariq Ramadan et ses compagnons de route de l’islamisme
ANALYSE – Le silence pudique de Mediapart, et plus largement d’une certaine gauche sur cette affaire, témoigne de la complaisance, voire de la complicité idéologique de celle-ci avec Ramadan et ses thèses islamistes.



C’était le 17 janvier 2015 à Brétigny-sur-Orge. L’événement organisé par diverses associations communautaires et le duo d’invités improbable. Tout sourire, Edwy Plenel et Tariq Ramadan communient devant un public presque exclusivement musulman parmi lesquels de nombreuses femmes voilées et quelques barbus en baskets-djellaba. L’islamiste, proche des Frères musulmans, et le trotskiste, ancien membre de la Ligue communiste révolutionnaire, faisaient cause commune contre les «discriminations » et l’«islamophobie». Au même moment, les Français pleuraient encore leurs morts: ceux de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, la policière de Montrouge.

Deux jours plus tôt, ils étaient des millions à s’être levés pour défendre la liberté d’expression et protester contre le terrorisme islamiste. Mais Plenel et Ramadan n’étaient pas Charlie. Ce soir-là, le fondateur de Mediapart s’épancha sur l’«enfance malheureuse des frères Kouachi» et précisa que lui n’aurait pas publié de «caricatures qui offensent n’importe quelle religion». Le 23 janvier, invité sur le plateau du «Petit journal », il enfoncera le clou, suggérant que les détracteurs de Ramadan seraient racistes.

La vision du monde du petit-fils d’Hassan el-Banna (fondateur de la confrérie des Frères musulmans) était pourtant connue de tous. Bien que souvent accusé de double discours, il faisait publiquement l’apologie de la charia, ne cachait pas sa volonté d’instaurer un moratoire sur la «lapidation des femmes» ou encore de réislamiser la jeunesse des banlieues."

(…)
Le Figaro.fr
Charlie Hebdo croule sous les menaces de maure.

[ceci fut un tweet]


(hé,ho,pas folle la guêpe) 
Utilisateur anonyme
04 novembre 2017, 17:49   Re : Edwy, l'idiot (très) utile de Tariq
Les faux-contestataires comme Plenel, ceux qui font semblant de déranger le pouvoir en place en rendant public des affaires de seconde zone pour se donner bonne conscience (et pour faire prospérer leur business), ceux qu’il est le plus difficile de coincer.
Vous aurez noté l'identification pathologique de Plenel aux pauvres, aux victimes : il ne s'est pas fait poser d'implant dentaire. Il a un trou noir dans la bouche. Ces gens sont prêts à se déguiser en sans-dents pour faire vrai. Badiou a quant à lui adopté un Africain. A chacun sa caution, en somme.
Utilisateur anonyme
21 novembre 2017, 19:20   Re : Edwy, l'Idiot (très) utile de Tariq
Cambadélis plus con (?) que Plenel :

« Il faut défendre les musulmans contre les identitaires » le 21/11/2017


"Non, il n’y a pas de « guerre contre les musulmans ». Mais certains ont du mal à leur foutre la paix. De toutes parts, nos compatriotes musulmans sont pressés de se justifier, de prendre parti, qu’ils soient pratiquants ou pas et surtout quand ils sont d’origine maghrébine. Pas un débat public, pas une polémique qui ne se terminent en discussion sur la place de l’Islam dans notre pays.

Pris en otage de cette focalisation mais surtout de cette assignation à identité, les musulmans de France sont avant tout pris en étau: entre ceux qui veulent que la République se sépare des musulmans et ceux qui veulent que les musulmans se séparent de la République. Nos compatriotes musulmans sont en fait au cœur de la fragmentation française, de cette polarisation inquiétante d’une nation qui a du mal au fond à accepter toutes les altérités, qui a aujourd’hui du mal à se trouver. Voilà, la France ne s’ennuie pas, la France se cherche.

Alors, oui, il faut défendre les musulmans. Contre les identitaires qui font des musulmans la cause de tous les maux et de leur rejet le préalable au redressement national. Contre tous les apprentis sorciers de l’islam politique dans toute leurs subtiles variations – Frères Musulmans, salafistes voire sectes takfiristes – qui leur intiment de rompre avec la République pour vivre totalement sous un ordre religieux qui aurait réponse à toutes les questions, existentielles comme collectives."

(….)

huffingtonpost
J-C. Cambadélis:

- « Il faut défendre les musulmans contre les identitaires »

Traduction:

« Il faut défendre les musulmans contre les identitaires ». Ma survie politique en dépend.


 Re-Traduction:

F. de p.
Utilisateur anonyme
21 novembre 2017, 22:09   Re : Edwy, l'Idiot (très) utile de Tariq
"Mais certains ont du mal à leur foutre la paix"
////

Mr. Cambadélis a raison : la priorité, c'est de liquider ces affreux "certains"-là ! Et le problème sera réglé.
Utilisateur anonyme
28 novembre 2017, 04:50   Re : Edwy, l'Idiot (très) utile de Tariq
Derrière sa mine de frère moine prêt à vous donner sa chemise cette petite ordure collaborationniste​ dissimule une telle charge de ressentiment pour les siens...

........…..


"Edwy Plenel, le procureur au banc des accusés : l’itinéraire d’un militant trotskiste « qui n’aimait pas la France » le 27/11/2017


Longtemps, le directeur de Mediapart a été considéré comme le modèle du «journaliste indépendant». Une image flatteuse qui s’estompe depuis quelques semaines. Accusé de complaisance à l’égard de Tariq Ramadan, de flirter avec l’islamisme et de tenir des propos irresponsables à l’encontre de Charlie Hebdo, Edwy Plenel est désormais sous le feu des critiques de ses confrères. Retour sur l’itinéraire de l’ancien patron du Monde.



(…) Dans cette école (Sciences-Po), qui célèbre le «hijab day», l’auteur de Pour les musulmans a été accueilli sous un tonnerre d’applaudissement. Au cœur de ce microcosme en plein cœur de Saint-Germain-des-Prés, à deux pas du Café de Flore et des Deux Magots, le rebelle officiel est comme chez lui. «C’est une personnalité que j’admire beaucoup, j’espère qu’il va remettre Manuel Valls à sa place», confie une étudiante voilée. D’autres se montrent cependant plus sceptiques: «Je suis curieux de l’entendre débattre sur sa pratique journalistique. Il se présente comme un journaliste d’investigation assez neutre, mais ne défend-il pas certaines opinions?»

(…) Au contraire, il a insidieusement glissé de son rôle de contre-pouvoir vers l’abus de pouvoir permanent. Plenel a joué un rôle central dans cette dérive, usant de son pouvoir d’intimidation, de ses rapports intimes avec policiers et juges pour faire et défaire les carrières, clouer au pilori hommes politiques, patrons et intellectuels, traquant les «dérapages» des «néo-réactionnaires», calomniant sans scrupule des suspects (Pierre Bérégovoy, Dominique Baudis), recherchant coûte que coûte leur mort politique ou sociale. Pour les deux journalistes, Plenel n’est pas un enquêteur, mais un délateur. Dans le même mouvement, il soupçonne, accuse et condamne. Dans un chapitre intitulé «L’appel de Fouché», Cohen et Péan montrent un Plenel hanté par le ministre de la Police de Napoléon, dont il préface même les Mémoires. Sous sa plume, l’inventeur de la police moderne ne devient rien de moins que l’inventeur de «la politique moderne».

Péan et Cohen mettent également en lumière la dimension profondément idéologique de son journalisme. Dans les années 1970, le futur patron du Monde est le camarade Krasny, son pseudonyme à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Au début des années 2000, il reproche à Lionel Jospin d’avoir caché son passé trotskiste. Lui-même, n’a jamais vraiment rompu avec Krasny. Ce dernier restera son double malfaisant. «Le trotskisme comme expérience et comme héritage fait à jamais partie de mon identité», reconnaît-il lui-même dans Secrets de jeunesse (2001).

Aux ouvriers, ce trotskiste préfère ceux que Frantz Fanon appelle les «damnés de la terre», les colonisés. (…) Le jeune Edwy a vécu comme un arrachement le départ forcé de Martinique. Cet épisode de son enfance est peut-être la clé intime de sa rancune vis-à-vis de l’État, de la République et de la France.

Une rancune qui, selon Péan et Cohen, a contribué à faire basculer Le Monde dans l’idéologie des minorités et de la repentance. Pour le patron du Monde, «Vichy et la guerre d’Algérie sont devenus des dossiers toujours à instruire, note Péan et Cohen dans le chapitre “Ils n’aiment pas la France”. Parce que les deux périodes ont pour dénominateur commun de présenter l’État français sous son jour le plus défavorable. Parce qu’elles constituent des maladies infectieuses de la République, ou plutôt des symptômes de sa disparition…» Affaibli au sein du journal, il démissionne de la direction en novembre 2004, avant de quitter définitivement le journal le 31 octobre 2005.

Le 6 janvier 2015, Edwy Plenel court les plateaux pour mettre en garde contre la publicité faite à Soumission , roman d’un «auteur dont on sait depuis longtemps qu’il est islamophobe». Il alerte contre une «idéologie meurtrière» et la place grandissante que prennent les intellectuels «islamophobes». Ironie tragique: le lendemain, le 7 janvier, c’est une autre «idéologie meurtrière» qui frappe. Il ne s’agit plus de mots mais de balles réelles. La rédaction de Charlie Hebdo est décimée à la kalachnikov aux cris d’Allah Akbar. Ce jour-là dans les kiosques, l’hebdomadaire affichait sur sa une «Les prédictions du mage Houellebecq».

(…) Dans son ton mielleux et ses prédications inlassables sur l’amour de l’Autre, Edwy Plenel tient plus du curé que de l’anarchiste, «un trotskiste lacrymal» dit Pierre-André Taguieff. Un curé qui utilise la «religion des sociétés modernes» (Balzac) qu’est le journalisme pour diffuser ses idées. Une vision messianique de sa propre vocation de justicier qui le condamne à finir un jour lui-même au tribunal médiatique qu’il a contribué à créer. C’est une leçon de l’Histoire et de la dynamique révolutionnaire: les guillotineurs finissent toujours guillotinés."

Le Figaro
Analyse pertinente de Finkielkraut:
Plenel a perdu en crédibilité mais le Plénélisme en tant qu'idéologie se porte à merveille
Cette marée féministe aura tout de même laissé sur la grève, au reflux, le corps désarticulé d'un Ramadan quasiment éconduit même par les Oxfordiens, qui comptent parmi les plus belles âmes qui soient, et un saint Plenel très mal en point, qui pour la première fois semble en réelle perte de crédibilité dans les milieux les plus autorisés : il fallait le faire ! Je ne sais plus qui a écrit ici que les féministes pouvaient être les alliées objectives d'un Occident pugnace, mais cela se vérifie parfois...
Ramadan et Etui Péniel ont contre-dérapé.
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