Eh bien voilà, la "France en colère" a accouché d’un pet de souris. Le Système prétendument honni a gagné puisque les Français, pusillanimes mais qui se croient "frondeurs" et "insoumis", ont voté pour la fin de la France, pour l’immigration de masse, le Grand Remplacement et la soumission.
Illogiques, ils détestent l’immigration mais ils ont voté pour ; ils trouvent qu’il y a trop d’islam en France mais ils ont voté pour en avoir d’avantage ; ils trouvent que l’UE des commissaires se mêle de tout en dépit du bon sens mais ils ont voté pour la marche forcée vers le fédéralisme ; ils trouvent que l’Euro est une monnaie qui les appauvrit mais ils ont voté pour son maintien.
Il y avait pourtant un choix tout simple, évident : retrouver la grandeur et la liberté perdues ou accepter l’érosion de plus en plus rapide et la proche disparition. Dans ce quitte ou double, les "Macron de Panurge" (mot de Gilbert Collard) ont lâchement choisi « quitte ». Et les autres ont détourné les yeux en disant : c’est pas moi. Seuls 34 % ont choisi de lutter. Pas assez !
Je suis en colère. Je suis écoeuré. Mais je suis certain d'une chose : je ne serai pas Charlie au prochain attentat ! Je danserai la bamboula (c'est mon droit !) et je me contenterai de me soucier uniquement de mes proches en espérant qu’ils ou elles ne figurent pas parmi les victimes, puisque les Français ont accepté que ça se reproduise encore et encore en votant pour conserver leurs fichés S, en votant pour entretenir leurs salafistes et en accueillir d'autres, en votant pour le favori de l’UOIF qui avait en toute logique choisi celui qui favoriserait le mieux son implantation.
Je ne serai pas Whirlpool non plus puisque les Français ont voté pour l’avenir des délocalisations et la désindustrialisation de la France. Le XXème siècle avait eu ceci d’extraordinaire qu’il avait vu pour la première fois dans l’histoire du monde l’avènement et la prospérité d’une immense classe moyenne éduquée allant des ouvriers aux notables. Ça n'aura été qu’une courte parenthèse dans l’Histoire...
Je ne crois plus en l’avenir. Je suis en deuil. Le deuil de la France et, au-delà, de l’Occident tout entier. La choix de Marine (qu'importe si elle fut décevante lors du "grand débat") aurait été un étendard de liberté brandi à tous les peuples européens afin qu’ils s’en saisissent. Son éviction entérine La Soumission.
En 2022 il sera trop tard.
Trop d’eau putride aura coulé sous les ponts. Les dégâts du GR seront irréparables.
La honte d'être français indélébile.