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Manchester

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
23 mai 2017, 14:00   Manchester
Une vingtaine de gamins réduits en charpie par un nouvel attentat islamiste de plus, et, après quelques tweets de responsables politiques rédigés par des communicants, la vie, ou plutôt, "l'activité", reprend son cours. Bien. De cette absence d'ébranlement collectif de la part de populations entières que l'on somme, il est vrai, depuis des années de s'habituer à tout, leur mort spirituel d'abord, leur mort physique maintenant, il y aurait des livres à écrire. Mais dans l’immédiat, et en ce qui concerne l'épouvante de Manchester, que l'on ne s'interdise pas d'ironiser en avançant par exemple que dans cette ville musulmane (elle n'a rien à envier à Marseille et Birmingham), eh bien il s'y passe ce qui se passe dans bien des villes musulmanes d'Iraq, de Syrie, du Pakistan, d’Afghanistan et d'une bonne dizaine de pays d'Afrique noire : les femmes voilées et leurs gardes du corps barbus et effrayants sont partout, les entreprises et les pouvoirs publics sont aux ordres des fidèles, on mange halal dans la plupart des restaurants et, de temps à autre, on s'y fait exploser en beuglant "Allah akbar!".
Utilisateur anonyme
23 mai 2017, 15:38   Re : Manchester
Les Britanniques semblent eux aussi ne parler que d'une seule voix : "cet acte odieux ne réussira pas à nous diviser"...
Comme si la "fracture" n'était pas déjà consommée et nourrie dès le départ du côté adverse.

À part ça rien de bien nouveau : nounours, bougies, petits coeurs, "Nous sommes tous Manchester", "vounaurezpamahaine" etc. etc.
Islam n'y est pour rien ! cessez de le blâmer ! Ce soir-là Islam et ses potes s'occupaient de Mark Andrews et de Paul Bass : avec deux de ses copains, ils les ont conduit à l'appartement de Mark et là, ils ont massacré Paul à coups de poignard dans l'aorte en lui faisant manger sa guitare avant de forcer Mark à boire son urine et du produit détergent à vaisselle. Enfin quoi, Islam n'était pas à Manchester, arrêtez avec votre islamophobie à la gomme ! Islam était à son travail hier soir, pas en boîte merde !

[www.dailymail.co.uk]
On peut découvrir dans le "journal" 20 minutes cette curiosité de traduction :

"Le père, Ibu Ismael Abedi, était « très vocal » dans son opposition au djihad."

On demande aux spécialistes de nous expliquer quel est, selon eux, le père putatif de ce surprenant "très vocal".
Utilisateur anonyme
24 mai 2017, 07:52   Re : Les guillemets en restent cois
Curieusement, les seuls pays occidentaux épargnés par ces attaques terroristes sont les pays d’Europe centrale, lesquels ont échappé, au prix d'un combat quotidien avec l'UE, à un certain type d'immigration. Curieuse coïncidence, non ? Et on cherchera encore des poux à Orban, Le Méchant, qui refuse son quota de Chances à domicile et qui veut édifier un mur... Mais c’est l'équivalent de la grande muraille de Chine qu’il faudrait édifier tout le long de la côte méditerranéenne et le long de la frontière turque !
Pourtant il y a vraiment de quoi être inquiet (euphémisme), quand on voit les barcasses pleines à ras bord qui continuent inlassablement de vomir chez nous l’excédent de population du continent africain. Et comment ne pas être écoeuré, au regard de l'indifférence complice des Européens ?
24 mai 2017, 10:08   Re : Manchester
"Le père, Ibu Ismael Abedi, était « très vocal » dans son opposition au djihad."

Merdre alors ! Si le Père Ibu s'en mêle, on est foutu !
à Thomas : c'est de l'anglais."To be very vocal about something" signifie manifester une opinion bruyamment, la déclarer ou la défendre avec force, sans ambiguïté, etc.

Le dictionnaire monolingue Collins : You say that people are vocal when they speak forcefully about something that they feel strongly about. -- On dit de quelqu'un qu'il est "vocal" quand il s'exprime avec force sur un sujet qui lui tient à coeur.

He has been very vocal in his displeasure over the results.
Il a tenu à exprimé son mécontentement de ces résultats

A public inquiry earlier this year produced vocal opposition from residents.

Une enquête publique effectuée au début de cette année à suscité une forte opposition de la part des riverains.

La feignasse journaleuse aurait donc dû écrire en français quelque chose comme "le père I.I.A, avait fait connaître sa vive opposition (ou s'était montré vivement opposé) au djihad".
Citation
Pascal Mavrakis
Curieusement, les seuls pays occidentaux épargnés par ces attaques terroristes sont les pays d’Europe centrale, lesquels ont échappé, au prix d'un combat quotidien avec l'UE, à un certain type d'immigration. Curieuse coïncidence, non ? Et on cherchera encore des poux à Orban, Le Méchant, qui refuse son quota de Chances à domicile et qui veut édifier un mur... Mais c’est l'équivalent de la grande muraille de Chine qu’il faudrait édifier tout le long de la côte méditerranéenne et le long de la frontière turque !
Pourtant il y a vraiment de quoi être inquiet (euphémisme), quand on voit les barcasses pleines à ras bord qui continuent inlassablement de vomir chez nous l’excédent de population du continent africain. Et comment ne pas être écoeuré, au regard de l'indifférence complice des Européens ?

Pascal, vous filez un mauvais coton, là, à toujours associer... C'est comme ce reportage de France 2, vraiment outrancier dans son interprétation, qui semblait montrer récemment que, depuis la fermeture de la "jungle" de Calais, la vie, notamment dans le centre-ville, avait repris un cours normal et que les touristes anglais revenaient en nombre. Comme s'il y avait un lien logique ou quelque concomitance entre le départ de milliers de migrants, disons, pas toujours faciles à vivre, et l'amélioration de la qualité de vie quotidienne... N'importe quoi...
Utilisateur anonyme
24 mai 2017, 12:02   Re : Les guillemets en restent cois
M'est avis que le 93, bien "nettoyé" lui aussi, retrouverait tout son "charme d'avant", en un tournemain... (?)

Mais restons prudents : je ne fais que m'interroger, j'explore de nouvelles pistes (comme le ferait un journaliste du Monde).
24 mai 2017, 14:45   Re : Manchester
Exemplarité du cas Salman Abedi :

Salman Abedi est né à Manchester en 1994, le deuxième plus jeune de quatre enfants. Ses parents étaient des réfugiés libyens qui sont venus au Royaume-Uni pour échapper au régime de Kadhafi. Sa mère, Samia Tabbal, 50 ans, et son père, Ramadan Abedi, un agent de sécurité, sont tous deux nés en Libye, mais semblent avoir émigré à Londres avant de déménager dans la région de Fallowfield, au sud de Manchester, où ils ont vécu pendant au moins dix ans.

Il a grandi dans le quartier de Whalley Range et a fréquenté Whalley Range High School avant de travailler à la mosquée Didsbury en 2013. La mosquée Didsbury était à l’origine la « chapelle méthodiste Albert Park ». La chapelle a fermé en 1962 et plus tard est devenue un centre islamique. (The Telegraph)
25 mai 2017, 14:54   Les métamorphoses
Merci à Francis pour ses éclaircissements. Ainsi, pour comprendre les mystères du français de certains journalistes, mieux vaut connaître l'anglais.

En attendant, de prétendument "très vocal" contre le djihad, on apprend depuis que le père (de prénom Ramadan) est en réalité très membre d'une organisation islamiste de Libye... (idem pour la bombe : qualifiée d'abord "d'improvisée", elle est devenue "très sophistiquée")
25 mai 2017, 17:01   Re : Manchester
Lequel père a, comme tous les pères de djihadistes vus à la télé avant lui, commis le plus parfait des lapsus en assurant froidement (toujours fascinant, l'état psychologique de la famille des massacreurs...) que son fils n'était pas, ne pouvait pas être un meurtrier car il était un bon musulman. Or, qu'est-ce qu'être un bon musulman, un musulman ordinaire, dans le monde d'aujourd'hui, sinon, éventuellement, mourir en martyre ? Mourir en martyre ou pourrir la vie des non-musulmans (ci-dessous, c'est en Egypte, mais prenons conscience de ce que la situation, pour les femmes, est guère meilleure dans le quartier parisien de la Chapelle-Pajol) :


Voyage du pape en Egypte : « Comment j’ai été éduqué à détester les chrétiens »
25 mai 2017, 20:46   Re : Manchester
Aux dernières nouvelles, le père et le frère ont été arrêtés en Libye. Le père fut membre d'un groupe islamiste. Le frère, semble-t-il, était au courant du projet du tueur. Tout ce joli monde circulait sans encombre entre l'Angleterre et les pires bastions djihadistes. Des psychologues avaient prévu ce passage du réseau des frères à des réseaux impliquant tous les mâles de la tribu, y compris les pères.

Entre cette malfaisance structurée et celle des barbares isolés les plus authentiquement tarés (voir le bourreau de Sarah Halimi), nous voilà bien barrés.
25 mai 2017, 23:09   Re : Manchester
Je vous trouve un peu vocal.
26 mai 2017, 00:51   Re : Manchester
Thomas, un conservatoire, il va falloir créer pour les Français (ou disons, les "continentaux" aussi savants polyglottes soient-ils, comme vous l'êtes sans doute) un conservatoire où ils apprendront d'abord, comme au cours Simon, à ne point trop forcer leur talent, à savoir se retenir, et à ne pas se lancer trop vite dans ce qu'ils viennent d'apprendre. Je me porterai volontaire, comme toujours, pour animer ce conservatoire d'apprentissage de la langue nouvelle que promeut l'urbanité journalistique parigote, tout empruntée à l'anglais.

D'abord, "vocal" ne saurait valoir jugement du comportement d'un tiers, comme vous paraissez devoir le faire en visant notre ami Comolli. Ce terme dérive, comme vous vous en doutez, du verbe to voice, qui vaut pour tout ce qui désigne l'acte déclamatoire bien senti : he voiced his disagreement to the proposal -- il a fait connaître son désaccord avec notre proposition, avec véhémence. Partant, ce verbe, comme souvent les verbes, se muant ici et là en substantif ou en épithète, vocal est né -- plus exactement "to be vocal about something" est venu substantiver élégamment "he voiced his opinion about this or that". Il ou elle (surtout elle) est opinionated voyez-vous (rappelez-vous d'employer cet opinioné-e du meilleur genre si vous écrivez dans Libé ou les Inrock) et l'étant, le/la voilà qui se montre "vocal-e" sur la question, par exemple, pour les droits des LGBT ou celui de la GPA pour tous ou l'obligation d'étiqueter les bocaux de salicornes à la Bio-Coop de la sous-préfecture de manière à faire apparaître leur date de péremption et leur mode de recyclage ou pour faire entendre au public la nécessité de se mobiliser à la manif anti-Monsanto prévue à Quimper dimanche prochain.

Comprenez-vous ? donc, je vous prie, plus de "vocal" employé comme épithète ou attribut qualifiant le comportement d'un congénère comme je vous vois tenté de le faire. "Vocal" se dit d'un énoncé, d'une déclaration, de l'expression d'une opinion.

C'était notre rubrique Français, encore un petit effort pour ne plus être vous-même et ne plus ressembler à rien d'autre qu'à des carpettes du néant !
26 mai 2017, 09:05   Re : Manchester
Citation
Thomas Rothomago
Je vous trouve un peu vocal.

Définitivement. (Ce matin, sur France 2, la reine visitait les blessés de Manchester.)
Utilisateur anonyme
26 mai 2017, 12:40   Re : Manchester
Analyse non politically correct :

"Le discours post-attentat est désormais tellement bien rodé qu’un ordinateur pourrait écrire les articles à la place des journalistes. Seuls les noms et les dates sont à changer"
Read more at [www.atlantico.fr]
26 mai 2017, 13:36   Re : Manchester
Remarquable, cet article dans Atlantico :

"En France, les actes islamophobes ont baissé et l’image des musulmans s’est plutôt améliorée. Et chaque nouvel attentat renforce un peu plus les appels à l’amour, rejetant encore plus loin tout débat sur les causes des problèmes, et sur l’islam en général. Que ce soit par crainte d’un basculement dans la guerre civile, ou par empathie envers une population musulmane qui est vue sous l’angle de la seule victimation, les pouvoirs publics s’attachent prioritairement à écarter tout débat de fond pour se cantonner éventuellement aux problèmes d’organisation institutionnelle, ce qui paraît aussi dérisoire qu’inefficace. La critique de l’islam est découragée, voire sanctionnée, au moins moralement. Critiquer l’islam devient un sport de combat. A-t-on encore le droit de dire que l’on n’aime pas l’islam ? Ne pas être en admiration suffit à rendre suspect. Et ne parlons pas de la dénonciation de l’obscurantisme religieux, qui n’est manifestement plus d’actualité au pays de Descartes et de Voltaire.

Mais le problème ne s’arrête pas là. En partant du principe que l’islam ne pose aucun problème, voire que les musulmans sont eux-mêmes aux premières loges des victimes du terrorisme, une réponse coule de source : il faut faciliter son développement. C’est tout le paradoxe de notre temps : loin d’avoir provoqué un rejet de l’islam, le terrorisme favorise un processus d’accommodement et d’encouragement. Proposer un moratoire sur la construction de mosquées relèverait purement et simplement de l’hérésie, à l’heure où le discours institutionnel ne tarit pas d’éloges sur la civilisation islamique, à laquelle la civilisation européenne apparaît tellement redevable.



Read more at [www.atlantico.fr]

C'est la stratégie bon flic mauvais flic qu'on a plusieurs fois décrite ici : les assassins islamiques ont pour techniciens du service après-vente de leurs atrocités les amis de l'islam de civilisation, qui s'emploient, après chaque attaque commise au nom de l'islam où périssent des innocents, à Manchester beaucoup d'enfants, à faire aimer l'islam qui ne massacre point. Que le sang se prenne à inonder les rues de Paris au nom de l'islam et c'est dès le lendemain une manifestation contre l'islamophobie qui s'organise. Que des quartiers entiers de la capitale soient investis par des misogynes agressifs et dangereux tous marqués par la culture musulmane, originaires du Maghreb ou d'Afrique sub-saharienne et c'est dès l'annonce de cet état de fait dans la presse, des centaines de "féministes" qui se mobilisent pour manifester leur opposition à toute xénophobie et/ou islamophobie qui viserait ces migrants. Plus les massacres s'intensifient et plus l'islam qui ne massacre pas en ressort comme aimable, comme aimantant la reddition des peuples qui ne lui appartiennent pas encore. Les djihadistes ont-ils compris cette mécanique ? Probablement oui. Les Européens probablement non. Ils sont conduits vers les mosquées comme des moutons à l'abattoir, encadrés par deux bergers, celui qui manie le fouet et celui qui leur flatte l'encolure en leur disant qu'il les aime. L'islam qui ne fait pas couler le sang voit ainsi s'ouvrir un boulevard vers l'arraisonnement général des populations européennes, qui refusent de vivre terrorisées pour mieux se lover entre les pieds et dans le giron des patrons et commanditaires politiques des bourreaux.
26 mai 2017, 14:03   Re : Manchester
Les victimes au chevet des bourreaux, en quelque sorte.
Utilisateur anonyme
26 mai 2017, 14:49   Re : Manchester
Plus les massacres s'intensifient et plus l'islam qui ne massacre pas en ressort comme aimable, comme aimantant la reddition des peuples qui ne lui appartiennent pas encore. Les djihadistes ont-ils compris cette mécanique ? Probablement oui. Les Européens probablement non
////

Ils ont compris. Ils nous connaissent (nous les "teufeurs", nous les Tolérants, nous les "citoyens du monde", nous les "Vounaurépamahaine"). Car contrairement à ce que racontent les médias les djihadistes ne recherchent pas, je veux dire pas nécessairement, l'affrontement, la guerre de tous contre tous ("Si vous votez Le Pen, c'est la guerre ! Voter FN c'est faire le jeu des djihadistes", "ils n'attendent que ça", etc.). La soumission "tranquille", la conversion des populations au moyen d'une menace diffuse, toujours présente, sur un temps long, avec ici ou là une bombe qui nous pète à la gueule, me semble infiniment plus efficace, et aussi plus jouissive (j'imagine...).
26 mai 2017, 15:07   Re : Manchester
Retour à Manchester : sont-ce toujours des Anglais qui, ces derniers jours, en hommage aux victimes, ont accroché de gros ballons rose et dorés en forme de cœur, et chanté à l'unisson l'hymne vousnaurezpasmahainiste "Don't Look Back In Anger" ? Cette invraisemblable guimauve ne peut être le fait des Anglais tels qu'Emerson les décrivait, c'est impossible :

Les mœurs anglaises :

L'Anglais est de tous les hommes, me semble-t-il, celui qui a la plus belle assurance en lui-même. Ils ont eux-mêmes ce qu'ils apprécient tant de leurs chevaux, de la fougue et du fond (...) La qualité que l'Anglais met au-dessus de toutes, c'est le courage crâne. Et cette crânerie, ils la possèdent tous.
Utilisateur anonyme
26 mai 2017, 15:13   Re : Manchester
« Les djihadistes ont-ils compris cette mécanique ? Probablement oui. »

Et d'autant mieux qu'ils l'ont déjà mise en œuvre dans des dizaines de pays arabes ces trente dernières années... Ce qui a fonctionné là-bas naguère fonctionne également très bien ici.
Utilisateur anonyme
26 mai 2017, 15:19   Re : Manchester
Oui Pierre Jean... Et celle-ci : "Les Français sont le peuple européen civilisé par excellence." (Kerserling)

Pas mal non plus, hein ?...
26 mai 2017, 15:21   Re : Manchester
C'est bien un Anglais, très crâne dans son genre, John Lennon, qui composa la chanson Imagine, dont est inspirée celle-ci.
Utilisateur anonyme
26 mai 2017, 19:26   Re : Manchester
Le terroriste est un "Britannique de 22 ans"... Qu'on se le dise. (Puisque les foules réclament leurs berceuses trompe-couillons...)
27 mai 2017, 19:41   Re : Manchester
En tout cas, les habitants de Manchester n'ont vraiment peur de rien, surtout pas de l'avenir :

Les bagnards

(Prochaine queue : courir se faire enlever dare-dare ce tatouage.)
27 mai 2017, 20:30   Re : Manchester
Citation
Thomas Rothomago
En tout cas, les habitants de Manchester n'ont vraiment peur de rien, surtout pas de l'avenir :

Les bagnards

(Prochaine queue : courir se faire enlever dare-dare ce tatouage.)


Vous voulez dire, dard-dard .
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