Trrrrôôp mignon !

Puisque, comme on vous le dit, "il n'y pas plus de culture française que d'histoire de France" :



Pourquoi pas ?

On éprouvera un plaisir tout bathmologique, qui sait, quand, dans quelques jours à peine, une bonne vieille horde de jeunes viendra saccager toutes ces bonnes intentions hautement murayiennes.

Si c'est pas l'endroit le plus SYMPA de la terre, je ne m'y connais pas.

Je décide que ceci ne peut pas êtes vrai. Non ! Abbaye Beach ne peut pas exister (même si je me souviens qu'une artiste portugaise, une plasticienne comme on dit, avait suspendu, dans une salle du château de Versailles, un "chandelier" fait de tampons hygiéniques.)

Question : vous préférez çà ou une mosquée ?

Ouais... et c'est désormais le triste quotidien d'une "Europe festive" ayant, semble-t-il, supplanté la ringarde et non branchée "Europe culturelle".

La question de Thomas ne se pose pas : ce sera ça puis la mosquée, et chacun le sait bien car, lorsque la crétinerie niaise, infantile et vandale de la nursery mondialisée submerge même la France profonde, il n'y a plus grand-chose à espérer — si ce n'est en finir le plus vite possible.

Les deux font la paire remplaçiste, je crois.

"vous préférez çà ou une mosquée ?" Une mosquée est préférable à cette horreur, bien évidemment.

« Une mosquée est préférable à cette horreur, bien évidemment. »

On ne saurait mieux résumer ce qui nous arrive.

« Une mosquée est préférable à cette horreur, bien évidemment. »

Tout de suite après avoir lu cette phrase, on se sent plus soumis.

« Une mosquée est préférable à cette horreur, bien évidemment. » : c’est une provocation; j’exagère. Et pourtant…

« Au cœur du cloître de La Trinité » : je me demande si un catholique lambda est-il capable de définir, en quelques lignes, en quelques minutes (deux minutes, pas plus), le dogme de la Trinité; ou de l'assomption; ou tout simplement : c'est quoi un dogme ? Comme observe le frère dominicain T. D. Humbrecht : « dans une assemblée sur la religion, le chrétien c’est celui qui ne parle rien – c’est à ça qu’on le reconnaît » - car il ne connaît plus sa propre culture, sa propre tradition.

« On ne saurait mieux résumer ce qui nous arrive » : Abbaye beach, plutôt, résume à merveille, à elle seule, ce qui nous arrive, c'est qui est là, cher Meyer.

Non, Madame, je crois bien que les deux, et surtout les deux ensemble résument parfaitement ce qui nous arrive : le festivo-remplacisme, c'est-à-dire le suicide assisté par l'islam pour échapper à l'horreur du festivisme.