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Communiqué n° 2005 : Sur la mise en place officielle de la tyrannie remplaciste

Communiqué n° 2005, lundi 31 juillet 2017
Sur la mise en place officielle de la tyrannie remplaciste

Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) constatent qu’en le mois qui s’achève le macronisme, section française du remplacisme global, a déjà profité de son Assemblée nationale hébétée — sa “matière parlementaire indifférenciée”, en somme… — pour mettre en place officiellement la tyrannie remplaciste et la criminalisation de toute résistance à la substitution ethnique et civilisationnelle. Dans la nuit du 24 au 25 juillet, les députés ont intégré dans le code pénal une peine d’inéligibilité pour les personnes déclarées coupables de faits liés au racisme, à l’antisémitisme, au négationnisme, à l’homophobie et à toute forme de discrimination. Concrètement, les personnes condamnées pour ces délits seront déclarées inéligibles pour 10 ans, sauf décision motivée du tribunal. La “provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à caractère racial” (art. 24 alinéa 7 de la loi du 29 juillet 1881) est au nombre de ces délits. Or on sait de reste que ces qualifications souvent tout artificielles, surtout la dernière, servent en fait, la plupart du temps, à faire taire tous ceux qui prétendent résister au Grand Remplacement. Avec les nouvelles dispositions, ceux-là seront purement et simplement exclus de la communauté nationale. Ils deviendront, comme notre peuple, des morts-vivants.

Le parti de l’In-nocence et le NON notent qu’après le Canada et la Suède la France devient le premier pays à interdire de fait toute opposition à l’invasion, à la conquête, à la colonisation, à l’islamisation. En Europe, les gouvernements au pouvoir, à commencer par le nôtre, disent à leurs peuples indigènes : « Disparaissez, noyez-vous dans la masse, faites-vous oublier. Non seulement vous n’existez pas mais vous n’avez jamais existé ». L’antiracisme devenu fou en vient, comme le portait son nom, et par un tour complet de la spirale du sens, à promouvoir de plus en plus expressément le génocide par substitution d’une race, la moins nombreuse et la moins compatible, estime-t-il, avec la production industrielle de la Matière Humaine Indifférenciée (MHI).
L’antiracisme devenu fou en vient, comme le portait son nom, et par un tour complet de la spirale du sens, à promouvoir de plus en plus expressément le génocide par substitution d’une race, la moins nombreuse et la moins compatible, estime-t-il, avec la production industrielle de la Matière Humaine Indifférenciée
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Nous ne pouvons même plus être victimes de racisme puisque nous n‘existons plus. Du moins plus en tant que groupe, communauté ou race. Les Blancs n'existent plus, les Français de souche encore moins (sauf lorsqu'ils se rendent coupables de "racisme", c’est à dire de "mauvaises pensées").

Nous n’existons pas. Nous n’avons pas le droit de nous définir, de nous concevoir. Seuls ceux qui ne sont "pas nous" existent. Eux peuvent nous nommer (les "céfrans", les "faces de craie", les "boloss"). Eux existent par opposition à nous. Nous, non. Nous n’existons ni par nous mêmes, ni au travers d’eux, mais pour eux.

Nous sommes l’eau du bocal et ils sont les poissons.
Dans ce monde tordu et à l'envers, rendez-vous compte, les "laboratoires" (jargon urbano-sociologique) de l'Angleterre et de la France de demain sont Birmingham et Marseille... Ce constat prodigieux, que je lis cent fois par an, émane des mêmes qui, au bord de l'apoplexie, vous assurent que ce que décrit ce communiqué est un tissu d'âneries. Go figure...
@Pierre Jean

Un monde "tordu et à l'envers", comme vous dites.

Lorsqu'on en arrive à faire avaler à un peuple qu'une armée de traînes-savates incultes et fatigués de naissance va payer ses retraites, cela signifie qu’on peut vraiment lui faire gober n'importe quoi.
Mais le gobent-ils réellement ? That is the question.
Effectivement, c'est tout le problème. Je ne crois pas qu'ils le gobent, cher Marcel Meyer. Je crois qu'ils le veulent. Ou bien (on nous l'a suffisamment fait comprendre, concernant l'élection du président de la République) ils laissent faire. Ce qui, bien sûr, revient au même. À ceci près que la lâcheté et la soumission sont avouees.
Si l'on donne des coups de marteau sur la tête à quelqu'un en lui répétant "c'est pour ton bien et de toutes façons tu n'as pas le choix" gobe-t-il le "pour ton bien" ou le "tu n'as pas le choix"? La réponse sera toujours ambiguë, incertaine et strictement sans la moindre valeur ni importance.
Mais, Francis, ce qui vous apparaît être des coups de marteau, peut-être représente-t-il, pour le quidam en question, un sort, si ce n'est enviable, du moins tout à fait acceptable, vivable en quelque sorte.
Et pour les plus récalcitrants il reste encore le baratin prétendument scientifique d'un H. Le Bras, le démographe préféré des médias : "les migrants sont tous diplômés, nous recevons l'élite, etc. Désormais on émigre pour se réaliser (celle-là je l'adore)". Et puis, si ça n'est toujours pas suffisant, c.a.d. si le FDS refuse d'y mettre un peu de bonne volonté, les "assoces" antiracistes finiront le boulot.
« Désormais on émigre pour se réaliser »

On reconnaît la “science” d'Hervé Le Bras à ceci qu'elle prend immédiatement une tournure “Psychologie Magazine” propre à satisfaire et rassurer une population hébétée. Cette science se dispense allègrement d'en être une.
02 août 2017, 17:10   Les scrupules envolés
« L’antiracisme devenu fou en vient, comme le portait son nom, et par un tour complet de la spirale du sens, à promouvoir de plus en plus expressément le génocide par substitution d’une race... »

Dire que dans un passé pas si lointain, par louable souci de la plus grande exactitude possible, Renaud Camus avait scrupule même à utiliser ce mot de "génocide" pour désigner la Shoah ou les massacres perpétrés contre les Arméniens, arguant (cela pouvait se concevoir) que ce n'étaient là que "tentatives de génocide", et qu'une élimination physique incomplète et inachevée d'une groupe humain ne pouvait prétendre à une telle dénomination, si l'on voulait avant tout être dans le vrai...
Depuis, il semble bien que la diatribe anti-remplaciste, devenant elle aussi peu à peu aussi "folle" que son objet, néglige quelque peu la précision sémantique, mais est très affriolée par le rendu de tapageurs jeux de miroirs, anamorphiques de préférence.
Ce qui est donné comme sans issue et sans alternative, l'est aussi facilement comme sort. Voir cette affiche sur un autre fil où le message suivant est adressé aux Français de souche : "toi aussi tu es condamné à devenir un étranger". Quand une politique est présentée comme la seule possible elle se donne comme sort jeté par un sorcier démiurge.

Les apprentis sorciers qui dirigent l'Europe et la France sans consulter les populations sur les choix en matière d'immigration ne font plus de la politique : ils décrètent un sort national et européen.

L'amor fati vient en suite, tout naturellement ou par force, ça revient au même.
Gober l'amor fati ou la philosophie (politique) à coups de marteau dans la bouche :


Les apprentis sorciers qui dirige l'Europe et la France sans consulter les populations sur les choix d'immigration
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Croyez-vous réellement que, si ces populations étaient consultées, elles s'opposeraient au GR ? Au point où nous en sommes, permettez-moi d'en douter.
Les Anglais ont bien voté le Brexit. Ca leur a tout de même fichu un coup, à tous ces apprentis sauciers de Bruxelles et de Berlin, souvenez-vous du vent de panique du 24 juin 2016.

Ils cuisinent la démographie européenne comme des mitrons, des gâcheurs de sauce sans maîtres. Des marteaux sans maîtres aussi, qui sculptent la face de l'Europe à leur goût, selon leurs lubies, à coups de burin et de marteau migratoire, comme matière inerte, plastique, dont ils seraient eux seuls les maîtres de la couleur et de la forme, dont ils édicteraient les canons désirables.
Cher Alain Eytan, permettez-moi tout d'abord de vous rappeler que l'expression “génocide par substitution” a été inventée ou en tout cas réinventée par Aimé Césaire il y a une quarantaine d'années :

« Tous les Martiniquais sont frappés par l’arrivée ici, massive, de ce que certains appellent métropolitains… Et donc le mot de génocide par substitution est en train de revenir à la mode.Nous mêmes nous pensons que nous ne sommes pas à l’abri d’un génocide par substitution.
Ce qui se passe ici en Martinique, on se rend bien compte qu’il y a de plus en plus de Français, de plus en plus de Blancs qui s’installent un peu partout… je suis allé dans un petit bouiboui, et je rentre et les propriétaires étaient des Blancs, c’est toujours très surprenant.
Ces populations françaises qui sont là, ces populations blanches qui sont ici, le problème c’est pas leur présence qui me gène, ce qui me gène c’est que ces personnes se comportent comme des Français, c’est à dire comme des colons. Il faut foutre tous ces gens dans des vols charters et les renvoyer en France. »

La destruction des Juifs d'Europe entreprise par les nazis visait à leur élimination physique, un génocide direct, donc, purement et simplement. L'entreprise n'ayant abouti qu'imparfaitement (même si l'aire ethno-culturelle du “Yiddishland” a été bel et bien éradiquée), on peut en effet parler de génocide inachevé ou de tentative imparfaitement aboutie de génocide.

Ici on parle de quelque chose de différent. Il ne s'agit pas d'éliminer physiquement les Européens de souche mais de les supprimer en tant que peuples spécifiques (en tant que race(s) au sens ancien de ce terme), de les submerger, marginaliser, absorber par métissage et conversion et donc, finalement, les éliminer bel et bien en tant que nations, cultures, civilisations, d'opérer en somme en Europe ce qui a été assez bien réalisé sur l'autre rive de la Méditerranée. Dans ces conditions, l'expression de “génocide par substitution” n'est pas si mauvaise.

Concernant la question du consentement indigène, on lit souvent en effet, sous des formes diverses, que la submersion migratoire serait imposée aux populations européennes contre leur gré ou même à leur insu. Mais non, certainement pas, c'est impossible. Personne n'est assez bête ou assez ignorant de la réalité pour ne pas savoir ça, à part quelques idiots congénitaux et quelques hommes des bois, mais certainement pas une majorité suffisamment nette pour qu'on puisse dire que “les populations européennes” ne sont pas d'accord ou même pas au courant. C'est parfaitement absurde, quelques soubresauts comme l'ambigu Brexit nonobstant. Prétendre cela est donc une façon d'ignorer la réalité, à savoir le consentement actif ou tacite, ou à tout le moins la résignation, d'une majorité de la population à sa propre submersion, une affirmation tout aussi aberrante que le discours des médias et des intellectuels d'approbation qui font semblant de croire et qui affectent de démontrer que le Grand Remplacement est un fantasme. Toute réflexion, tout discours qui ignore ce consentement majoritaire constitue une fuite devant la véritable question : pourquoi ce consentement ?, et, ce faisant, contribue activement à la submersion. Ne pas poser la question c'est accepter.
Citation
Marcel Meyer
Toute réflexion, tout discours qui ignore ce consentement majoritaire constitue une fuite devant la véritable question : pourquoi ce consentement ?, et, ce faisant, contribue activement à la submersion. Ne pas poser la question c'est accepter.
J'aurais aimé savoir le dire. Merci, Monsieur.
Enfin bon... "la mise en place officielle de la tyrannie remplaciste", comparée à l'arrivée de Neymar au PSG, pour la majorité des Français, c'est que dalle !
» Cher Alain Eytan, permettez-moi tout d'abord de vous rappeler que l'expression “génocide par substitution” a été inventée ou en tout cas réinventée par Aimé Césaire il y a une quarantaine d'années

Aimé Césaire ne me convainc pas tellement en l'occurrence, cher Marcel, et je ne sais s'il est la référence ultime pour juger du bon emploi d'un certain vocabulaire, dans ce contexte (c'est pourquoi je faisais référence à un "jeu de miroirs", et une sorte de "retour à l'envoyeur" de certaine rhétorique) : si l'on sépare si nettement les caractères culturels et de civilisation des personnes qui sont censées les incarner, et emploie néanmoins ce mot de génocide ("indirect") pour désigner ce qu'on estime être une tentative de destruction d'iceux, j'aurai pour ma part toujours l'impression qu'on évoque rien moins que le meurtre avec préméditation pour qualifier des velléités suicidaires qui ne concernent même pas la personne physique de l'intéressé, mais certains aspects possibles ou supposés de sa personnalité, aspects à l'égard de quoi il ne manque d'ailleurs pas de marquer sa plus grande indifférence en règle générale.
Cela est trop éloigné du meurtre direct, réel et avéré pour ne pas entretenir un grand flou sémantique et être susceptible de multiples interprétations.
Je comprends vos réserves et les partage en partie mais, comme beaucoup d'autres, ce terme a, outre son sens précis, strict et restreint, d'autres sens plus flous et plus larges mais pas forcément illégitimes, quoique puissent ressentir ceux qui ont échappé à un processus génocidaire stricto sensu. En ce sens, dire que le Grand Remplacement, la submersion démographique suivie de la soumission, un processus qui n'exclut pas du tout les massacres ponctuels, au contraire, est un génocide par substitution est tout à fait acceptable : c'est le cas des Indiens d'Amérique du Nord bien qu'il y ait eu peu de massacres (les morts sont, pour l'essentiel, dues aux épidémies) et bien qu'ils soient actuellement en pleine renaissance démographique. Et le fait que, dans notre cas, le processus soit favorisé et sans doute même suscité par une volonté suicidaire ne change rien à l'affaire. En droit traditionnel, le suicide assisté est un assassinat — sollicité, certes, mais un assassinat quand même.
En effet, si au regard de l'interprétation la plus stricte possible de la législation (française) le suicide assisté peut être assimilé à un assassinat, je suppose qu'il ne serait alors pas absolument illégitime de traiter l'"assistant" d'assassin, et de le comparer moralement, et de toutes les façons qu'on voudra, le poids des mots faisant l'affaire, au meurtrier de la plus violente espèce.
Après tout, le sens des nuances, quand elles sont si subtiles, est peu de chose face à la présomption d'un crime aussi caractérisé et défini que la volonté expresse (volonté de qui ?) de tuer une identité dont le bénéficiaire ignore presque tout.

Je crois me souvenir, cher Marcel, mais il faudrait vérifier, que l'emploi du mot "génocide" concernant le sort des Amérindiens est très contesté parmi les historiens, la volonté, précisément, l'intention de la destruction physique (bien réelle celle-ci, et dans des proportions terribles) des peuples amérindiens n'étant pas globalement attestée, hormis quelques cas ponctuels d'assistanat à la propagation des maladies infectieuses ; encore une fois, cela est l'objet de multiples et contradictoires interprétations possibles, alors que le génocide assumé se veut quand même être un acte net, sans bavures, franc du collier, aussi définitif et sans appel que la mort qu'il distribue...

Toujours est-il que les termes qu'on emploie ne sont jamais neutres et sans conséquences : ce mot de génocide charrie automatiquement à l'usage toute l'imagerie, l'émotion et l’effroi que suscite le sens premier, conventionnel du mot, et l'on pense tout d'abord naturellement aux meurtres de masse, à l'extermination physique, et se sent le plus légitimement du monde en droit de nourrir de la haine et de l'abhorration envers ses perpétrateurs.
Allez donc vous défendre de la moindre accusation d"'incitation à la haine" etc. avec de tels mots-massues ainsi assénés : dans un dispositif rhétorique, quand une arme, en plus d'être si imprécise, vous place dans une telle position de faiblesse, on peut se demander si elle n'est pas tout simplement mauvaise...
[m.youtube.com]

Cher Monsieur Camus,

Si vous avez écouté ce court extrait, vous venez d'entendre de nouveau ce qui doit être sacralisé selon monsieur Valls, qui fut notre précédent chef de gouvernement.

Vous êtes également conscient que les décisions politiques prises par nos princes doivent se conformer à ce qu'ils considèrent comme sacré.

Je comprends, malheureusement, que vous perdriez le peu qui vous reste, si vous disiez ce qui, là encore, nous saute aux yeux.

Quoi qu'il en soit, je tiens à vous exprimer ma sympathie. Ce que vous avez accompli et continuez d'accomplir mérite, à mes yeux, le respect.

Sincères salutations.

Jean-Christophe Lantenac
@Alain

Oui. Mais les mêmes mots ne cessent de revenir avec le sens chaque fois nouveau que leur confère la constellation de sens du contexte.
Bien avant le récent Camus-Le Bras, le de Lesquen-Le Bras.

[m.youtube.com]
Sur le génocide comme élimination physique, tuerie de masse: celle du 13 novembre 2015 dans la capitale fit plus de victimes innocentes, désarmées, qu'aucune exécution de masse perpétrée par l'occupant allemand â Paris pendant l'occupation (les victimes juives, des otages, fusillées au Mont Valérien ne furent que 53 le 15 décembre 1941 pour un total de 71 tués ce jour là.).
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