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47 mots, pas un de trop

Envoyé par Thomas Rhotomago 
27 septembre 2017, 15:14   47 mots, pas un de trop
On voit bien dans cette vidéo qui est le maillon faible :


Les temps très modernes
Permettez-moi de tenter de mettre un peu de frivolité dans une actualité autrement plus pressante et qui mobilise la compagnie en relançant un sujet qui, visiblement, se passe de commentaires, absence de commentaires qui est, précisément, la question que je me pose.
20 octobre 2017, 10:53   Re : 47 mots, pas un de trop
La grande distribution - son univers pitoyable, ses centrales d'achat, est une composante majeure du système financier, que l'on réduit trop souvent au seul système bancaire.
Pour en faire la démonstration, il suffit de voir qu'un produit référencé dans une centrale d'achat rencontre pour réaliser sa vente, trois étapes de transformation:
(En d'autres termes, La grande distribution se compose de 3 métiers attachés les uns aux autres):

1) le référencement administratif (financier)
2) la centrale de distribution (grossiste)
3) le supermarché (vente au détail)

chaque étape est supposée justifier d'une marge, comme de bien entendu. Et comme on fait ici dans le financier, la marge est exponentielle (e1)

Par exemple, un cageot de salade acheté au producteur 1€ vaut:
1) 2,72 € = 1€ * e1 le cageot, pour le référenceur
2) 7,40 € = 2.72€ * e1 le cageot, pour la distributeur, la centrale d'achat
3) 20 € = 7,40 € * e1 le cageot, pour le commerçant, la vente au détail

2) et 3) s'observent facilement. Il s'agit du travail de commerçant ainsi que celui du grossiste avec ses camions de livraison.

Par contre celui de référencement, le plus important, qui relève du droit de cuissage financier, est d'autant moins visible qu'il n'a pas vraiment lieu matériellement. Aussi, la grande distribution cherche-t-elle par tous les moyens à matérialiser cette pseudo-activité afin de la rendre incontournable, nécessaire, indiscutable, insurpassable, ..., ce qui explique notamment l'existence de ces cartes de crédit qu'on présente en caisse, avec leur suivi statistique, le fichier et tout le service dématérialisé qui tourne autour.
En fait, ces cartes de crédit ont une fonction essentielle cachée, rendre le pillage aussi légitime que possible.

Tel est également le cas de l'automatisation. Il s'agit d'une méthode de contrôle temps-réel sur le flux de produits. Autrement dit, un ordinateur quelque part suit en temps réel les ordres de manutentionnaire avec pour objectif, toujours le même, rendre le service financier nécessaire à chaque étape.
Bien entendu, dans cette logique, l'homme ne compte pas puisqu'il n'existe pas. Qu'il réussisse ou non, importe peu puisque on peut toujours remplacer le manutentionnaire.

Ce qu'il faut noter, c'est que les femmes dociles y ont remplacé les hommes dociles. Malheureusement pour nos riches milliardaires délocalisés, dans le travail de manutention, les femmes sont nettement moins performantes que les hommes: il ne faut donc pas s'étonner s'ils cherchent des améliorations de ce coté-là.

Quant à Lidl, c'est quand même juste la wehrmacht appliquée au strudel: une bonne groß Disziplin, und dann, vorwärts !
A chaque jour son petit remplacement qui se passe de commentaires et auquel on ne peut rien puisque c'est le cours des choses et que l'on n'aime pas le genre littéraire dit "SF".


Aucun intérêt
31 octobre 2017, 23:29   Re : 47 mots, pas un de trop
Plaignez-vous : l'infirmière heideggerienne vous évitera de passer un nuit à l'hôpital où vous n'auriez pu dormir parce que les infirmier-e-s, aides-soignant-e-s et agents de salle auraient gueulé toute la nuit.
01 novembre 2017, 00:39   Re : 47 mots, pas un de trop
Eh oui, l'enfer est pavé de commodités.

Mais vous savez, les gueulantes du personnel médical, on peut toujours se donner l'ambition, fût-elle infiniment chanceuse, de trouver les moyens de les faire cesser, et se dire, si on n'y parvient pas, que c'est parce qu'on n'a pas trouvé ces moyens, tandis qu'avec les prescriptions de l'infirmière heideggerienne IL N'Y A RIEN A FAIRE NI A ESPERER.

Pouvez-vous comprendre l'horreur qu'il y a à entretenir des relations avec un robot qui singe l'être humain ? Je suis estomaqué que si peu de personnes ne soient pas révulsées par ces sortes de dialogues qui se nouent entre nous et les voix de robots et l'aisance avec laquelle on s'y accoutume.
01 novembre 2017, 10:00   Re : 47 mots, pas un de trop
D'expérience, je sais qu'il est absolument impossible de faire taire des surveillants d'une salle de garde ("on travaille, nous", "on a pas que vous" etc...), alors que le respect du repos des patients devrait être leur premier devoir ; et savoir qu'ils pourraient être discrets, qu'ils devraient l'être mais qu'ils ne seront pas par je-m'em-foutisme et en toute bonne conscience, c'est pour moi mille fois plus accablant moralement et usant pour les nerfs que d'être confronté à un robot dont on sait qu'il n'y a rien à attendre. Ce qui fait que les robots sont parfois exaspérants, c'est le fait de savoir qu'ils ont été mal programmés par des débiles. C'est l'humain derrière la machine qui me donne des envies de meurtre. Pas la machine. Mon MacBook air est un de mes meilleurs amis.
01 novembre 2017, 10:01   Re : 47 mots, pas un de trop
Je crois que dans l'avenir, il deviendra très difficile de faire la distinction entre des robots de plus en plus semblables à l'humain et des humains de plus en plus semblables aux robots pas seulement par l'aspect extérieur, la coiffure et l'habillement mais aussi par un formatage identique du ''psychisme'' . Pour l'humain ce formatage sera obtenu non par des logiciels mais par une propagande incessante, et son psychisme se simplifiera de plus en plus, abandonnant avec la littérature, les complexités, les conflits, les ''zones d'ombre'', la profondeur qui faisaient sa richesse et son originalité irremplaçable. Les hommes réduits à leur plus simple expression : quelques slogans, avec leurs comportements induits, adaptés à la doxa du moment , se ressembleront tous.On devine déjà à l'oeuvre cette normalisation de l'humain. En vieillissant, je vois plus mal et ne distingue plus toujours aussi bien du premier coup d'oeil les personnes à qui j'ai affaire.Et il m'arrive de plus en plus souvent d'avoir l'étrange impression que ''tout le monde se ressemble'' , surtout les hommes jeunes : mêmes cheveux rasés, mêmes barbes, mêmes vêtements et, surtout, plus étrange encore, mêmes voix.
Et le comble c'est que l'on traitera sans doute cette complexité disparue comme un signe de la barbarie des anciens temps.
01 novembre 2017, 15:23   Re : 47 mots, pas un de trop
Cassandre, je ne crois pas tellement au formatage durable et définitif du psychisme par quelques effets de modes et de propagandes ponctuelles, car ce qui est le produit d'une évolution de plusieurs millions d'années ne peut en principe être si facilement détourné de sa nature en quelques décennies : or cette nature première consiste à mon sens précisément en une plasticité, une ductilité et une adaptabilité étonnantes des facultés cognitives humaines, qui font que tout lavage de cerveau, s'il y en a réellement, est à peu près à cette indétermination essentielle ce que seraient les caractères acquis aux caractères héréditaires : les premiers ne se transmettent en principe pas.
Quant à l'"humanisation" des robots, je demeure quand même très sceptique, car c'est un effet en trompe-l'œil : tant que la boîte noire du psychisme humain, ce qui en caractérise la singularité, c'est-à-dire la pensée réflexive et la conscience de soi, demeurera en réalité parfaitement indéchiffrable et énigmatique, et donc non reproductible, la machine ne pourra donner le change que par sa puissance de calcul diversement sophistiquée, sans pouvoir accéder à cette dignité mentale que représente ce que nous appelons un "sujet", à quoi parvient sans même y penser n'importe quelle vlogueuse épanouie, activiste endoctrinée des réseaux sociaux ou même, comble de l'horreur, n'importe quelle féministe ; pour ne rien dire des mecs, même parfaitement idiots.
02 novembre 2017, 17:47   Le robot qu'il vous faut
Rémi Pellet sait par expérience qu'il "est absolument impossible de faire taire des surveillants d'une salle de garde" et, par conséquent, il aime encore mieux avoir affaire à un robot. Peut-être ajoutera-t-il qu'il n'est question que du "personnel hospitalier", mais comme chacun trouvera son irrécupérable braillard à remplacer avantageusement par un robot, si on applique ce type de préférence à l'ensemble des "nocents" que compte la société, cela revient à abandonner toute tentative morale ou politique qui tendrait à mettre un peu plus d'In-nocence dans les rapports humains, le seul effort à fournir consistant à bien programmer les robots destinés à remplacer les "nocents" afin que les "In-nocents" bien élevés n'aient plus à subir leur voisinage. Dans un tel système, seul le robot est perfectible, l'homme irrécupérable (sauf s'il cale son comportement sur celui des robots, ainsi que le relève Cassandre.)

Cela m'a rappelé une vidéo que j'ai proposée sur un autre "fil". On y voit un robot d'aspect féminin, prénommé Sophia, s'exprimer à la tribune de je ne sais quelle conférence high-tech, devant un parterre de Saoudiens fascinés, au point que l'Emir en chef a accordé la citoyenneté saoudienne à cette machine. Cela ne devrait pas prêter qu'à sourire. Peut-être ces hommes se prennent-ils à rêver aux progrès de la programmation des androïdes femelles, convaincus par expérience de l'impossibilité de maîtriser encore longtemps leurs femmes et la féminité en général. Les prochaines générations de Sophia seront les plus parfaites des houris (et de merveilleuses infirmières.)
03 novembre 2017, 17:27   Re : Le robot qu'il vous faut
Ce n'est pas tant la submersion migratoire est en elle-même qui est criminelle, c'est ce que les remplacistes en ont fait. On a oublié que le génocide des Tutsis avait été rendu possible par la propagande incessante anti Tutsis de la radio hutue des ''mille-collines''. Or depuis trente ans les médias hexagonaux ( comment les dire encore ''français''?) ne cessent de salir, de calomnier les Français dits ''de souche'' et assimilés (affirmant par ailleurs qu'ils n'existent pas) en les rendant responsables de tous les maux passés et présents dont se plaignent les nouveaux venus d'Afrique. Or si la propagande hutue a préparé le terrain au génocide tutsi on ne voit pas pourquoi la propagande hexagonale ne préparerait pas, en plus, le génocide violent du peuple historique français. C'est pourquoi il n'est pas si délirant que ça de redouter le pire du pire pour nos enfants.
04 novembre 2017, 14:41   Re : Le robot qu'il vous faut
L'enfant de Sophia

Que penser de cette tendance à "naturaliser" les robots ? A vouloir leur donner une espèce d'identité administrative. Ces "gestes symboliques" n'ont aucun effet sur les performances de ces appareils. A propos, les robots appartiennent-ils à la catégorie des outils ? (questions posées à tout hasard)

(Quant au dernier message de Cassandre, il me semble s'être posé par erreur sur ce "fil".)
04 novembre 2017, 15:07   Re : Le robot qu'il vous faut
Mirai, Godzilla, tout ça c'est de l'exorcisme collectif et processionnaire.
(Faudrait demander à Francis, mais il me semble que le Japon est un pays sans eau bénite).
 
04 novembre 2017, 15:23   Re : Le robot qu'il vous faut
Le Japonais est le cousin germain de la chenille processionnaire.

Chenille processionnaire



Japonais processionnaire

30 novembre 2017, 19:32   Re : 47 mots, pas un de trop
Le problème de l'Intelligence artificielle est le suivant : les hommes parviendront-ils à comprendre ce qu'on leur dit ?


cui-cui
30 novembre 2017, 20:08   Re : 47 mots, pas un de trop
ce recul pourrait être lié à des facteurs écologiques, mais aussi à des questions démographiques.

5 heures de télévision/téléphone/média par jour ? Non ?
(surtout ne le répétez pas) 
 
01 décembre 2017, 12:11   Re : 47 mots, pas un de trop
Mais l'article fait observer :

"les pays affichant les taux de QI les plus élevés en moyenne se trouvent tous en Asie, où la prolifération des objets connectés est pourtant très importante."
01 décembre 2017, 14:05   Re : 47 mots, pas un de trop
Cette baisse du QI est un relevé statistique qui traduit par conséquent un phénomène de masse d'ordre culturel, puisque le QI transcrit un ordre culturel. Quel phénomène de masse, aux larges implications démographiques et culturelles, a-t-il bien pu frapper des pays européens comme la France et la Grande Bretagne ces trente dernières années qui n'a pas frappé Hong-Kong ou le Japon ? Cherchez bien.
01 décembre 2017, 14:31   Re : 47 mots, pas un de trop
Les TV/médias ne font pas le QI s'effondrer.
Les TV/médias ne font pas les élections.
Les TV/médias ne sont pas des outils de propagande.

Reste la piste de l'information. Les médias seraient-ils des outils d'information. Ils n'interfèrent donc jamais avec rien et se contentent de délivrer l'information comme une fontaine à eau.



La définition du QI: il s'agit du quotient d'intelligence mesuré sur une population partageant un même substrat culturel. Calculer le QI sur une population hétérogène composé de 97 nationalités est une incongruité.

Disons, Européens, si la population est en Europe. Asiatiques, si la population est en Asie. Chimpanzés, si la population vient d'une forêt africaine. Sur 100 chimpanzés, il y a forcément un chimpanzé de QI>150. Non pas qu'il soit intelligent, mais parce que le calcul du QI produit une gaussienne. Donc, un chimpanzé sortira forcément du lot avec un QI très élevé.

Ce que l'article ne dit pas, c'est que sur des populations hétérogènes, comme aux USA ou en Europe désormais, le test du QI devient inapplicable. En fait, si. L'article le dit un peu en ne prenant comme exemple que des îles, l'Islande et la Nouvelle-Zélande, deux topographies qui prédestinent à une population homogène.
N'y manque que le Japon, la Grande-Bretagne Irlande, Madagascar.
.
01 décembre 2017, 15:35   Re : 47 mots, pas un de trop
Sur 100 chimpanzés, il y a forcément un chimpanzé de QI>150. Non pas qu'il soit intelligent, mais parce que le calcul du QI produit une gaussienne.

Exactement. On n'a rien dit quand on a dit que les QI était une donnée relative. Non seulement il est multi-relatif à une matrice culturelle mouvante, indécise, non normée, mais qui plus est il est relatif aussi quantitativement à une population arbitrairement choisie (une nation aux contours terriblement brouillés s'agissant de la France ou de la Grande Bretagne). Aux pays des aveugles les borgnes sont rois m'a-t-on appris à mon sujet quand j'avais douze ans : rien n'est plus vrai. L'intelligence ne se décèle que parmi les cons. Autant dire qu'elle ne vaut rien.
En attendant de discuter du sexe des robots.RAS
23 janvier 2018, 11:33   Re : 47 mots, pas un de trop
100 000 questions ?

N'importe quoi.
Le prochain test prévoira surement 1.000.000 de questions
Et l'article deviendra:

Etats-Unis : deux systèmes d'intelligence
artificielle survivent à des humains à un test
de lecture et de compréhension


C'est ce que je dis toujours, il ne faut pas confondre les maths et la physique.
Les maths servent à quitter la réalité. La physique sert à la (re)trouver ...
Demandez à alibabamicrosoft de prendre un test génial et de lui faire faire un pas à droite ...

Dans la même série, il y a aussi AlphaZero .
 
La force de l'I.A c'est de progresser en faisant rire ou sourire les seuls dépositaires de la conscience que nous nous flattons d'être. On a du mal à prendre au sérieux ces robots qui donnent l'impression de singes savants à qui on fait exécuter des pirouettes, jouer à des jeux de société ou répondre à des Quizz. Et puis, un jour, on se retrouve à devoir leur répondre, comme seul interlocuteur. Un autre jour, on les trouve bien pratiques et un troisième, on ne peut plus se passer d'eux pour prendre la plus petite décision.
23 janvier 2018, 20:42   Re : 47 mots, pas un de trop
Exact.

A un détail prêt tout de même, ces I.A sont conçues pour être immobiles. Les robots sont des objets immobiles. Ce qui est montré et qui échappe à cette règle, relève de la propagande.

Ce système ne fonctionne que parce que nous acceptons d'utiliser notre mobilité à l'usage de ces machines. Le jour où ces super-calculateurs seront perçus comme toxiques, le rapport à la machine changera du tout au tout, et les gens n'accepteront plus de livrer leur mobilité sans y voir un prix.

Ce qui est recherché dans tous ces systèmes impressionnants, c'est notre assujettissement : nous devons nous livrer à eux car ce qu'ils attendent de nous, c'est que notre mobilité, celle de la société en général, soit mise à disposition.
C'est ce qui fait la rentabilité du système: le temps et la mobilité que nous lui consacrons est gratuit.

En réalité, cette science scientologiquement scientologiste dissimule un phénomène premier, celui de la prédation, car Cette quête ne conduit qu'à accaparer ce qui existe déjà. Elle n'est pas du tout faite pour CREER. D'un point de vue fonctionnel, elle n'apporte strictement rien parce que ses limites physiques ont déjà été atteintes.
Ainsi, par exemple, l'automatisation à outrance: amazon qui ouvre des supermarchés sans aucun personnel. Qu'est-ce que ça nous apporte exactement ?
Qu'est-ce que ça nous apporte exactement, des supermarchés sans aucun personnel ? A nous, rien, ou plutôt une couche supplémentaire d'ennui ou d'envie de panne générale.

Aux dirigeants des GAFA, j'imagine que cela rapporte plus d'argent afin de continuer à financer les programmes du transhumanisme qui, qu'on le déplore ou s'en félicite, représentent le seul et unique projet clairement identifiable - et présenté en tant que tel - des Occidentaux.
Sous le manteau, la littérature.




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Donc, si l'on comprend bien, les romans devront être conçus après avoir été écrits. Ou comment faire en sorte que les bœufs courent après la charrue. Le monde moderne est impayable.
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Il ne suffit pas de dire que la réalité dépasse la fiction, encore est-il bon de préciser quelle sorte de fiction. En l'occurrence, ce serait celle des Contes cruels de Villiers tels que "La machine à gloire" ou "L'appareil pour l'analyse chimique du dernier soupir" ou encore "L'affichage céleste"...
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