« Les règles, rappelle le collectif, ont aussi un coût financier souvent entièrement supporté par les femmes : les protections hygiéniques coûtent ainsi 23 500 euros dans la vie d’une femme. »
Comme toujours, et comme les associations anti-racistes, elles réclament de l'argent. Et cet argent, ce sont naturellement les hommes qui vont devoir le leur verser, via ce racket qui s'appelle état-providence. Non pas un homme en particulier, donc, mari ou compagnon, mais tous les hommes,
collectivement et sans exception, car ils sont
tous coupables. Il faut bien qu'ils saignent, eux aussi (c'est déjà le cas, mais ce n'est jamais assez).
Dans peu de temps, vous verrez que les membres de la vaginocratie seront dispensées de travailler les jours où elles saignent. Ce sera leur prochaine conquête. Il faut dire qu'après avoir obtenu le “droit” de travailler, elles se sont rendues compte que le travail, finalement, ce n'était pas si amusant que cela. Il convient donc de réduire autant que possible le dit travail, tout en conservant avantages et salaire. Les menstrues sont une excellente excuse.