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Black American women celebrate falling barriers as Meghan Markle joins royals

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
L'amour des Britanniques pour toutes celles et ceux qui ne sont pas blancs ne pouvait que devenir fou avec l'arrivée, dans la famille royale, d'une jeune femme ayant des origines afro-américaines par sa mère : [www.theguardian.com]

"Prince Harry’s future mother-in-law is a black woman with dreadlocks (...) There are no words for this kind of joy." ("La future belle-mère du prince Harry est une femme noire qui porte de longues tresses rasta. Il n'y a pas de mots assez forts pour exprimer la joie que l'on ressent".)

Parions que dans une poignée d'années, il sera tout bonnement impossible, en Angleterre surtout, que deux jeunes gens blancs se marient. Ou alors, en s'unissant, ils prendraient le risque de former un couple honni par leur famille et le cercle de leurs proches. Ils s'exposeraient à la répudiation sociale et vivraient cachés dans la honte et le déshonneur.
Ces antiracistes n'ont qu'une obession, qu'un programme, qu'un idéal : la promotion de leur race.
La promotion de son groupe ethno-racial est la manière africaine de faire de la politique. C'est de la politique africaine en France. Cette manière d'agir en politique, faut-il le dire, est tout à fait respectable. Elle est solidement articulée sur les règles fondamentales et les grands principes de l'imposition de soi dans l'existence de l'autre. En ce sens, cette politique africaine native, logique, rationnelle et qui se joue et s'applique au-delà des lois de l'économie qui régissent l'existence générale du Blanc depuis deux siècles, est purement nietzschéenne.

L'Africain sub-saharien, dont l'oeil est puissamment perspicace, voit le Blanc comme une ethnie parmi d'autres. Un peu particulière cependant cette ethnie, en ce sens qu'elle est maçonnée dans la naïveté, la négligence de ses intérêts tribaux élémentaires, l'oubli de soi et de sa lignée, la bêtise la plus théâtralement comique quand il s'agit de se poser face à qui l'enjoint, le sollicite, le tente de céder son âme, son histoire et ses anciens.

Le Blanc est décidément un groupe ethnique intéressant : à la fois couillonnable comme pas deux et dangereux comme un lion quand il se pique d'on ne sait quoi. On peut le piéger comme un rat, que c'en est décourageant tant c'est facile, mais il faut se méfier de ses sautes d'humeur, toujours dangereuses et qui sont typiques de qui ne comprend ni le monde ni l'humain.
En réalité, notre groupe ethnique ne pourra se re-construire que sur un enjeu ultime : la question de la vie et de la mort. Seul le militaire est fédérateur, et face à l’extrême danger, il est la seule réponse possible. Or ce danger arrive en courant, l’Europe vieillissante riche et apathique ne manquant pas d’attiser les convoitises.
Puis viendra le moment de la décision, celui de la reconnaissance de l’ennemi. Ce sera le sursaut ou la mort.
Citation
Pascal Mavrakis
En réalité, notre groupe ethnique ne pourra se re-construire que sur un enjeu ultime : la question de la vie et de la mort. Seul le militaire est fédérateur, et face à l’extrême danger, il est la seule réponse possible. Or ce danger arrive en courant, l’Europe vieillissante riche et apathique ne manquant pas d’attiser les convoitises.
Puis viendra le moment de la décision, celui de la reconnaissance de l’ennemi. Ce sera le sursaut ou la mort.

Ce moment de la désignation de l'ennemi, celui-ci étant par définition à abattre dans le contexte de péril civilisationnel qui paraît bel et bien être le nôtre, pourrait arriver trop tard. En France, le nombre d'islamo-racailles armées jusqu'aux dents et celui des aspirants djihadistes qui ont infiltré la police, l'armée et les équipes de sécurité [de la RATP, d’Aéroports de Paris voire des centrales nucléaires et des entrepôts d'armes] risquent de bientôt faire pâlir de crainte des forces françaises rouillées, démoralisées et abandonnées par le peuple et par l'Etat.

Et je ne parle pas des ubuesques ventes d'armes de destruction massive de la France aux monarchies du Golfe, monarchies dont les éléments rivaux des tribus qui les dirigent financent à titre privé la totalité des organisations terroristes aujourd'hui actives. Si ces éléments prenaient le pouvoir, il serait "savoureux" d'assister au bombardement de Notre-Dame ou de l'Elysée par un Rafale piloté par un barbu...
Ce moment de la désignation de l'ennemi, celui-ci étant par définition à abattre dans le contexte de péril civilisationnel qui paraît bel et bien être le nôtre, pourrait arriver trop tard
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"Décision", "ennemi", "abattre l'ennemi", "péril civilisationnel"...

Non mais quelle horreur !!! Et le vivrensembleuuuh dans tout ça - hein ?
Ce qui est en revanche certain, c'est que toutes les grandes thématiques schmittiennes débarquent sur le devant de la scène :

1) La guerre menée en Irak par les Etats-Unis a marqué un retour à la "guerre juste", moralo-humanitaire, où l'ennemi devient une figure du Mal, dont Carl Schmitt avait dénoncé les effets dévastateurs.
2) L'avènement d'un terrorisme "global" renvoie directement aux thèses exposées par le penseur dans sa "Théorie du partisan".
3) L'instauration dans les pays occidentaux d'un "état d'exception" qui tend de plus en plus à devenir permanent ne peut se comprendre qu'en référence à ce qu'il a pu écrire sur le "cas d'exception".

Mais les "humanistes", sans l'avoir jamais lu, abhorrent Schmitt.
Pascal, Francis : le numéro de Critique de septembre 2017 est consacré à la correspondance qu’entretinrent Schmitt et Kojève, avec publication de la dite correspondance mais aussi une conférence du feu de Dieu de Kojève sur la colonisation et sur le destin de l'Europe. (Francis, je fais le pari que vous y trouverez matière à la plus dense réflexion ; Renaud Camus itou)
@Pierre Jean

Merci beaucoup !

Saviez-vous que Bataille, qui fut un auditeur passionné des cours de Kojève, avoua, selon ses propres termes, en être souvent sorti "rompu, broyé, tué dix fois" ?...
C'est la revue Philosophie, n° 135, n'est-ce pas ?

[www.leseditionsdeminuit.fr]

Lors de cette conférence prononcée par Kojève au Rhein-Ruhr-Club de Düsseldorf, qui fut organisée par Carl Schmitt lui-même, il exprime sa vision de l’Europe comme espace et société unifiée : il s’agit d’un plaidoyer pour une sorte de Grossraum européen.. .

Et après ça on nous contestera en pouffant que l'UE est une refondation molle du Reich.
Au tps pour moi, Philosophie, en effet, pas Critique !
Citation
Pascal Mavrakis
@Pierre Jean

Merci beaucoup !

Saviez-vous que Bataille, qui fut un auditeur passionné des cours de Kojève, avoua, selon ses propres termes, en être souvent sorti "rompu, broyé, tué dix fois" ?...

Oh que oui, je connaissais ce témoignage de Bataille ! Je suis cette sorte de lecteur : fasciné, un peu bêtement, juvénilement, dois-je dire, par la puissance cérébrale des titans de la pensée, les plus grands historiens de la philosophie en particulier. A cet égard, j'ai un faible pour Martial Guéroult, qui, tenez-vous bien, intimidait Jean Hyppolite (Jean Hyppolite, dont les meilleurs philologues allemands préféraient sa traduction en français de la Phénoménologie de l'esprit à l'original !). L'oeuvre de Victor Delbos, également, est d'une ampleur savante et analytique qui a quelque chose de quasi comique (Guéroult: "Delbos ne se trompe jamais").
Citation
Pierre Jean Comolli
Citation
Pascal Mavrakis
En réalité, notre groupe ethnique ne pourra se re-construire que sur un enjeu ultime : la question de la vie et de la mort. Seul le militaire est fédérateur, et face à l’extrême danger, il est la seule réponse possible. Or ce danger arrive en courant, l’Europe vieillissante riche et apathique ne manquant pas d’attiser les convoitises.
Puis viendra le moment de la décision, celui de la reconnaissance de l’ennemi. Ce sera le sursaut ou la mort.

Ce moment de la désignation de l'ennemi, celui-ci étant par définition à abattre dans le contexte de péril civilisationnel qui paraît bel et bien être le nôtre, pourrait arriver trop tard. En France, le nombre d'islamo-racailles armées jusqu'aux dents et celui des aspirants djihadistes qui ont infiltré la police, l'armée et les équipes de sécurité [de la RATP, d’Aéroports de Paris voire des centrales nucléaires et des entrepôts d'armes] risquent de bientôt faire pâlir de crainte des forces françaises rouillées, démoralisées et abandonnées par le peuple et par l'Etat.

Et je ne parle pas des ubuesques ventes d'armes de destruction massive de la France aux monarchies du Golfe, monarchies dont les éléments rivaux des tribus qui les dirigent financent à titre privé la totalité des organisations terroristes aujourd'hui actives. Si ces éléments prenaient le pouvoir, il serait "savoureux" d'assister au bombardement de Notre-Dame ou de l'Elysée par un Rafale piloté par un barbu...

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