Ca vient

Le Rédempteur a brisé toute entrave, la terre est libre et le ciel est ouvert
Il voit un frère où n'était qu'un esclave
L'amour unit ceux qu'enchaînait le fer.

C’est un chant français, autant dire une folie paulinienne-robespierriste dont l'esprit national a le secret.

C’est bouleversant et ça ne mourra pas. Ici par Georges Thill :

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Leur dieu a échoué.

Lumière versée par Aldo Sterone sur le dieu des musulmans, celui qui a égorgé deux jeunes filles françaises à la gare Saint-Charles il y a deux mois. Je n'avais pas regardé cette vidéo, alors même que ce double assassinat a suscité un fil de discussion à plus de 200 messages sur notre forum. L'éclairage est en éclairs. Il est donné par une parole qui émane de l'intérieur de la société arabo-musulmane : vos flics ne comprennent pas l'arabe dit Aldo, ce qui explique que vos djihadistes soient les pires, qu'ils fassent peur même aux djihadistes saoudiens.

Les plus virulents et meurtriers des djihadistes au monde ont leur base nulle part ailleurs qu'à Paris et Bruxelles, villes où "les flics ne comprennent pas l'arabe", ce qui signifie entre autres qu'une seule langue peut et doit s'opposer à ce fléau : celle du bâton et du bras séculier de puissances conscientes et résolues. Ne tentez pas d'éliminer les moustiques sans assécher les marécages dit Aldo, car le djihad est une entreprise d'abord subliminale, non spectaculaire : attaquer les radicalisés à la racine, celle qui plonge dans le quotidien de la prédication dite modérée. La présente vidéo de ce personnage remarquable de courage, A. Sterone, vaut trois essais de nos "experts" en islam :


[www.youtube.com]

A Marseille, toujours : [www.laprovence.com]

L'imam légitime le djihad, compare les juifs à des porcs, admet que sa mosquée est financée illégalement, appelle à la "destruction" (tiens, j'ai déjà lu ce terme quelque part...) des mécréants, j'en passe et des meilleures. Et que cela vaut-il à ce nazi superstar de son quartier ? La fermeture provisoire de sa mosquée. Pro-vi-soire.

Aldo le rappelle dans sa vidéo : en Algérie (qui ne compte sur son territoire qu'un nombre très limité de combattants de l'EI), cette sorte de prédication n'est même plus possible. Je le dis régulièrement à mon épouse, qui ne l'entend plus désormais comme une blague : nous finirons nos jours en Algérie : une démographie maîtrisée, un Etat fort, une population purgée de sa lie, un coût de la vie plutôt bas. La côte y est paraît-il magnifique, totalement exempte d'Italiens en short fluo (après Boumediène, le complexe militaro-industriel a stoppé net le développement du tourisme.)

Aldo Sterone:
- « Les premiers ethnologues quand il sont arrivés en Arabie Saoudite, ils ont trouvé l'arabe primitif en train de tourner autour d'un cube noir disant qu'il y a une pierre ^[noire] qui est tombée du paradis et que dieu à parlé à leur ancêtres il y a longtemps, je peux vous dire que cette histoire, à l'époque, elle a fait rire dans les foyers (...) »

Aldo Sterone dit vrai sur tout, sauf peut être sur cet arabe primitif. Ne lui en déplaise, cette fascination semble plus justifiée qu'il n'y parait. En particulier quand on a la culture du désert.

Les pierres météoritiques sont très recherchées par l'Humanité toute entière depuis l'aube des temps. Elles ont un caractère sacré et religieux tout simplement parce qu'elles sont la seule source de fer et donc la source d'un grand pouvoir guerrier. Avant l'âge du bronze, il n'y a de fer que dans les météorites.
Alors pourquoi cette fascination des bédouins ?
Les météorites sont appelées perle du désert. Car il n'y a que dans le désert que l'on parvient à les trouver (le pôle nord est aussi un désert). Théorore Monod n'a jamais manqué une occasion d'aller chercher des météorites. Elles fascinent et en plus elles donnent un pouvoir considérable à celui qui détient une arme faite en fer météoritique.
Évidemment, plus la météorite est grosse, plus elle fascine.

Avec ça, on est vraiment du côté des religions primitives et des divinités chthoniennes.

(À l'âge du bronze, le métal des objets en fer venait des météorites)

D'ailleurs, à bien y réfléchir, cette fascination semble intacte.
Un grain météoritique de 3 grammes, s'il est arrivé sur Terre en provenance du nuage d'Oort par exemple, permet de savoir de quoi se compose ce nuage.
S'il fallait un programme spatial pour aller chercher ce grain de 3 grammes, cela couterait 30 milliards de dollars, et il faudrait 50 ans pour le ramener sur Terre.
Donc à, à peu près 10 milliards de dollars le gramme, on voit bien que le côté fascinant de la météorite n'est pas encore épuisé.
Un des hommes les plus riches d'Algérie est un chercheur de météorites.