Le site du parti de l'In-nocence

Penisneid

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
11 janvier 2018, 11:19   Penisneid
Quelle photo parfaite pour illustrer cette soirée de prestige où la bite des hommes fut cent fois arrachée par d'ardentes féministes :

[www.nytimes.com]
11 janvier 2018, 17:28   Re : Penisneid
Ces femmes veulent pouvoir tenir une bite dans la main sans devoir s'approcher d'un homme. Si elles sont "castratrices", c'est en ce sens : séparer le bon grain de l'ivraie ; pouvoir baiser une jolie bite sans devoir subir la promiscuité avec l'homme, cette bête affreuse couverte de poils, sentant l'aïl et le démon.

Leur sexualité est celle de n'importe quelle gamine de 14 ans qui rêve de bite toute la journée mais qui se ferait hâcher menue plutôt que de devoir "payer de sa personne" pour en tenir une dans la main. Leur schizophrénie caprieuse dans leur rapport à la sexualité et à l'homme (qu'elles ne se gênent aucunement pour animaliser en "mâle") est celle de ces merdeuses immatures qui remplissent les classes de quatrième, qui rêvent de jouer à la poupée avec une bite et qui prennent leurs jambes à leur cou quand "la bête" se présente tout équipée à leurs yeux. L'homme n'arrive à rien face à cela, il est détruit parce que dans leur esprit fantasmatiquement scindé, il est un gode désirable et une bête repoussante tout en un, il est objet et bête, cela uniquement et jamais rien d'autre. Aucune issue pour lui. Laisser ces paumées jouer, baisoter et s'échanger l'objet de leur incomplétude, l'objet yes-but, pendant leur soixante-dix ans de vie d'adulte et se livrer à de vraies femmes, intérieurement habitées de leur fente paradoxale, maîtresses souveraines de leur fente-scission, et qui comme tout adulte respectable, vit tout déchirement hors le don de soi, lequel est entier, sans réserve ni théâtral yes-but-me.
Utilisateur anonyme
11 janvier 2018, 22:25   Re : Penisneid
Laisser ces paumées jouer, baisoter et s'échanger l'objet de leur incomplétude, l'objet yes-but, pendant leur soixante-dix ans de vie d'adulte et se livrer à de vraies femmes, intérieurement habitées de leur fente paradoxale, maîtresses souveraines de leur fente-scission, et qui comme tout adulte respectable, vit tout déchirement hors le don de soi, lequel est entier, sans réserve ni théâtral yes-but-me.


Quand on songe à la somme d'efforts "intellectuels" et aux complications mentales inutiles nécessaires pour ajuster le moindre nos comportements à cet être étrange qu'on appelle la femme occidentale on se prend à rêver de la clarté du langage physique (et symbolique) chez les primitifs. Plus on examinera ces peuples, plus la nostalgie en grandira dans nos consciences meurtries d'Occidentaux.

Il faut voyager, franchir les océans, les villes, les continents, les latitudes, aller trouver les vraies femmes, s'y offrir totalement.
Ah, les vraies femmes... Cela dit, toutes fausses qu'elles soient, pourvu qu'elles aient un vrai sexe et un cul d'ange, ce qui est ou du moins certes fut le cas de certaines des femmes paradant dans la photo, le vrai mâle que vous êtes devrait pouvoir y trouver son compte et passer outre l'embarras des mentalités de pacotille.
Mais ne vous en déplaise, chers amis, l'homme n'est à lui seul qu'une vaste et inextricable complication, problème pour tout et solution de rien, aussi l'Occidentale enchifrenée lui va-t-elle après tout comme un gant, avec ses détours, ses mignardises perverses et ses dissociations, et au bout du compte les fausses simplicités semblent encore bien plus tordues que les authentiques entortillements qui se présentent comme tels.


« Héraclite, Georges de La Tour, je vous sais gré d’avoir de longs moments poussé dehors de chaque pli de mon corps singulier ce leurre : la condition humaine incohérente, d’avoir tourné l’anneau dévêtu de la femme d’après le regard du visage de l’homme, d’avoir rendu agile et recevable ma dislocation, d’avoir dépensé vos forces à la couronne de cette conséquence sans mesure de la lumière absolument impérative : l’action contre le réel, par tradition signifiée, simulacre et miniature. »
Utilisateur anonyme
14 janvier 2018, 17:51   Re : Pour la complexité, ou le cul de l'Ange
Il n'y a pas de femmes vraies ou fausses : il y a une nature féminine qui est la même partout et à toutes les époques. Simplement, celle-ci peut révéler un visage plaisant ou odieux selon le contexte où elle se trouve. Tous ces braves Occidentaux qui sont allés chercher une gentille petite épouse traditionnelle en Asie (par exemple) en ont fait l'amère expérience quand ladite petite épouse s'est subitement transformée en harpie enragée après avoir baigné quelques mois ou années dans le bain féministe occidental. Divorce, maison, voiture, garde des enfants, pension alimentaire, mari sur la paille — toujours la même histoire. Et notre abruti de service pensait avoir trouvé une vraie femme...

Ce qui est certain, c'est que le féminisme essaie en ce moment de s'internationaliser à toute vitesse. Il commence à infiltrer sérieusement les pays en voie de développement. Voyez la poussée de fièvre iranienne d'il y a 15 jours : en soi, elle n'avait rien d'exceptionnel : cela se produit tous les cinq ans environ. Mais cette année, tout le message, tout le symbole avait à voir avec la Femme, sa liberté, etc. Et cela contrairement aux fois précédentes, où il était essentiellement question de droits de l'Homme et de démocratie.

Le combat mondial et, à vrai dire, titanesque qui va avoir lieu sous nos yeux mettra donc face-à-face le féminisme (déjà archi-vainqueur par K.O en Occident) et le patriarcat (qui ne s'exprime plus gère, hélas, que sous les espèces de l'islam).

Quelle que soit l'issue du combat, elle ne sera pas réjouissante.
Êtes-vous en train de nous dire, Trystan, que désormais les seuls mecs capables de faire pièce à l'islam soient les femmes ? Eh ben dites donc...
Utilisateur anonyme
15 janvier 2018, 00:36   Re : Pour la complexité, ou le cul de l'Ange
Ne nous emballons pas, l'islam devrait tout de même l'emporter assez facilement, et ce d'autant plus qu'il aura — et a déjà — face à lui une civilisation féminisée, autrement dit une civilisation de papier, rongée de tous les côtés et aux trois quarts effondrée sous le poids de son illogisme et de ses contradictions.
Utilisateur anonyme
15 janvier 2018, 12:45   Re : Pour la complexité, ou le cul de l'Ange
Il n'y a pas de femmes vraies ou fausses : il y a une nature féminine qui est la même partout et à toutes les époques
////

Tiens donc ? Et comment définissez-vous la "nature féminine" (ou l'"éternel féminin" ?) mon cher Trystan ? Vous ne croyez pas que vous essentialisez un peu beaucoup ?, là ?... Parce qu'à ce rythme-là vous allez bientôt nous parler de la "nature humaine""la même partout" etc.
15 janvier 2018, 13:56   Re : Penisneid
Pendant ce temps, des hommes et des femmes incarnent la France nommément modifiée d'aujourd'hui et préparent celle, cool et les jambes ouvertes, de demain :

Les néo-Gaulois : [m.facebook.com]

La femme : [www.lepoint.fr]
15 janvier 2018, 14:08   Re : Penisneid
Une vraie femme : une qui ne vous accable pas de sa féminité en la portant comme un drapeau ou comme une arme. Et qui consent à un plan de rencontre où la fendue et l'infendu s'aventureront et s'entre-donneront. Où la fendue n'est pas défendue et où l'infendu se fend de lui-même en s'adonnant à la fente aimable laissée in-défendue. Disons qu'une vraie femme est celle qui laisse au vestiaire tout ce qui est susceptible d'emmerder l'homme, ce qui est déjà énorme, et l'homme vrai est celui qui lui fait miroir dans ce dénouement ou dénument de soi. Ni l'un ni l'autre, la fendu in-défendue et le pourfendeur infendu, ne doivent savoir ce qu'ils font. Sinon, c'est fichu.
15 janvier 2018, 14:36   Re : Penisneid
A mon sens il ne saurait y avoir de "nature féminine" qui, si elle existait serait forcément duelle ou plurielle. La scissiparité féminine, phénomène par lequel l'espèce humaine se perpétue, suffirait à mettre en déroute tout effort d'établissement d'une unicité de nature chez la femme.

La contradiction et la scission lui sont naturelles car appelées par l'espèce, à laquelle elles font ressort. L'infendu, l'insécable masculin en demeure fasciné et chroniquement dérouté. Cette fascination se manifeste chez lui en attirance pour ce miroir fracturé qu'est le féminin. Les hommes sont attirés par les folles (genre 37°2 le matin) dit-on : là gît l'explication. La fendue est folle par nature, ce qui la rend follement attirante aux yeux de l'infendu, amoureux du mystère de la duplicité et de l'insaissable où il va se perdre. Et comme dans tout dispositif orphique, le désir de connaître abolit le charme et fait plonger les partenaires dans la boucle herméneutique en laquelle ils dériveront vers l'ennui, le vide et la perversion. Et la gonzesse se prend tôt ou tard à cracher le feu, et le pauvre Saint-George à planquer sa bite sous son bouclier.
Utilisateur anonyme
15 janvier 2018, 14:44   Re : Penisneid
Citation
Francis Marche
Une vraie femme : une qui ne vous accable pas de sa féminité en la portant comme un drapeau ou comme une arme. Et qui consent à un plan de rencontre où la fendue et l'infendu s'aventureront et s'entre-donneront. Où la fendue n'est pas défendue et où l'infendu se fend de lui-même en s'adonnant à la fente aimable laissée in-défendue. Disons qu'une vraie femme est celle qui laisse au vestiaire tout ce qui est susceptible d'emmerder l'homme, ce qui est déjà énorme, et l'homme vrai est celui qui lui fait miroir dans ce dénouement ou dénument de soi. Ni l'un ni l'autre, la fendu in-défendue et le pourfendeur infendu, ne doivent savoir ce qu'ils font. Sinon, c'est fichu.

Je suis preneur !
15 janvier 2018, 16:29   Re : Penisneid
La question de l’identité tend à devenir caduque et contradictoire à partir du moment où, l'ayant de quelque façon, toujours incomplète, définie, l'on se rend compte que rien, absolument rien ne vous oblige à vous y tenir et souscrire à ce type de détermination, et je ne vois pas pourquoi cela ne vaudrait pas autant pour les femmes que pour les hommes.
Utilisateur anonyme
15 janvier 2018, 17:05   Re : Penisneid
L'instinct, Alain Eytan, l'instinct...
15 janvier 2018, 17:53   Re : Penisneid
Si l'on accepte la définition de Lorenz selon laquelle l'instinct est avant tout "inconscience de la fin", la prévalence de celui-ci tend à s'émousser fortement et est même assez souvent contrecarrée parmi les individus d'une espèce qui se distingue au premier chef par une prérogative inédite : la conscience de soi.
Or, voyez-vous, aussi rageant que cela puisse être parfois, les femmes sont des humains comme les autres, et je connais même personnellement certains spécimens féminins si évolués de ce point de vue de l'intellection de soi, que j'en parais moi-même à côté délicieusement primitif...

« Il reste vrai néanmoins que le critère d'après lequel on peut distinguer l'instinct des autres principes d'activité impulsive, c'est l'apparente inconscience de la fin : l'être agit comme s'il ignorait le but de son action : quand les mouvements destinés à produire une fin sont tous exécutés en l'absence de cette fin, ils sont instinctifs. »
Utilisateur anonyme
15 janvier 2018, 17:58   Re : Penisneid
Utilisateur anonyme
15 janvier 2018, 18:10   Re : Penisneid
C'est vraiment la plus grande erreur des hommes, et notamment des hommes occidentaux, que de croire qu'il n'y a pas de nature féminine. Cela revient à croire que les femmes sont des hommes avec des seins, et qu'entre les deux sexes il n'y a finalement pas de différence — nous sommes tous des humains, et de fait tous égaux, n'est-ce pas ?

Qu'on ne vienne donc pas pleurer si la distinction entre les sexes tend à s'effacer complètement en Occident (par élimination des hommes), si dès l'origine on la nie.

Et s'il n'y a pas de différence entre les sexes, alors il n'y a certainement pas de différence entre les races.


Le Grand Remplacement peut donc se faire tranquillement.
15 janvier 2018, 18:18   Re : Penisneid
En réalité si bien que c'est une malédiction à quoi certains essayent d'échapper par tous les moyens : il n'y a vraisemblablement aucune force instinctive qui pousse les gens à s'oublier à ce point, c'est-à-dire précisément à devenir inconscient et se mettre en danger, ce serait même plutôt le contraire de tout instinct de survie élémentaire...
15 janvier 2018, 18:34   Re : Penisneid
» C'est vraiment la plus grande erreur des hommes, et notamment des hommes occidentaux, que de croire qu'il n'y a pas de nature féminine

C'est encore une plus grande erreur de raisonnement que de conclure à une différence psychique spécifique nécessaire, définissable et démontrable, du seul fait de l'existence d'une différence biologique : jusqu'à preuve du contraire, et ce n'est pas demain la veille que le problème corps-esprit sera résolu, l'esprit est parfaitement irréductible à la matière qu'est le corps.
Utilisateur anonyme
15 janvier 2018, 20:13   Re : Penisneid
Si tout l'Occident pense ainsi, et je crois que c'est le cas, alors tout s'éclaire...
15 janvier 2018, 22:31   Re : Penisneid
Voulez-vous dire, Trystan, que vous savez en l'occurrence ce qu'est le vrai, et comment les états mentaux subjectifs qualitatifs particuliers de la femme, de la femme en général, pourvu qu'une telle créature si générique existât jamais, peuvent être de fait nécessairement corrélés à certaines dispositions physiologiques et neurobiologiques qui seraient intrinsèquement propres à son sexe ?
Ou vous bornez-vous à énoncer une fois de plus ce que vous croyez qui doit être cru et pensé, pour ce que vous estimez être le bien de je ne sais qui, cela n'engageant que vous-même, vos préférences, vos phobies, et après tout, si vous êtes dans le vrai, vos glandes ?
L'Occident critique a en effet fait le départ entre ces deux approches, et c'est l'une des causes principales de son extraordinaire réussite.
Utilisateur anonyme
15 janvier 2018, 23:57   Re : Penisneid
Je me borne à constater ce que trente ou quarante siècles ont constaté et formulé avant moi, et que l'Occident, depuis un siècle, a décidé de nier jusqu'à l'absurde. Là réside, je crois, la cause principale de son extraordinaire déclin.
16 janvier 2018, 02:09   Re : Penisneid
La difficulté à la définir et la possibilité individuelle de non-conformité ne sont en aucune façon des preuves de la non-existence d'une nature féminine (on aimerait un autre mot, plus subtil, que “nature”, mais faisons avec). En nier l'existence c'est nier la Bible, la psychanalyse et ce que chacun peut voir — sans parler des trente ou quarante siècles et des trente ou quarante civilisations, et sans doute davantage des uns et des autres.
Utilisateur anonyme
16 janvier 2018, 09:03   Re : Penisneid
(D'un autre côté, je ne vois pas pourquoi il n'existerait pas un "éternel féminin" en face de cet "éternel masculin" que les féministes ne cessent de dénoncer...)
16 janvier 2018, 12:06   Re : Penisneid
Les collaborettes auront le crâne rasé

Sortie ce mercredi du film In the Fade du réalisateur allemand d'origine turque Fatih Akın, avec Diane Kruger (d'origine allemande mais naturalisée américaine).

« Une famille kurde en Allemagne. Katja, l'épouse (jouée par Diane Kruger). Le mari et son fils sont tués dans un attentat perpétré par les néo-nazis. Après le deuil et l’injustice, viendra le temps de la vengeance. »

In the Fade (aus dem nichts - hors du néant) représentera l'Allemagne aux Oscars.

Macassar Productions qui produit ce film avec Bombero International (Nurhan Şekerci-Porst, Fatih Akin, Herman Weigel), est la société des deux Françaises, Marie-Jeanne Pascal, Melita Toscan du Plantier dont les productions n'ont qu'un seul thème: la femme (Masaan , Eva, ...).
Peu importe qu'on soit résistant ou collabo, pourvu qu'on soit une femme.

La femme nouvelle est arrivée.


16 janvier 2018, 12:36   Re : Penisneid
« Une famille kurde en Allemagne. Katja, l'épouse (jouée par Diane Kruger). Le mari et son fils sont tués dans un attentat perpétré par les néo-nazis. Après le deuil et l’injustice, viendra le temps de la vengeance. »


Au moment de la présentation de ce film au festival de Cannes, une sorte de strabisme mental m'avait fait comprendre de travers la réalité de l'histoire racontée. Cela m'avait troublé comme lorsque je lis ces innombrables commentaires à côté de la plaque, hors réalité, donc insensés, qui prolifèrent sur les réseaux sociaux. Par exemple, ceux clamant que l'antisémitisme massacreur des musulmans n'est pas un fait plus alarmant que la persistance de l’antisémitisme occidental, pourtant résiduel et, dans les faits, inoffensif pour les juifs. Ou bien ceux qui assurent que les plus grands des périls pour l'humanité sont le nazisme et le Klu Klux Klan.
16 janvier 2018, 13:17   Re : Penisneid
"l'antisémitisme massacreur des musulmans" : vous voulez sans doute parler de l'antisémitisme des musulmans massacreurs. L'amphibologie surgit de toutes parts pour cueillir à froid le lecteur sur écran. Le livre avait cet avantage de mettre, le temps de s'en saisir, de le tenir en main, le lecteur en accord avec l'auteur, en accord comme un orchestre qui accorde ses violons avant d'entamer le récital. Le handicap que pose le chaos syntactique ("effondrement syntactique" aime à dire Camus), n'est que plus sensible de par cet abord désaccordé, cette manière de jouer ses propres partitions à froid, sans préparatif aucun pour qui est susceptible de leur tendre une oreille. Mais d'autre part, le temps que les oreilles s'accordent aux voix et voici que cet accord se fait inutile et vaine acceptation de ce qui se dit. La navrante difficulté d'avancer dans la pensée de l'auteur comme de développer la sienne au contact de l'écrit numérique tient à cela : chacun entonne sa partition en public dans un mépris de son interlocuteur que force le véhicule de l'écrit immatériel, toujours jeté pour soi. Sentiment parfois que notre histoire n'avance pas aussi à cause de cela : du tweet mutique, solipsiste et froid.
Utilisateur anonyme
16 janvier 2018, 13:39   Re : Penisneid
Macron, à l'instant sur BFM : "Celles et ceux (migrants) qui apportent l'humanité durable dans la République...", "je propose un socle humanitaire et républicain", "l'Etat assurera"... "à chacun un acceuil digne et humain"... "l'Allemagne a eu une politique courageuse"...
Non c'est trop. Je zappe.
16 janvier 2018, 13:56   Re : Penisneid
L'humanisme [y compris de l'autre homme ] est mort, vive l'humainitarisme !
16 janvier 2018, 16:11   Re : Penisneid
Citation
Marcel Meyer
La difficulté à la définir et la possibilité individuelle de non-conformité ne sont en aucune façon des preuves de la non-existence d'une nature féminine (on aimerait un autre mot, plus subtil, que “nature”, mais faisons avec). En nier l'existence c'est nier la Bible, la psychanalyse et ce que chacun peut voir — sans parler des trente ou quarante siècles et des trente ou quarante civilisations, et sans doute davantage des uns et des autres.

Elles seront preuve en tout cas qu'on ne sait au juste ce que c'est et ce dont on parle, car sans définition particulière et avec la possibilité de si nombreux cas non conformes à cette mystérieuse "nature" inconnue et élusive, encore que seulement supputée, on se retrouve au bout du compte avec une définition psychologique de la femme très proche de celle de l'arme blanche lichtenbergienne.

La négation de la Bible n'est pour ce qui me concerne pas si rédhibitoire que cela, la psychanalyse je ne sais pas trop, quant à ce qu'on peut voir, chacun en est réduit à sa propre expérience : je vous assure qu'il me paraît, d'expérience donc, parfaitement impossible de deviner le sexe des pensées, si d'aventure, comme cela peut arriver, je n'étais confronté qu'à leur expression détachée du corps : en un mot, la psyché en général, comme produit de l'activité cérébrale, me paraît être d'une telle complexité et douée d'une telle capacité d'auto-organisation et d'adaptabilité (la fameuse "plasticité neuronale"), et les propriétés mentales subjectives réaliser un niveau d'organisation du réel à ce point inédit et parfaitement distinct du niveau d'organisation antérieur censé les produire (en gros, le niveau "biologique"), que vouloir à tout prix rattacher ces "qualia", au sens large, à certaines différences physiques somme toute mineures (encore que précieuses), me semble surtout relever du fantasme, ou du mythe, ou de l'habitude de l'apparence, si souvent trompeuse.
16 janvier 2018, 16:20   Re : Penisneid
Si l'on pense qu'il n'y a pas de nature féminine mais seulement un sexe féminin, on se rapproche dangereusement de la théorie du genre qui prétend que le sexe biologique ne détermine ni la femme ni l'homme, mais qu'il s'agit seulement de représentations culturelles.
16 janvier 2018, 16:25   Re : Penisneid
Eh bien, Cassandre, rapprochons nous-en, si cela nous rapproche de la vérité : on ne va pas s'en laisser conter par l'idéologie, tout de même, quelle qu'elle soit...
16 janvier 2018, 16:38   Re : Penisneid
Moi, ce que j'en dis...
Utilisateur anonyme
19 janvier 2018, 18:59   Re : Penisneid
Comme je l'écrivais plus haut, le féminisme s'internationalise à mort et cherche à proliférer comme le cancer qu'il est. Mais certains pays semblent posséder quelques défenses immunitaires, par exemple Singapour.

Une fausse accusation de viol mène à la prison

Pour ceux qui lisent l'anglais, j'insiste sur cet extrait particulièrement savoureux, dans lequel une jeune femme endoctrinée sur un campus américain a voulu faire, à son retour, son petit numéro de féminisme, avant de se faire mâlement rembarrer :

“In Singapore we have many citizen who went overseas for their further studies and then came back to Singapore to work. Unfortunately many of them picked up extreme feminists view. This is more apparent from people who went to US colleges and infected by weird ideologies. From their social media platform you can usually tell the typical traits of a feminist or SJWs type people.”
“In the department i work in i have 2 such females under me. And they are feminists to say the least. Their social media shows all the typical SJWs ******** and they total embrace their feminism ideology, and they are not afraid to let people know they are proud feminist.
“All the troubles started when during a regular meeting where one of them tries to negotiate her salary with me by bringing out of all things, the gender pay gap.
“I explain to her that in this company we will pay you for what you are worth. Not because of your genitalia. We do not care about your sex, but what you can bring for the company.”
@tristan dee.
Ceci explique la raison pour laquelle les femmes sont souvent moins bien payées que les hommes et qu’elles occupent
moins souvent des situations de pouvoir. D’ailleurs cela me fait penser que la quasi totalité de ce qui s’invente,se découvre, tout le développement technique depuis la préhistoire et jusqu’à aujourd’hui est le fait des hommes et non pas des femmes. A l’exception de Marie Curie. Donc c’est un peu normal qu’ils soient mieux payés. (Provocation)
Utilisateur anonyme
20 janvier 2018, 13:40   Re : Pour la complexité, ou le cul de l'Ange
Les jeunes femmes — entre 20 et 30 ans — sont très souvent mieux payées que les hommes du même âge pour un travail soi-disant équivalent. Il existe, pour les femmes ayant accès à des postes de direction intermédiaire, quelque chose comme une prime à la jeunesse voire à la beauté.

C'est à partir du moment où elles font un enfant que, logiquement, les choses se gâtent un peu pour elles. Elles sont plus souvent absentes, indisponibles, fatiguées, etc. Elles arrêtent alors d'accumuler de l'expérience et leur carrière stagne. Mais en réalité — n'importe quel employeur un peu honnête vous le dira — les femmes ont en moyenne un rendement moindre que celui des hommes, y compris dans les tâches intellectuelles qui leur sont confiées, encore que bien souvent il ne s'agisse en vérité que de tâches pseudo-intellectuelles qui ne servent qu'à justifier un certain taux de présence féminine dans l'entreprise. Je pense aux fameux services des Ressources Humaines, qui sont apparus comme par hasard avec l'arrivée massive des femmes dans l'entreprise, et qui ne sont qu'un prétexte à occuper prétentieusement et bureaucratiquement des armées de femmes peu efficaces.

Quant aux tâches physiques, mieux vaut ne rien en dire.

Le prétendu “écart de salaire” est donc un mythe qui a déjà été déconstruit des dizaines de fois. En fait, si l'ont tient compte du leur rendement moindre, les femmes sont aussi bien voire mieux payées que les hommes.

Du reste, si le travail féminin était à la fois si efficace et si bon marché, c'est-à-dire si intéressant du point de vue de l'employeur, pourquoi s'embêterait-on encore à recruter des hommes ? Seraient-ils, en fin de comte, irremplaçables ? Aïe...

Quant aux “situations de pouvoir”... L'Histoire contient en réalité très, très peu de grands génies féminins, d'où leur rareté au sommet. Les grands artistes, les grands scientifiques, les grands chefs d'états sont presque toujours des hommes, non pas en raison d'une prétendue oppression patriarcale, mais tout simplement parce que l'homme, en moyenne, possède des capacités de travail, de réflexion et de création très supérieures à celles de la femme. La biologie, cette méchante, n'est vraiment pas égalitaire.

Il me semble surtout que la société gynocentrée est tragiquement incapable de produire des femmes de haute valeur. Ce n'est certainement pas notre civilisation féminisée qui produira une Jane Austen ou une Emily Brontë. Pour donner des artistes d'une telle qualité, mieux vaut une société exigeante vis-à-vis de la femme, plutôt que la machine à caprices qui nous gouverne.

Enfin, l'exemple de Marie Curie, qui est le préféré de tous les féministes, n'est qu'une exception, certainement pas une règle. Et d'ailleurs je me suis toujours demandé ce qu'elle aurait été sans Pierre Curie...
21 janvier 2018, 03:46   Re : Penisneid
Mille contre exemples à ce que vous avancez Trystan, en Asie orientale non communiste, notamment où les femmes à des postes de pouvoir excellent et sont pléthore dans le secteur public comme dans le privé.

Pratique détestable et en France: ces bureaux ou services publics et semi-publics, qui, là où l'élément féminin est ultra-majoritaire, ferment le mercredi (cas des offices notariaux). En France, on trouve normal qu'une députée à l'assemblée "prenne son mercredi" pour "jouer au tennis avec ses enfants". A travail égal salaire égal, mais pour à salaire égal travail égal vous devrez revenir jeudi, mercredi c'est fermé monsieur.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 08:53   Re : Penisneid
Mille contre exemples à ce que vous avancez Trystan, en Asie orientale non communiste, notamment où les femmes à des postes de pouvoir excellent et sont pléthore dans le secteur public comme dans le privé.

//////

Je confirme. Je ne compte plus ces femmes d'affaires asiatiques incroyablement brillantes, au mental dur comme l'acier, physiquement infatigables (un rythme de vie, des responsabilités et une charge de travail inimaginables pour une occidentale​ "libérée", ou "forte"...), qu'il m'est arrivé et qu'il m'arrive encore de côtoyer, notamment à Shanghai. Des femmes de grande race (La Puissance faite Femme), à des années lumières du baratin féministe, comparé auxquelles, je l'avoue sans détours, je me suis toujours senti l'âme et le corps d'une midinette.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 10:00   Re : Penisneid
« Mille contre exemples à ce que vous avancez Trystan, en Asie orientale non communiste, notamment où les femmes à des postes de pouvoir excellent et sont pléthore dans le secteur public comme dans le privé. »

En Occident aussi nous avons nos career women, qui à 40 ans et à force d'occuper des postes d'hommes sont devenues parfaitement hommasses. Elles se plaignent alors d'être seules et condamnées à le rester, vu qu'autour d'elles il n'y a pratiquement plus que des hommes moins bien payées qu'elles, ce qui les glace. Et de toute façon les rares hommes éligibles ne veulent pas d'elles, car ces abrutis s'obstinent à ne désirer en matière de femmes que jeunesse et beauté. Le féminisme n'a pas réussi à pénétrer la biologie de ces hommes : ils préfèrent encore jouer les sugar daddies avec une jolie étudiante pauvre plutôt que de courtiser notre quadragénaire épuisée qui a su piétiner tout le monde sur son passage pour réussir.

N'avoir pas eu de famille et d'enfants jette alors un voile tragique sur leur existence. Elles ont suivi le programme féministe jusqu'au bout ; elles ont vécu le rêve — et maintenant ?

Une vieillesse solitaire et luxueuse les attend, qui sera dépourvue de désir comme d'amour. Il leur faudra donc se rabattre sur les chats, les sex-toys, le shopping.
21 janvier 2018, 10:07   Re : Penisneid
Un ami, qui vit à New York, est allé y faire un tour, en mode Philippe Muray qui déambule un soir de Nuit blanche à Paris En gros, deux slogans sur trois, m'a-t-il dit, portaient sur la zézette de Trump. Penisneid...

Nouvelle « Marche des femmes » aux Etats-Unis, contre la politique de Trump
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 10:15   Re : Penisneid
Ouais Trystan, "hommasse" comme celle-ci... :

[si.wsj.net]
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 10:27   Re : Penisneid
Elles ont suivi le programme féministe jusqu'au bout

Mais en Asie les femmes se contre-foutent du féminisme et/ou de l'antiracisme mon cher Trystan !!! Cessez donc de placer toutes les femmes, d'ici ou d'ailleurs, et sans distinction aucune, sur le même plan ! La femme occidentale n'est pas La femme.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 10:27   Re : Penisneid
(Bof... Elle est manifestement sur la fin.)

Hormis cela, je vous le redis, les femmes sont les mêmes partout. C'est l'environnement qui change, et qui les fait se comporter de telle ou telle manière.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 10:30   Re : Penisneid
À 65 ans passés elle a tout de même de quoi en faire chavirer plus d'un, croyez-moi.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 10:36   Re : Penisneid
Il est vrai que le monde ne manque pas de cucks assoiffés.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 10:44   Re : Penisneid
Femme occidentale lessivée par le taf et le féminisme, pour aller (un peu) dans votre sens... : [img1.closermag.fr]
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 10:47   Re : Penisneid
Elles ont toujours le permascowl...
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 11:00   Re : Penisneid
J'ai croisé ce vieux machin-là rue des Canettes l'autre jour... (Beurk). Friquée comme c'est pas possible mais fringuée comme une vulgaire SDF (je n'ai aucun mépris pour les "vrais" SDF), le degré zéro de la féminité - l'horreur, le signe de la fin des temps ("Parmi les Signes de l’Heure : l’apparition de la grossièreté et de l’indécence… " (Tabarâni), "les hommes ressembleront aux femmes et inversement", "ils obéiront à leurs femmes").
21 janvier 2018, 11:56   Re : Penisneid
Encore un débat de plus s'apparentant à ces parties d'échec mille fois jouées, où chacun avance ses pions et pressent, d'avance et sans grande surprise, la riposte de l'autre.
L'humilité fait partie de l'in-nocence. Reconnaissons, en toute bonne foi, que nous ne savons pas, que nous ne détenons aucune preuve scientifique de ce que nous avançons si témérairement, et donc si imprudemment.
Alain Eytan semble partager, grosso modo les vues d'un Poullain de La Barre, selon lequel l'esprit n'a point de sexe. Mais de récentes découvertes scientifiques montrent la réalité d'une connexion esprit-corps bien plus dense que ce que l'on supposait. A suivre...
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 12:03   Re : Penisneid
Le féminisme confirme chaque jour qu'il n'est qu'une sinistre mafia œuvrant pour la suprématie du féminin. Et comme toutes les mafias, son activité principale est le racket : http://www.20minutes.fr/societe/2205767-20180121-inegalites-penicaud-veut-supprimer-2022-ecart-salaire-hommes-femmes-travail-egal?xtor=RSS-176

L'écart de salaire entre les hommes et les femmes est l'un des plus grossiers mythes modernes.
Vidéo 1
Vidéo 2
Au contraire, comme je l'ai montré plus haut, les femmes gagnent plus d'argent que les hommes si l'on tient compte de leurs absences et de leur rendement moindre. D'une manière générale et à l'échelle de la société, ce qu'elle perçoivent est déjà très supérieur à leur contribution. Mais ce n'est jamais assez et, comme l'antiracisme, le féminisme se doit d'extorquer toujours davantage de ressources.

Bien sûr, les hommes pourraient s'unir, dire NON, en finir une bonne fois. Mais ils préfèrent se complaire dans la servitude et la castration.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 13:16   Re : Penisneid
« Reconnaissons, en toute bonne foi, que nous ne savons pas, que nous ne détenons aucune preuve scientifique de ce que nous avançons si témérairement, et donc si imprudemment. »

Certains, Dieu merci, ne se contentent pas de cet attentisme confortable et prétentieux, et produisent le travail de recherche nécessaire :
The Selfish Gene
The Mating Mind
The Evolution of Desire
The Red Queen
Sperm Wars

You are welcome.
21 janvier 2018, 13:18   Re : Penisneid
En fait, le thème égalité homme-femme, c'est d'abord la volonté d'assujettir la femme à la classe politique (les hommes, eux, se tiennent de plus en plus éloignés de la classe Politique).

L'article le sous-entend: salaire hommes-femmes à travail égal. Or, là ou il y a des femmes au travail, en général, il n'y a plus que des femmes (supermarchés, administrations, écoles primaires, ...). Dans les autres situations, le travail n'est jamais 'à travail égal'


Alors, comment fait le Politique pour obtenir l’assujettissement de ces femmes ?

Le Politique prend un thème, n'importe lequel, l'écologie, l'égalité homme-femme, les quotas pour l'égalité, les migrants, la pluie, le beau temps, etc, et il s'applique à lui-même la formule générale suivante :

- Au fur et à mesure que l'homme, la femme Politique se détache [du thème en question], les conditions d'accès [au thème en question] pour les autres s'attachent à lui

Ainsi, pour l'égalité homme-femme:

- Au fur et à mesure que Mme Pénicaud se détache de l'égalité homme-femme {son salaire supérieur au salaire des hommes}, les conditions d'accès à l'égalité homme-femme pour les autres femmes s'attachent à elle.

Autrement dit, le discours égalitaire homme-femme n'est pas fait pour assurer l'égalité de salaire entre l'homme et lafemme, il est fait pour assurer l’assujettissement des femmes à la classe politique. Pour obtenir l'égalité, elles devront accepter leur assujettissement au pouvoir politique.

Pareil pour la pluie et le beau temps:

- Au fur et à mesure que Mme Truc-Muche se détache du pays ou il pleut { sa maison de campagne est à Saint Barthelemy } , les conditions d'accès à Saint Barthelemy pour les autres femmes s'attachent à elle.


- Au fur et à mesure que Mme Truc-Muche se détache de la pauvreté { elle paie l'ISF } , les conditions d'accès à à la richesse pour les autres femmes s'attachent à elle.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 13:41   Re : Penisneid
@Trystan
Bien sûr, les hommes pourraient s'unir, dire NON, en finir une bonne fois.

////

Je ne vois que l'islam (et oui...), qui soit capable d'offrir aux mâles une possibilité de s'unir, de dire non à la servitude et à la castration. Sinon, je ne vois pas comment et autour de quoi les hommes occidentaux pourraient s'unir... ? Si vous avez une idée ?
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 14:05   Re : Penisneid
L'islam n'est rien d'autre qu'un patriarcat assez dur qui parle arabe et prie cinq fois pas jour.

Les hommes occidentaux ?
Pouah... Dépourvus de pères, privés de tous les rites de passage, formatés dès l'enfance pour l'adoration de la déesse Femme : tous, à un degré ou à un autre, semblent résignés à leur triste sort, fût-ce sous des dehors joyeux et hébétés.

La seule chose que l'on puisse faire, c'est alerter, expliquer, répandre ce que l'on sait. Mais c'est assez vain, dans la mesure où, comme avec les remplaçants, ils ont appris à aimer leur bourreau, qui est aussi leur “remplaceur”. Le plus simple, si l'on tient à son intégrité, est de s'organiser une vie aussi agréable que possible en marge de ce système massacreur de mâles, et dès lors n'en plus rien attendre d'autre que sa chute. Il est pour cela nécessaire de bien le connaître, ce qui nécessite de désapprendre toutes les bêtises et les mensonges qu'il nous a inculqués.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 14:37   Re : Penisneid
L'islam n'est rien d'autre qu'un patriarcat assez dur qui parle arabe et prie cinq fois pas jour

//))

Mouais... Un peu rapide. Vous nous aviez habitués à mieux. En tout cas l'Arabe est infiniment moins naïf que l'Européen qui croit à la compatibilité de toutes les cultures, à l'égalité hommes-femmes pour tous, transposable partout.

On va dire que l'homme blanc est désormais condamné par incapacité de juger ce qui est bon pour lui.
21 janvier 2018, 16:24   Re : Penisneid
''Hormis cela, je vous le redis, les femmes sont les mêmes partout. C'est l'environnement qui change, et qui les fait se comporter de telle ou telle manière.''

De quel environnement parlez-vous ? Culturel ? c'est alors valable aussi pour les hommes et cela validerait d'une certaine façon comme je l'ai suggéré plus haut la théorie du genre.
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 16:50   Re : Penisneid
Culturel en effet, si vous souhaitez utiliser ce mot. Mais l'on pourrait aussi bien parler d'environnement familial, régional, historique, social, etc. Bref, le milieu. Les hommes sont également concernés, bien entendu.

Cela n'a rien à voir avec la théorie du genre : c'est même tout le contraire.

La théorie du genre dit qu'il n'y a pas de sexe défini, pas d'hommes ni de femmes (ce qui est une façon de dire qu'il n'y a que des femmes), seulement un milieu. Je dis au contraire qu'il y a deux sexes extrêmement définis par des millénaires d'évolution, mais qui montrent des facettes très différentes selon le milieu fréquenté (patriarcat dur ou doux, matriarcat), milieu qui est lui-même conséquence du rapport de force entre les sexes.

Femmes et hommes se comportent différemment selon qu'ils évoluent en milieu andro- ou gynocentré. Ces comportements sont aisément observables et globalement prévisibles.
21 janvier 2018, 18:29   Re : Penisneid
Dire que c'est la culture qui vous fait croire que vous êtes un homme ou une femme, ou dire que la femme et l'homme existent bel et bien en tant que tels mais que l'environnement culturel peut changer leurs comportements et leur mentalité, les femmes pouvant alors devenir plus masculines , voire ''hommasses'', et les hommes plus féminins, ça revient un peu au même, non ?
Utilisateur anonyme
21 janvier 2018, 18:49   Re : Penisneid
21 janvier 2018, 19:26   Re : Penisneid
Mais encore?...
21 janvier 2018, 22:38   Re : Penisneid
La question des sociétés orientales impérméables au féminisme : ces sociétés ne reconnaissent aucun groupe humain qui serait transversal aux catégories de solidarité constituées, lesquelles sont au nombre de trois : deux fondamentales, l'une n'étant que l'agrandissement de l'autre, et une hybride : la nation, la famille/le clan soudés par des solidarités natives, l'entreprise qui soude les individus dans et par l'intérêt.

Les grands manifestes féministes qui ont vu le jour en Occident (celui de Beauvoir notamment) posent l'hypothèse de catégories sociologiques tierces inspirées du marxisme. Ces groupes transversaux rassemblent des individus qu'il faudrait souder dans un escaton matriciel, celui des préjudices (réels ou imaginaires) subis en commun par les individus qui les composent : les femmes, quelles qu'elles soient individuellement, comme les Noirs, ou les homosexuels, ou les Migrants, après les Ouvriers, composent de tels groupes ou classes propres à émettre des revendications de réparation (dont les class actions américaines founissent une image dans le Droit) et à proclamer des droits qui seront compensatoires de leur préjudice allégué.

Ces classes et ordres transversaux, entièrement existentiels, non essentialisables, (qui ne doivent leur existence qu'à la seule condition sociale supposément partagée des individus qui les composent), ne sont pas reconnus en Orient. C'est très simple, c'est ainsi, et ça n'est pas près de changer.

En Orient chacun est unique et seul si on le dépouille du clan familial ou villageois, de son appartenance nationale et de son attache sociale à l'entreprise/la firme ; personne n'entend sérieusement (autrement que sous les diktats d'une mode passagère, d'une certaine "frime occidentaliste", chez les homosexuels orientaux notamment), appartenir à une classe d'individus en vertu d'un préjudice dont il serait victime transversalement à ces trois ordres d'appartenance orientale.

D'où l'indifférence des femmes orientales au fatras idéologique féministe, qui est l'enfant d'une vue de l'esprit occidental dont le vingtième siècle a accouché en Europe, et qui a biberonné en Amérique du nord.

Rien d'autre à dire sur la question.
22 janvier 2018, 02:16   Re : Penisneid
J'ajoute (ce qui m'apprendra à ne jamais promettre que je n'y reviendrai pas) que le troisième pilier de la société orientale, à ranger avec l'entreprise/la firme et son blason, est le parti politique, qui, comme la firme, est un hybride psycho-social du clan et de l'intérêt privé.

Aucune place pour la constitution de classes théoriques transversales, tramées au victimat. La solidarité face au malheur individuel ou collectif s'organise spontanément dans ces trois ordres stables où la clameur vindicative et "communautariste" pour exister n'a pas lieu d'être, serait une incongruité.
22 janvier 2018, 09:58   Re : Penisneid
“Certains, Dieu merci, ne se contentent pas de cet attentisme confortable et prétentieux, et produisent le travail de recherche nécessaire”

Bigre ! Attentisme prétentieux ? On fait feu de tout bois pour défendre, même piteusement, sa noble cause.
C'est tout de même bizarre qu'un homme tel que vous, professeur d'anglais, fasse autant de contresens, volontairement ou pas d'ailleurs, c'est-à-dire sournoisement ou idiotement.
Car, à aucun moment, je n'ai critiqué négativement ceux qui se livrent à la Recherche scientifique. En tant que mathématicien ce serait un comble ! Tout au contraire j'ai fait référence à celle-ci, en mentionnant de récentes découvertes à propos du lien esprit-corps.
Par contre je ne confonds pas ceux qui participent activement et positivement à cette Recherche, c'est-à-dire, comme vous dites, ceux qui produisent le travail de recherche nécessaire, avec tous ceux, qui, droit dans leurs bottes, ne se remettant jamais en question, insécables forcenés, se contentent d'asséner martialement leurs obsessions idéologiques. Chacun jugera qui est le plus prétentieux des deux.
Vous êtes aussi éloignés de la rigueur scientifique que de l'in-nocence.
Cher Daniel, à quelles récentes découvertes relatives au "problème corps-esprit" faites-vous référence ? A-t-on d'une façon ou d'une autre résolu ce casse-tête qui semble bien être une place imprenable ?
Je vous soumets la difficulté majeure, qui a été très clairement formulée du reste par Thomas Nagel : toute tentative de description "scientifique" (c'est-à-dire en l’occurrence neurobiologique) d'un état mental subjectif donné sera donc objective, autrement dit elle consistera à rendre compte en termes matériels (il s'agira de certains processus physico-chimiques) quantifiables et reproductibles, d'un phénomène (l'état mental considéré) dont le mode d'être spécifique est d'être une propriété mentale subjective : voyez-vous la difficulté ? on ne peut "objectiviser" ce qui n'existe que subjectivement sans nécessairement occulter l'objet même de la recherche, autrement dit « il est vain d'essayer d'analyser les phénomènes mentaux afin qu'ils puissent se révéler être des parties du monde "extérieur". On ne peut saisir les traits subjectifs des processus mentaux conscients en utilisant la forme de pensée qui est appropriée lorsqu’il s'agit de s'occuper du monde physique qui sous-tend les apparences; » (Nagel, Le Point de vue de nulle part).
C'est en ce sens que j'ai dit que les propriétés mentales de la matière (tout ce qui ressortit à notre vie consciente) semblent bien être intrinsèquement et ontologiquement irréductibles aux modes d'explication utilisés pour rendre compte de cette matière même.
"Philosophiquement" du moins, je tiens ce type d'argument pour insubmersible, car il semble révéler une impossibilité constitutive de résoudre le problème, et à mon avis rend très simplement vaine toute prétention du physicalisme, ou de toute autre forme de réductionnisme d'ailleurs, à identifier purement et simplement l'esprit à un certain état corporel en en proposant un modèle explicatif objectif.
23 janvier 2018, 11:49   Re : Penisneid
Non, non, ça reste toujours un fameux casse-tête je vous rassure. Et pour encore pas mal de décennies, voire de siècles, à venir...Certainement.
But, sans aller jusqu'à qualifier les récentes découvertes de percées définitives il y a tout de même quelques avancées, plus ou moins éclairantes, telle celle réalisée par l'équipe scientifique de Pittsburgh, en 2016.
N'étant pas grand spécialiste de ce domaine, bien qu'il me passionne au plus haut point, je vous laisse le soin, si ce n'est déjà fait, d'en consulter les grandes lignes sur internet.

Sujet épineux et fuyant s'il en est, oscillant entre physique et métaphysique, il faut se montrer très rigoureux et savoir de quoi on parle, ce qui se cache derrière les mots utilisés, quelle signification l'on donne et quelle représentation l'on se fait de tous ces objets évoqués dans nos discours. La tâche en est sacrément ardue.
Les matérialistes purs et durs, tels ceux qu'on nomme les neurophilosophes, ne voient dans le cerveau qu'un organe parmi les autres. Certes avec des fonctions très singulières et une complexité phénoménale sans pareille mais, néanmoins, pour eux, ce n'est in fine qu'un amas de matière, même s'il est d'une sophistication et d'un agencement sans égal, aux enchevêtrements inextricables.
Les sciences de la pensée se confondant avec les neurosciences. Leur credo serait point de salut hors de la matière.
Tel Spinoza pour qui la matière et l'esprit sont une seule et même chose, ou plus précisément seulement des variantes, des modalités d'une même substance.
Tout à l'opposé on trouve (mais vous savez certainement tout cela mieux que moi cher Alain) ceux qu'on nomme les dualistes, tel Karl Popper par exemple, c'est-à-dire ceux qui croient en l'existence de mondes séparés : le monde des idées et le monde intérieur, pour faire court.
Les monistes étant, chez les scientifiques, beaucoup plus nombreux que les dualistes, se départageant entre théoriciens de l'identité (dans le sillage de Spinoza), émergentistes, fonctionnalistes et autres éliminativistes...
Quant à Thomas Nagel il me semble tout de même que sa théorie dite du double aspect indique l'existence d'une corrélation entre état mental et état physique du cerveau, même si, bien entendu, il différencie assez radicalement le versant subjectif (sentiments, sensations) du versant objectif (activité physico-chimique).
Malgré cette différence il considère néanmoins, un peu comme Spinoza, que ces deux versants ne sont rien d'autre que deux expressions d'une même réalité.
Les insurmontables difficultés qui se dressent à nous me font immanquablement penser à Kant et sa critique (limite) de la Raison pure, dès lors qu'on s'aventure dans des contrées métaphysiques peu sûres, c'est-à-dire en dehors du monde sensible des phénomènes, la Grande question métaphysique étant bien sûr (mis à part Dieu) le Moi !
Je me souviens, quand, jeune étudiant à Grenoble, dans les années 70, je questionnais ainsi un camarade : “Comment se fait-il que je suis Moi ? que je ne suis pas Toi ?” J'en suis toujours au même point.
Que dire de plus là-dessus ?
Rationnellement on peut considérer trois fonctions ou états : l'intelligence, la sensibilité et la conscience de soi.
La première nommée apparaît comme la mieux adaptée à une mesure objective, et pourtant, malgré toute une batterie de QI plus ou moins pertinents, une mesure fiable définitive est encore à venir. Sans parler que cette intelligence, comme tout le reste, a été elle aussi touchée par la pluralité.
La sensibilité, c'est-à-dire les sentiments et impressions mais aussi, plus généralement, tout ce qui recouvre l'esthétique kantienne et son monde des phénomènes, ne me paraît pas pourvoir être totalement prise en charge par une description, nécessairement objective, des états physico-chimiques du cerveau mais, par contre, il est indéniable que ces états-là ne sont pas sans conséquence sur nos sensations et nos représentations de phénomènes sensibles et que donc ils en sont un ingrédient incontournable.
Il y a bien entendu tout le pan lié à notre subjectivité, à notre identité, à notre cher petit Moi, qui fait que nous ne sommes pas réduits à n'être que des pantins réagissant de façon uniforme, apodictiquement déterminés à un état physico-chimique. Notre orgueil nous encourage bien sûr en ce sens, à ne pas admettre ce déterminisme absolu qui ferait de nous de simples machines.Mais là nous pénétrons de plain pied au coeur de la métaphysique et c'est pour cela que nous ne sommes pas prêt de résoudre scientifiquement ce casse-tête.
23 janvier 2018, 12:20   Re : Penisneid
Petite suite et Grande question

Cette subjectivité, ce Moi, cette identité, bien que l'aspect physico-chimique du cerveau soit impuissant à les définir et à les cerner dans leur totalité, sont-ils néanmoins bien présents, d'une façon ou d'une autre, dans la matière cervicale, et nulle part ailleurs ou, sont-ils dans cet ailleurs que le croyant appelle l'âme ?
Qui pourrait-me donner une réponse précise ? Merci d'avance. Hihi
Utilisateur anonyme
23 janvier 2018, 12:50   Re : Penisneid
Cette subjectivité, ce Moi, cette identité
////

Bein dans la mesure où nous vivons dans un monde morcelé et éclaté, dans la mesure où nous observons le divorce, les distorsions, en tout un chacun, entre l'intellect et la psyché, et dans la mesure où nous acceptons notre statut schizophrénique d'homme moderne... Bref, tout ça pour dire qu'il ne reste plus grand chose de ce Moi, ou de cette "identité".
23 janvier 2018, 18:09   Re : Penisneid
Le plus troublant dans cette histoire, voyez-vous, est ce qu'on ne peut faire autrement qu'appeler l'interaction, action et causalité réciproques donc, entre le corps et l'esprit : que de la matière (le cerveau) puisse produire des états mentaux subjectifs, comme effet de son activité, cela pose sans aucun doute des problèmes pratiques et techniques de modélisation insurmontables pour l'instant, mais cela se conçoit après tout, notamment dans une perspective "émergentiste" où un certain niveau d'organisation du réel (biologique) produit des phénomènes qui relèvent d'un niveau supérieur (mental ou psychologique), et du reste, cela a l'avantage de ne postuler l'existence que d'une seule catégorie de substance agissante, la matière donc, et l'écheveau infiniment complexe de ses effets et propriétés.
Là où cela semble devenir encore plus compliqué, si possible, c'est que ce qui est lui-même considéré comme effet de la seule instance causale admise produit à son tour des effets sur sa supposée cause : nos propres états mentaux, volitions, pensées, compréhension, sens, ont également des effets physiques observables sur notre corps, ce qui révoque fortement en doute tout physicalisme réducteur digne de ce nom : si ce qui relève du mental est capable d'influer à son tour sur le physique, on ne voit plus du tout comment le mental ne puisse être considéré que comme une sorte de dédoublement subjectif passif, véritable illusion d'optique de l'intériorité, de la seule catégorie d'être réellement existante, et donc causalement effective, l'état physique corrélé.
Bref, il suffit que je doive comprendre (état mental) quelque message érotico-amoureux à moi adressé pour provoquer une réaction physique parfaitement observable (état physique) — c'est un exemple parmi tant d'autres —, pour que notre esprit puisse, déjà à ce stade pourtant encore si dépendant des stimuli physiques, prétendre se dégager de la gangue obsolument déterministe des seules nécessités physico-biologiques, et accéder à la dignité de ce que Kant avait appelé à ce propos "cause première", condition d'une liberté possible.

On ne peut expliquer la nature de cette si troublante faculté apparemment agissante de l'esprit, et invoquer l'existence d'une catégorie d'être supplémentaire ("substance pensante", "âme" etc.), en plus de la matière, ne résout en fait absolument rien, parce que personne n'a la moindre idée de ce que cela pourrait bien être.
Une chose est pourtant absolument certaine : les femmes en sont pourvues également.

Quant au "moi", cher Daniel, il n'est qu'une pure surface spéculaire absolument vide en soi, fonction réfléchissante liant le divers des représentations à la seule unité de cet outil strictement reflexif : "je" n'est que ce qui réfléchit ce qui lui appartient du fait de cette faculté de réflexion, c'est la fonction identitaire logique première, ne comportant en soi aucune qualité autre que tautologique : A est A.
Mais vous ne manquerez pas de rencontrer des gens qui sont persuadés qu'au fil des ans, cet immaculé miroir du moi finit par s'encrasser, ou s'imprégner à des degrés divers de ce qu'il reflète, comme une pellicule photographique...
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