Quand, surtout, va-t-on entendre les phalanges de l'antiracisme traiter les Mahorais de suppôts de l'extrême-droite, de fachos, de beaufs arriérés ? Ils partagent un même effroi avec l'électorat frontiste de la métropole et les anti-remplaçistes de tous pays. Ils expriment en utilisant les mêmes mots leur refus de la catastrophe en cours.