Mayotte est l'exemple parfait de ce qu'il adviendra de la France, tôt ou tard, et certainement assez tôt.
Actuellement 40% de la population vivant sur l'île est en situation irrégulière et est clairement responsable de la délinquance et de la surpopulation dans les maternités de l'île.
Les Mahorais "légitimes" qui réagissent en se révoltant sont pourtant point par point identiques à leur frères illégaux, on ne peut donc pas parler de "racisme", désolé pour nos "assoces"...
Reprenons : un pourcentage de 40% de clandos, lequel pourcentage ne pouvant que croitre en raison d'une démographie galopante des Grandes Comores voisines qui sont, comme chacun sait, dans un état de déliquescence économique et politique absolue. Mayotte sera donc sous peu peuplée en majorité d'illégaux. Le gouvernement le sait, car la population de ces îles double tout les 20 ans et le flot ne risque pas de se tarir.
En réponse le gouvernement français envoie des bateaux de guerre (?) pour mettre fin à l'exode d'Anjouan... et il va très probablement distribuer du pognon à gogo pour apaiser les tensions et laisser pourrir la situation, comme il sait si bien le faire dans ce genre de conflit.
De qui se moque-t-on ? Les bateaux vont-ils tirer sur les barcasses ?
Parions qu'au nom de l'humanisme macronien ces bateaux iront secourir ces chers naufragés pour les rapatrier... où ? Et bein à Mayotte, ou à la Réunion, cela en toute discrétion bien évidemment..., avant que d'envisager leur placement dans des centres d'hébergement en Métropole où les remplaçés ont pour réputation d'êtres plus dociles (euphémisme). Que ce soit bien clair : en aucune manière on ne renverra ces Envahisseurs vers leur pays d'origine !, même si personne n'a de doute quant à leur nationalité.
Devant le fiasco économique de l'Algérie et la mort prochaine de son Président, un même scénario risque de se produire ici : nous devrons "accueillir" des centaines et des centaines de milliers de demandeurs d'asile... Je vous laisse imaginer la suite.
Même Philippe Val, hier sur CNEWS, commençait d'avoir l'air inquièt...