Le site du parti de l'In-nocence

La faute au nombre

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
12 avril 2018, 01:41   La faute au nombre
Trop d'élèves, pas assez de moyens, de bons "profs" pour les "zones sensibles", de "mixité sociale", etc. etc. On connaît la musique.



"Enseignante agressée par des élèves de primaire: "Le nombre d'élèves par établissement influe sur leur comportement"
30/03/2018 à 11h01

À Colomiers près de Toulouse, une enseignante d'école primaire a été frappée par trois élèves. Les parents d'élèves font état de "grandes tensions" et d'un trop grand nombre d'élèves au sein de l'école
Le lundi 19 mars dernier, une enseignante d'une école élémentaire de Colomiers près de Toulouse, a été violentée pendant la récréation. Selon une parent d'élève élue, l'institutrice "était en train de reprendre un élève, et deux autres élèves sont venus soit disant pour défendre leur camarade".

Ils ont tous les trois frappé la maîtresse à coups de poing dans le dos et le torse. Un événement rare selon le rectorat. Mais d'autres parents d'élèves font état de grandes tensions qui virent parfois à l'altercation physique avec les encadrants.

"Crises de violence"
"Ce sont des élèves qui ont des difficultés de comportement, qui rentrent dans des crises de violence, qui tapent sur tout ce qui bouge, crient, n’écoutent pas les enseignants. Ce sont des comportements qui sont très étonnants chez des élèves de cet âge-là", assure Mathilde Sœur, représentante des parents d’élèves de l’école élémentaire Jean Zay de Toulouse.

"L’explication qu’on a, c’est l’explosion du nombre d'élèves dans l’établissement. Nous on appelle ça des ‘usines à élèves’. Le nombre d’élèves influe énormément sur leur comportement", assure-t-elle."


BFMTV
"Un événement rare", excellent !
Utilisateur anonyme
12 avril 2018, 08:06   Re : La faute au nombre
Un incident rare dans une usine à élèves dû à une EXPLOSION (du nombre d'élèves) ! Il faudrait que Pierre nous explique.
12 avril 2018, 10:07   Re : La faute au nombre
Poudres et Explosifs.
C'est de la haute ingénierie sociale, façon AZF.

Les explosifs modernes se composent de deux ingrédients et d'un récipient fermé:
1 - nous avons les élèves musulmans, roms, roumis, dhimmis, ô inoffensifs élèves.
2 - nous avons les instituteur.e.s, inoffensifs professeur.e.s des écoles (surtout quand ils ne professent pas) de gôche.
On les mets ensemble, dans le même récipient fermé.
Et, là, ka boum !

En fait, en physique, l'opposé d'une explosion, c'est le vide. Comment obtient-on un vide ?
On l'obtient, non pas en sortant la matière du récipient (les élèves de la classe), mais en immobilisant la matière. Plus la matière est immobile, plus le récipient est vide (la matière n'existe que si elle est en mouvement).

La morale de l'histoire, c'est que l'explosion résulte de l'incapacité des professeur.e.s des écoles à tenir leurs élèves immobiles pour garder la classe aussi vide que possible.
Tout simplement.
Mais ça, tout le monde l'avait compris.

D'ailleurs, les professeur.e.s des écoles sont-ils capables de rester immobiles, au travail, sans tripoter un téléphone, sans être ailleurs, sans préparer le départ du week-end ?

Sinon, travailler avec 10 élèves ou avec 50 élèves, c'est à peu près la même chose. Il suffit d'avoir un plus gros fouet et de jouer au père fouettard
Utilisateur anonyme
12 avril 2018, 12:23   Re : La faute au nombre
Allez faire comprendre à ces profs qui se font tarter pendant, avant ou après la récré que la relation (autoritaire) entre celui qui commande et celui qui obéit ne repose ni sur une raison commune, ni sur le pouvoir de celui qui commande... Non, ce que le prof et l'élève ont (devraient avoir) en commun, c'est la hiérarchie elle même, dont chacun reconnaît la justesse et la légitimité, et où tous deux ont d’avance leur place fixée. Ce point est absolument fondamental. Mais c'est foutu : on ne restaurera pas l'autorité en un claquement de doigts et avec force bombages de torses, ni en déversant toujours plus de pognon, qui plus est face à une meute de CPF.
Pour les espèces de jeunes dont il est question ici, je propose d'allonger l'acronyme : CPFI, pour Chances Pour la France Irrécupérables.
Utilisateur anonyme
12 avril 2018, 19:34   Re : La faute au nombre
Ah !... La bonne vieille méthode sénégalaise, tout de même... [www.fdesouche.com]
Des amours, ces musulmans... Les châtiments corporels dans leurs classes de rattrapage, je veux dire, dans les madrasas qu'ils animent à Paris, Marseille et surtout Toulouse (quand cette ville va-t-elle être rebaptisée ?) sont monnaie courante.
12 avril 2018, 20:27   Re : La faute au nombre
Ah bon ? Pourquoi. Toulouse, c'est pire que Marseille ?
 
C'est plus dur, me semble-t-il.
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter