Il faut donc tenir compte de cette évidence contradictoire que nous avons la politique remplaciste que nous méritons et du fait aussi peu négligeable que nous ne la supportons plus. C'est la une forme de dilemme insoluble.
Je rejoins R. Camus : à quoi bon ces réactions viscérales anti-caste et anti-GR si nous ne sommes même pas fichus de nous rassembler ?