Citation
Alain Eytan
À la décharge de Mélenchon toutefois, je crois me souvenir qu'il fut pratiquement le seul homme politique "important" à ne pas verser dans la pantalonnade des hululements à la mort de Joni, le chanteur de variétés, et qui interrogé sur ce sujet eut le front de répondre sèchement quelque chose du genre : « Mais qu'est-ce que vous voulez que ça me foute ? »
Cela seul pourrait l'absoudre de bien des défauts...
Ouais...Mais je ne peux m'empêcher d'y voir aussi renforcé et confirmé son côté totalitaire, méchant, arrogant et finalement pas du tout populaire (pris ici dans son sens le plus noble), tel un vulgaire et banal militant de l''extrême gauche.
Ces vils côtés étaient apparus spectaculairement lors de son passage à l'émission politique de la 2, dans laquelle il afficha ouvertement et sans vergogne tout son mépris à une intervenante qui osait le mettre face à certaines réalités, qu'elle avait douloureusement vécues.
Finalement Mélenchon ne savait pas si bien dire.
Car s'il est bien vrai que ces
casseurs pointent à l'extrême gauche, il est tout aussi vrai que ceux-ci ont, en effet, des comportements que l'on attribue traditionnellement à l'extrême droite, celle-ci n'existant pratiquement plus en France, et, qu'en particulier, ce ne sont en rien de parfaits démocrates. Mais tout cela nous est bien entendu parfaitement connu.
Il est assez rigolo de voir défiler ses cohortes cagoulés, hurlant
nous sommes antifascistes, alors que primo le fascisme a quasiment disparu des écrans-radars et, secundo, par leur tenue et leur comportement violent ces jeunes militants font tout de même plus penser au fascisme qu'un Emmanuel Macron.