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Communiqué du CNRE n° 27, jeudi 17 mai 2018, Facebook, la censure et les politiques d’immigration

Envoyé par Renaud Camus 
Communiqué du CNRE n° 27, jeudi 17 mai 2018
Facebook, la censure et les politiques d’immigration

Mme Monika Bickert, “responsable de la politique des contenus” sur Facebook a-t-elle dit ou n’a-t-elle pas dit que toute critique des politiques d’immigration et tout appel à les limiter seraient empêchés sur le réseau dont elle a le contrôle ? Apparemment elle l’a dit dans la version française de son intervention mais ne l’aurait pas dit dans la version anglaise, originale. Il importe de toute façon assez peu, puisque cette déclaration reflète mot pour mot la politique effectivement suivie par Facebook, qui censure avec une brutalité croissante toute opposition à l’immigration de masse, et même à l’immigration tout court. Qui plus est la censure ne porte plus seulement sur des “statuts” particuliers mais sur des personnes, têtes de Turc ou boucs émissaires du réseau, qui par centaines sont à tout moment frappés d’interdit, indépendamment de toute prise de position particulière et souvent pour les émissions les plus insignifiantes (le seul mot “Merci”, par exemple).

Audemeurant ce comportement ultra-répressif n’est pas seulement le fait de Facebook : il est celui de tout l’appareil remplaciste, dontFacebook est bien sûr un rouage capital. C’est toute critique ou même la simple mention de l’invasion, du Grand Remplacement, du changement de peuple et de civilisation, du génocide par substitution, qui sont désormais interdites de fait, dans la plupart des pays d’Europe. Les dits “réseaux sociaux”, perçus à leur apparition comme des espaces de liberté, ont suivi en dix ans la même évolution que la presse en général en trois siècles, et sont devenus des instruments de contrôle et de répression de la pensée.

Il n’est pas possible de s’offrir plus longtemps en produits de marketing et de publicité à des institutions qui veulent notre perte. Il faut au mouvement de résistance à l’invasion organisée un réseau d’échanges qui lui soit propre, et proprement européen. En guise de substitut à Facebook, et à titre au moins provisoire, la Conseil National de la Résistance Européenne propose le modeste forum public du parti de l’In-nocence (in-nocence.org), qui est ouvert à tous moyennant inscription gratuite, qui est plus confortable que Facebook (italiques, capitales, etc.) et qui n’exclut que la grossièreté, l’extrême relâchement de la forme, la nocence et les deux négationnismes, l’ancien et le nouveau.
Merci au CNRE de reconnaître que cet espace-ci, aussi pauvre que pur, aussi riche qu'ouvert, est un des derniers domaines webmatiques libres. Les seules contraintes y sont ancestrales : un respect minimal et salutaire pour la forme et une soumission absolue aux impératifs d'intelligibilité.
Je ne sais pas si je suis absolument d’accord avec le second point, auquel un Héraclite risquerait de ne pas satisfaire, mais je crois voir ce que vous voulez dire, et j‘y souscris.
18 mai 2018, 16:57   Le retour des troupes
L'annonce de l'arrivée imminente de ceux du CNRE me fait un peu penser au retour du front des troupes très éprouvées et en piètre état, alors que l'adjudant-chef Marche peaufine déjà son discours de réception et diligente les préparatifs de réintégration dans un milieu plus civil, à l'arrière, où l'on discute ferme de problèmes de logique, joue du piano et enfile des perles sur le sexe des anges et même des Négresses.
l faut dire qu'ici on peut employer ce dernier substantif sans risquer de se faire tirer dessus, sauf peut-être à en dire trop de bien, mais, il faut le reconnaître, on vous laissera quand même la vie sauve.
Citation
Communiqué
Le «Conseil National de la Résistance Européenne propose le modeste forum public du parti de l’In-nocence [...], qui est plus confortable que Facebook (italiques, capitales, etc.) et qui n’exclue que la grossièreté.»

«Qui n’exclue que la grossièreté»: non à l'effondrement syntaxique, au relâchement de la forme et au subjonctif clandestin.
Zut, où trouve-t-on l’émoticon du petit bonhomme piteux pris sur le fait ?
Zut, où trouve-t-on l’émoticon du petit bonhomme piteux pris sur le fait ?

Et celle pour exprimer l'immense satisfaction d'enregistrer l'arrivée en ces lieux de Jean Racine en personne ?
C'est terrible !
On m'avait refusé le pseudo "Diomède, Dompteur".
J'exige une explication .

Bein moi y zont pas voulu "Harlem Désir"... C'est vraiment à la gueule du client ici.
Citation
Pascal Mavrakis
Jean Racine ? Le typographe ?...

Qu'on lui fournisse des insécables, il saura en faire bon usage. Des fortes suffiront, et il attendra l'édition de luxe pour réclamer des fines.
J’avoue être un peu désapprobateur de “Jean Racine”, en effet, de même que j’ai de fortes réserves sur “François ÉGON” — pourquoi pas ”Égon” ? Mais je fais l’objet de telles pressions pour que je mette de l’eau dans mon vin…
«D'un sinistre avenir je menaçai ses jours.
Sous un nom emprunté, sa noire destinée
Et ses propres fureurs ici l'ont amenée.
Elle me voit, m'entend, elle est devant vos yeux;
Et c'est elle en un mot que demandent les dieux.»

(Racine, Iphigénie en Aulide, V, 6.)

Je me souviens qu'à la fin, devançant le sacrifice, elle se poignarde et meurt.
Cher Renaud Camus, comme je vois mon nom cité je me dois de réagir. Peut-être eût-il été plus convenable d'écrire mon nom Egon et nom EGON. Je ne veux pas être la cause de vos froncements de sourcils pointilleux, je vais donc rectifier mon profil. Quoiqu'il en soit, il n'y a pas d'accent sur la lettre majuscule de mon nom. Il n'y en a d'autant moins que c'est un patronyme d'origine allemande, lequel est devenu prénom au fil des siècles (exemple: Egon Schiele). Enfin, cela est mon vrai nom, non un pseudonyme; j'ai en effet choisi de combattre sous mes couleurs.
Ah, Monsieur, mille pardons pour l’accent déplacé — Egon, Egon, Egon. C’était la totalité du nom en capitales qui me gênait un peu, parce que nous avons toujours conçu ce site comme une espèce de revue, et si, dans le “sommaire” il y a des noms en capitales et d’autres en bas de casse, ça a l’air un peu négligé. Je vous suis très reconnaissant d’avoir souscrit si gentiment à ce qui, pour beaucoup, doit sembler un caprice. Grand merci.
Cher Monsieur Camus, sur les majuscules intempestives vous aviez mille fois raison. Aussi ai-je rectifié. Je ne veux en aucun cas déroger aux règles édictées. Soyez vous-même remercié d'avoir créé ce site, et ....de m'y avoir accepté !
Votre bonté, cher François Egon, irait-elle jusqu'à rétablir la cédille de votre prénom ?
Vous êtes trop exigeant, très cher Marcel ! A force de courriels et de communications à l'international, j'ai pris l'habitude d'omettre volontairement la cédille....Mais pour vous être agréable et demeurer puriste, puisqu'aussi bien nous conversons en français sur ce site, je la rétablis séance tenante
Cher François Egon, il faut ici parfois sur des œufs marcher et ja sans biscuit ne s'aventurier.
Il fut un temps où M. Renaud Camus lisant ou oyant qu'on l'appelait «Cher Monsieur Camus» ou «Monsieur Camus» eût crié «Holà, gardes, à moi!», comme Agamemnon dans la scène 7 de l'acte IV d'Iphigénie de Racine.

N'hésitez pas à vous servir en tant que de besoin des outils typographiques à votre disposition (les esthètes déploreront l'absence d'insécables et des petites capitales, pour les siècles): italique et lettres supérieures (une rareté sur les forums), par exemple.

Pour la cédille, je suis d'accord avec M. Marcel Meyer; il serait bien regrettable de ne pas la mettre.
J'essaie une supérieure: XXIe siècle.
"(les esthètes déploreront l'absence d'insécables et des petites capitales, pour les siècles):"

Les esthètes déploreront l'absence d'ESPACES !!!




(J'appelle Didier Goux tout d'suite !)
Monsieur Pascal Mavrakis, nous avions bien compris votre position. Pour notre part, nous ne voulons pas en début de ligne de nos commentaires (les autres font ce qu'ils veulent) de point d'exclamation, de point d'interrogation, de point-virgule, de deux-points, de guillemet fermant, de signe de pourcentage, ni autretelles hidors qui arrivent quand on ne peut faire certaines espaces insécables.
Je note bien que pour «XXIe siècle», entre autres, il n'y a pas de solution, on ne peut pas coller les deux parties, entre lesquelles il faudrait également une insécable.
Je me vois pénétrer, presque par effraction, au milieu d'un groupe de fin lettrés. Ayant avant toute chose le souci de l'esthétique, je suis ouvert aux critiques afin d'améliorer mon style. Soyez donc libres de me reprendre quand il le faudra. Cependant, il me semble que le fond ne doit pas être occulté par trop de recherche dans la forme car, selon un vers célèbre de Boileau: "Avant donc que d'écrire, apprenez à penser"
@F. Egon

Vous savez, être obsédé par la forme c'est un peu comme être obsédé par la femme. C'est l'obsession de quelque chose comme d'un état antérieur, féminin de toute éternité - une forme qui vous a précédé et qui vous survivra. Toutes les autres obsessions renvoient à celle-ci, enfin je crois.


Ceci dit, bienvenue sur ce forum cher François.
Voilà que distraite comme je suis, je prends conscience que depuis des lustres je fais probablement toutes sortes de fautes typographiques sur ce forum sans m'en être jamais aperçu et que je ne dois sans doute qu'à la galanterie des messieurs dudit forum de ne pas en avoir été morigénée. J'avoue d'ailleurs à ma grande honte que la problématique du sécable et du non sécable m'échappe encore. En conséquence je salue monsieur Egon comme frère de galère.
Citation

(J'appelle Didier Goux tout d'suite !)

Mais que viens-je faire dans cette histoire ?
L'espace non sécable, chère Fanny, permet d'éviter qu'un point d'interrogation, par exemple, se retrouve à la ligne, tout seul, séparé, coupé, “séqué” d'avec la formulation de l'interrogation qu'il marque, ou qu'il faille, pour éviter cela, le coller comme en allemand ou en anglais.
Citation
Cassandre:
La problématique du sécable et du non sécable m'échappe encore.

C'est comme un pantalon sans ceinture ou sans bretelles, un slip sans élastique. L'insécable c'est élastique du slip. Sans insécable, chausses aux chevilles.
@Didier

Ne jouez plus à l'ignorant mon cher Didier : tous ici connaissent et reconnaissent vos redoutables compétences dans l'art du bizutage. Pas un qui vous arrive à la cheville.
Oh, Didier Goux ! Didier Goux ! J’ai connu un Didier Goux, jadis. Il avait une épouse, même, mais je ne sais plus si elle était danoise ou québecoise. Toujours est-il (rien à voir avec sa femme) qu’il est arrivé exactement ce que je lui avais annoncé à notre première rencontre, et dont il ne voulait pas croire un mot. Lui m’agaçait un peu parce qu'il s’était mis dans la tête, dur comme fer, Dieu sait pourquoi, que je détestais être comparé à Léautaud. Il revenait éternellement là-dessus, ça l’obsédait. Et évidemment, comme il arrive dans ces cas-là, plus je dénégais, plus il se convainquait. J’ai fini par me taire. D’ailleurs on finit toujours par se taire. C’est ça, l’amitié. J’aime mieux l’amour.

Dans un de ses romans il raconte de façon hilarante une soirée avec Houellebecq, dans une petite ville de province. Mais ce ne doit pas être le même. Il doit être mort, à présent. Ou alors c’est moi. Oui, plutôt. Tout cela est si loin. Mon Dieu ! Étions-nous assez jeunes ! Il y avait une espèce de moulin sur un pont, je me souviens, et un chien, qui ne s’appelait pas Clément. C’était un apérotiste des Derniers Jours. Didier Goux, je veux dire — pas le chien. Le chien aussi est peut-être mort. J’espère pas, comme on disait à l’époque. Mais l’on me dit que plusieurs des personnes que j’ai connues sont encore vivantes. Grand bien leur fasse. J’aime mieux que ce soient elles que moi.
(Je l'aimais bien ce Didier Goux, moi. Il savait écrire et il était drôle.)
(Absolument. Je confirme. Mais que voulez-vous, mon Cher, nous sommes démodés, comme disait Alphonse XIII à la reine le jour des élections municipales.)
Mon Cher Maître, les chiens que vous avez connus (Swann et Bergotte) sont bien morts… et Didier Goux ne vaut guère mieux. Mais il se doit de rester en vie pour tenir compagnie à son épouse canado-dano-picarde ainsi qu'à Charlus, un genre de cocker qui aurait le même toiletteur que Donald Trump.

(Pour le reste, vous mélangez deux ou trois rencontres successives, mais c'est sans importance.)
Ah ça pour mélanger je mélange. Je dirais même plus, j’alzheime. D’ailleurs il y avait un Goux à la Villa Médicis, je confonds un peu. J’ai oublié son prénom. C’est lui qui disait, quand nous recevions des lettres du Directeur qui commençaient pas “Cher Monsieur Goux” ou “Cher Monsieur Camus” :

« C’est pour le coup qu’on se croirait à la campagne… »

Les Goux sont toujours très drôles. C’est la race, qui veut ça.
Votre Goux à vous ne serait-y pas Jean-Paul ?

(Goux est un nom originaire du Jura, à propos…)
Voilà, Jean-Paul Goux, c’est sla même… Très gentil garçon. C’est votre grand-frère (comme on dit de nos jours) ?

(Ah, du Jura ? Moi je les mettais plutôt dans cette espèce de bitonio qui s’enfonce dans la Belgique, vers chez Rimbaud).
Aucun lien de parenté (de parenté immédiate en tout cas) entre ces deux Goux-là.

Le nom est bel et bien jurassico-franc-comtois. Si je suis semi-ardennais, c'est par grâce maternelle…
Merci à Cassandre, que je salue un peu tard (mille excuses !), pour ses mots d'encouragement
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