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La résistance chacun dans son coin

Envoyé par Renaud Camus 
Jamais l’histoire ne pardonnera aux gouvernements qui ont livré leurs peuples au génocide par substitution mais elle sera sans indulgence non plus pour tous les “résistants” qui refusent de s'unir et s’ignorent les uns les autres quand seule l’union pourrait sauver les Européens.
Résister dans son coin ne vaut-il pas mieux que de ne pas résister? Si.
S'unir pour faire quoi aujourd'hui précisément? Qu'y a-t-il à faire aujourd'hui ensemble?
Et le CNRE aurait dix mille adhérents, ça changerait quoi?
(Potentiellement, il en a des centaines de milliers, voire plus.)
Je voudrais dire à Renaud Camus que j'apprécie ses réflexions pluri-quotidiennes sur Twitter, elles entretiennent la flamme et brisent la solitude des grand-remplacés.
Chaque jour en me levant, je me dis: c'est un drame, encore un jour à patauger dans la pourriture aggravée, y aurait-il un moyen de l'arrêter puis de la faire régresser? En tout cas, je ne suis pas le seul à en avoir conscience.
Utilisateur anonyme
20 mai 2018, 00:24   Re : La résistance chacun dans son coin
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Il est peut être encore trop tôt pour s'unir.

Les grands résistants passèrent des années dans l'isolement de petits réseaux. L'union n'intervient, n'est payante, que dans l'Acte III, voire IV, de la lutte. C'est ce que semble nous enseigner l'histoire de la première occupation. En cherchant un peu dans le passé plus lointain, on y découvrirait probablement une loi : le purgatoire dure longtemps. (Guerre de cent ans : Paix de Brétigny, fausses victoires en chaîne ; l'union des patriotes puis la remigration de l'occupant n'apparaissant qu'à l'acte V).

Les narrations historiques, puisqu'il ne s'agit plus de politique mais bien d'histoire, bonnes à puiser chez Michelet par exemple, recommencent à enseigner le sens, et à éclairer l'attente et l'action.
N’empêche. C’est long. La Première Occupation n’a duré que quatre ans. Nous sommes seuls depuis vingt ans.
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“Jean Racine” ? On ne pourra pas reprocher au service de filtrage de l’In-nocence d’être trop sévère…

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Que le groupe de soutien au CNRE ait dix mille membres changerait beaucoup de choses (ne serait-ce déjà que par les moyens qu’en acquerrait ledit CNRE). Lequel ne devrai jamais avoir lui-même plus de deux cents membres.
Autre loi possible, celle d'un jeu de paramètres quantitatifs dont seul compte le produit, le résultat combinatoire :

Tueries plus nombreuses, effusions de sang et déportations quasi-quotidiennes sur quatre ans peuvent équivaloir à un petit Bataclan tous les cinq ans mêlé à des prises d'otages et des micro-tueries mensuelles sur une période d'un demi-siècle. Durée et intensité se combinent et seul le produit de leur combinaison est constant, fait loi, pour donner forme à l'Acte V. Le pillage des fonds publics sous la deuxième occupation se faisant mêmement "à bas bruit" (Plan Borloo, etc.) par rapport à celui, forcené, réquisitionniste et assumé, de l'Occupant précédent.

La Guerre de cent ans, disait Claudel, fut cela : un long, interminable débat juridico-politique entrecoupé de prises d'armes.

Cent ans.
Citation
Francis Marche
Autre loi possible, celle d'un jeu de paramètres quantitatifs dont seul compte le produit, le résultat combinatoire :

Tueries plus nombreuses, effusions de sang et déportations quasi-quotidiennes sur quatre ans peuvent équivaloir à un petit Bataclan tous les cinq ans mêlé à des prises d'otages et des micro-tueries mensuelles sur une période d'un demi-siècle. Durée et intensité se combinent et seul le produit de leur combinaison est constant, fait loi, pour donner forme à l'Acte V. Le pillage des fonds publics sous la deuxième occupation se faisant mêmement "à bas bruit" (Plan Borloo, etc.) par rapport à celui, forcené, réquisitionniste et assumé, de l'Occupant précédent.

La Guerre de cent ans, disait Claudel, fut cela : un long, interminable débat juridico-politique entrecoupé de prises d'armes.

Cent ans.

Voilà, comme on dit. Pour ma part, c'est quand la "guerre" cessera pour de bon d'être asymétrique, cad quand les mahométans auront tué d'un coup, n'importe où en Europe, plus de gens qu'au cours des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, que ce qu'il reste de jeunes patriotes européens prendront les armes. C'est de l'erreur ultime des terroristes (obtenir la soumission par l'hyper violence au lieu de laisser se poursuivre à moindre bruit la conquête) que pourrait venir la réaction de défense tant attendue.
Les petites périodes de paix intermittentes sont mortelles : elles endorment les populations, les bercent d'illusion et vont jusqu'à anesthésier les mémoires, y compris le souvenir immédiat de l'horreur. Un mois après la tuerie de Nice en 2016, dont il avait fallu à tout prix de pas montrer en photos les cadavres d'enfants gisant sur le trottoir, des jeunes gens étaient tout contents de sautiller joyeusement dans des concerts en s'écriant "celui qui ne saute pas n'est pas Niçois". Au Bataclan, les immenses trainées de sang sur le sol de cette scène digne de l'Enfer de Dante étaient à peine nettoyées que déjà la salle programmait son prochain concert.

Cette paix-là est aussi assassine que la guerre. Elle étirera le malheur sur plusieurs générations. Nos dirigeants le savent, qui plaident le pessimisme face au "terrorisme". Leurs "experts" ne peuvent pas ne pas avoir perçu l'existence de cette loi: que la coupe de la souffrance ne verse que remplie à ras bord, et que la lenteur et l'intermittence de son remplissage font s'étirer et durer la souffrance plus longtemps, et retarder l'heure du soulagement.

Le temps est le meilleur ami du tortionnaire, qui sait qu'aucun sursaut n'advient chez la victime en deça d'un seuil cumulatif de souffrance, et que l'interruption des sévices use cette dernière bien autant que les sévices eux-mêmes.
L'après-massacre de Manchester (des adolescentes réduites en charpie, bon dieu...) fut consternant : un autre concert, une autre bringue pour compenser et refermer la blessure. Et les rescapées au corps meurtri qui furent invitées à festoyer étaient contentes, aux anges !

Il faut toujours le rappeler : des amuseurs de Canal + improvisèrent un concours de pets à la terrasse d'un café parisien quelques jours après les attentats de novembre 2015. (Comment, alors, ne pas se demander si, tout cela, on ne l'a pas un peu cherché, mérité même ? Mais c'est un autre débat.)
Bonjour !
Petit nouveau au parti de l'IN-NOCENCE, je vous salue tous cordialement.
Je suis de l'avis de Francis: la Résistance est d'abord affaire individuelle. Les agrégats se forment ensuite, souvent non spontanément, mais à l'initiative d'un ou plusieurs chefs. Cependant, pour "entretenir la flamme", il me semble nécessaire que des actions soient entreprises, avec des mots d'ordre dans lesquels les résistants en herbe peuvent se reconnaitre et des modes d'action originaux suscitant l'adhésion
Pour répondre à Renaud Camus, pour qui j'ai le plus profond respect, s'unir pour "se compter", "ne pas se sentir seul" etc ne me semble mener à rien . J'ai été adhérent (et responsable) à VPF: l'attente "arme au pied" est démobilisateur. Je crois davantage à des actions du type Génération Identitaire au Col de l'Echelle. Ainsi, pourquoi ne pas lancer un mot d'ordre à tous les résistants de rejoindre, chacun avec ses moyens et dans la mesure de ses possibilités, le groupe GI en pleine action ? Effet mobilisateur, entrainant....et médiatique garanti. En d'autres termes, je crois à l'union par l'action.
Soyez le bienvenu, cher François. L'action de G.I. était cela même, me semble-t-il, sans haine et sans violence, quand par exemple, ils déploièrent une banderole où se lisaient six mots opposables à tout le barnum cannois actuel. Deux phrases sages et justes : L'EMIGRATION TUE L'AFRIQUE. L'IMMIGRATION TUE L'EUROPE.

Le mal que fait à l'Afrique et aux Africains cette traite anarchique, brouillonne, assassine et spoliatrice sous l'étendard de la morale est à la mesure du bien qu'elle fait à ces pingouins qui lèvent un doigt à Cannes pour leur photo de famille. Ces salopards sont à présent ultra-minoritaires, et ils sont bien les seuls, avec leurs eunuques journalistes, à ne pas le savoir ou vouloir l'entendre.
Merci cher Francis pour votre petit mot de bienvenue ! Comment montrer à tous ces dégénérés qu'ils sont une ultra-minorité ne bénéficiant que d'une énorme caisse de résonance grâce à la collaboration médiatico-politico-judiciaire, sinon par des actions rapides, non-violentes, ciblées ? Je crois au bon sens de la majorité de nos concitoyens. Il faut toucher leur BON SENS
"L'EMIGRATION TUE L'AFRIQUE. L'IMMIGRATION TUE L'EUROPE" est un magnifique slogan. Tous les êtres de BON SENS ne peuvent qu'adhérer.
A propos d'histoire:
"Le 10 avril 1610, une ordonnance du viguier et des consuls de Marseille commande aux morisques et Grenadins de vider la ville, et défend de les loger, les recevoir ou les faire entrer. Le 23 avril, tandis que le procureur du roi à l’amirauté de Marseille déclare qu’il en arrive « tous les jours davantage », les mêmes consuls, avertis qu’il y a à La Ciotat deux barques chargées de morisques qui veulent venir chez eux, écrivent à leurs collègues dudit lieu pour les « prier de leur dire qu’ils s’en allent en aultre part , car, disent-ils, nous vollons chasser et chassons tout les jours ceulx qui à nostre desceu [insu] sont venus en ceste ville ». Enfin le 30 avril, le parlement d’Aix enregistre une ordonnance royale datée du 15 du même mois, par laquelle Henri IV, revenant sur des dispositions antérieures plus favorables, interdit désormais toute entrée de morisques en France et ordonne que ceux qui s’y trouvent déjà soient rassemblés et conduits aux ports de mer les plus proches et sortent du royaume . "
(In : « Les tournées de François de Beaumont pour l’expulsion des morisques de Provence (janvier-mars 1611) »Pierre Santoni)

Le refus de l'immigration désordonnée, incontrôlée, de peuples avec qui nous n'avons rien en commun, a déjà eu lieu. Cela ne se sait pas assez...
Citation

«La Première Occupation».

«La Première Occupation»: le terme est efficacement accrocheur, mais est-il adéquat, assez précis? J'hésite toujours un peu à répondre oui, car il y a eu d'autres occupations, comme celle des coalisés, de 1814 à 1819.
Citation
Untel
Citation

Au Bataclan, les immenses trainées de sang sur le sol de cette scène digne de l'Enfer de Dante étaient à peine nettoyées que déjà la salle programmait son prochain concert.

Une fosse, cette scène, je crois. La neuvième bolgia de Dante, où, selon l'Alighieri, se trouve un certain Maometto, ou la fosse aux lions des chrétiens.
Certes. Néanmoins, quand on dit l‘Occupation, c’est celle de 1940-1944/5. Donc, avec l’actuelle, elle est devenue la Première.
Passionnant, les Morisques à Marseille en 1610… 
Utilisateur anonyme
21 mai 2018, 08:29   Re : La résistance chacun dans son coin
Entre la volonté de résister et l'envie de gerber :

[t.co] [twitter.com]


[actu.orange.fr]
Utilisateur anonyme
21 mai 2018, 08:50   Re : La résistance chacun dans son coin
En réalité, le point de non–retour est atteint. Jamais l’utopique ”vivre ensemble” ne pourra s’installer. Jamais l’"insertion" ou l’"inclusion" ne pourront se réaliser. Jamais la haine (raciste et jalouse) de la France – et des autres peuples européens comme des Juifs– ne pourra s’éteindre au sein de ces populations en augmentation numérique constante.


Enfin bon, j'enfonce des portes ouvertes, là.
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