Communiqué du CNRE n° 30, mardi 5 juin 2018
Mme Françoise Nyssen, ministre de la Culture, et le génocide par substitution
Mme le ministre de la Culture s’engage résolument et passionnément du côté de l’hypercollaboration avec le remplacisme global et le génocide par substitution. Mme Françoise Nyssen s’était déjà rendue comiquement fameuse pour son incompétence, elle a très logiquement recours au moyen le plus classique de pallier ce défaut, de faire carrière nonobstant et de perdurer dans les grands emplois au temps du Grand Remplacement : trahir toujours plus et toujours mieux, mieux livrer le peuple français à l’invasion et à l’occupation étrangères, accélérer la manipulation génétique, broyer le biodiversité humaine, consacrer plus officiellement encore la transformation ethnique, ce crime contre l’humanité du XXIe siècle.
Nul ne pouvait croire que ce fût possible mais Mme le ministre de la Culture en annonce officiellement le projet : elle veut accroître encore l’emprise médiatique et “culturelle” du remplacisme global sur les esprits et sur les âmes, renforcer la censure et la répression, officialiser la rééducation forcée et la préparation des remplacés à leur remplacement même, des ethnocidés à leur ethnocide, des génocidés à leur génocide, des Français à leur remplacement par des peuples étrangers qui les haïssent et ne s’en cachent pas, des indigènes à leur effacement au profit d’un occupant appelé en masse et chaque jour plus nocent. Le ministère de la Culture fondé par André Malraux, et donc par le général de Gaulle, ne servira donc plus qu’à cela : garantir par tous les moyens, à commencer par ceux de la répression la plus féroce, en lâchant sur lui les journalistes, les intellectuels, les amuseurs, les juges et les milices du complexe médiatico-politique, que le peuple français n’existe plus et que la France n’est plus rien d’autre qu’un espace de commercialisation parmi d’autres pour les industries globales de la Matière Humaine Indifférenciée (MHI).