Une toute récente publication FB du sieur en question :
"Trop d'immigrés? mais ce n'est pas la question voyons!
Intéressant le refus d'Edouard Philippe de répondre à la question de Wauquiez hier soir sur France 2: y-a-t-il "trop"d'immigrés en France? Philippe a su louvoyer et éviter de répondre. Et l'autre idiot de Wauquiez n'a pas su en tirer les conclusions.
Pour que les choses soient claires - et j'écris aussi pour Wauquiez - les conclusions sont les suivantes : le premier ministre de la France ne trouve pas que l'invasion migratoire musulmane soit excessive.Elle n'est pas excessive, car cette invasion migratoire est voulue. Comme le dit son patron Emmanuel Macron, la France, cette nation de criminels qui a du sang sur les mains (Cf discours de l'Onu), ne trouvera sa rédemption que dans une Union européenne toujours plus élargie à l'Albanie et à l'Afrique du Nord et même à l'Afrique subsaharienne s'il le faut.
Plus il y aura d'immigrants et plus la dimension criminelle ontologique de la nation française sera diluée. En d'autres termes, nous sommes dirigés par des dingues dangereux, des allumés en costume cravate qui veulent notre bien sans nous demander notre avis.
Le seul obstacle à une béatification apaisée de la France par voie d'immigration musulmane renforcée, c'est la violence des immigrés, le terrorisme, les attaques au couteau impromptues, les viols et le discours de haine qui se propage par le rap depuis les cités. Cette violence quasi animale, cette violence raciale génère le refus. Et ce refus c'est ce que Micron appelle "le retour des peuples" (Cf discours de notre président devant les ambassadeurs).
A à la tribune de l'Onu, notre Micron dénonçait l'"unilatéralisme" de Trump, c'est à dire le droit du peuple américain - et de tous les peuples - à l'autodétermination par des frontières sûres et reconnues. Le retour des peuples et le droit à l'autodétermination par les frontières, c'est l'ennemi de Micron. Et cet ennemi c'est le refus global, latent, de ces "mauvais sauvages blancs français autochtones" de se faire violenter au quotidien par des demeurés venus du tiers monde.
Notre problème à nous Français de toutes confessions et de toutes couleurs de peau, c'est l'absence de représentants capables de fédérer notre refus global de l'immigration massive organisée. Il n'y a pas de Trump en France, à savoir un type assez allumé pour dire paisiblement "le peuple français ne se laissera pas diluer". Valls n'est pas assez intelligent pour comprendre qu'il y avait une carte à jouer. Il est parti à Barcelone. Et Marine le Pen est toute contente d'avoir récupéré par voie de justice la moitié de son magot et considère qu'elle a gagné la guerre.
Il n'y a que des initiatives citoyennes qui pourront enrayer le processus. Je pense aux 40 zozos (dont je m'honore d'avoir fait partie une fois) qui ont campé le vendredi devant le Bataclan, ou la colère par les réseaux sociaux devant le rap meurtrier du Conrad assassin de Blancs, ou le sang froid des joueurs de boule qui ont dégommé l'Afghan meurtrier du XIXème arrondissement.
Bref, nous n'avons pas d'autre choix que de nous défendre au quotidien. Avec les moyens du bord.
La route va être longue!!!"