Le site du parti de l'In-nocence

Photos

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
27 novembre 2019, 17:45   Photos
Je viens de voir les photos des militaires français tombés accidentellement au Mali... J'ai bien regardé mais je n'ai pas retrouvé cette fameuse France-issue-de-La-Diversité tant célébrée par les rentiers du vivrensemble : rien que des Blancs ! Pas l'ombre d'un Divers (eux qui sont si nombreux à plastronner sur les plateaux TV, à déambuler dans nos villes, à manifester contre les "stigmatisations"). Il est vrai qu'au Mali le danger est partout. Vrai encore que la France, ingrate, raciste et discriminante, ça n'est pas trop leur tasse de thé.
Je m'interroge : où sont passées nos Chances ? Trop occupées à foutre le bordel ?, à copuler pour nous offrir une descendance ?
Loin du front, mais près de la caisse d'allocations.


(D'un côté, à l'extérieur, on combat l'ennemi et de l'autre, à l'intérieur, on l'invite, on le cagole, on l'aide à s'installer, on le protège. Cherchez l'erreur.)
28 novembre 2019, 15:13   Re : Photos
C'est en effet un des paradoxes aveuglants et invisible de ce temps : Montreuil est peuplé de Maliens, des hommes jeunes et vigoureux, lesquels on voit aussi nourrir les contingents de MTA (Majeurs Très Accompagnés) que l'on aide, loge et tout le reste, bien au chaud dans des foyers d'accueil et les hôtels Formule 1 de l'Hexagone, à l'abri de toute obligation, de tout souci, y compris celui de décliner leur identité ou leur passé véritables, tandis que des Français de souche s'en vont se faire trouer la peau pour leur pays, sans qu'il ne soit rien demandé à ces MTA en échange des sacrifices auquel la France consent pour leur personne (50000 euros par personne et par an, aux dernières nouvelles) et leur pays.

Cela ressemble à une fiction dystopique, une fable grossière et passablement maladroite de notre déchéance, une énième narration des politiques du père Ubu. Pourtant c'est là réalité crue, aveuglante, invisible, jamais dite, qui s'installe dans le cauchemar de l'indicible, de l'interdit du dire et du penser, celui du paradoxe non-télégénique, et qui, de ce fait, n'a point droit de cité dans l'espace public et le raisonnement articulé.
28 novembre 2019, 16:35   Re : Photos
Tant mieux alors : le spectre de l'inquiétante infiltration des armées par des musulmans et divers de plus en plus nombreux en son sein, au prorata de leur nombre dans la population civile, ai-je lu quelque part, ne serait que poudre aux yeux...
Utilisateur anonyme
28 novembre 2019, 17:38   Re : Photos
En traînant un peu sur la "fachosphère" j'ai cru comprendre que certains militaires (issus de je ne sais plus quelle diversité (?)) refuseraient de tirer sur certaines populations (issues de la même sensibilité diversitaire). Mais bon, aucun doute là dessus : c'est un "fake" d'estrem drouâtre.
Utilisateur anonyme
29 novembre 2019, 07:33   Re : Photos
Francis@


Cela ressemble à une fiction dystopique, une fable grossière et passablement maladroite de notre déchéance, une énième narration des politiques du père Ubu. Pourtant c'est là réalité crue, aveuglante, invisible, jamais dite, qui s'installe dans le cauchemar de l'indicible, de l'interdit du dire et du penser, celui du paradoxe non-télégénique, et qui, de ce fait, n'a point droit de cité dans l'espace public et le raisonnement articulé.


Dès que la déchéance de l'Occident est regardée comme un "progrès", en fait dès qu'elle est assimilée, par le néo-marxisme multiculti déconstructiviste, au seul "progrès" imaginable, l'alliance entre les forces les plus rétrogrades (pourvu qu'elles soient anti-occidentales) devient naturelle et inévitable. Ce qui donne aujourd'hui des boutons a Danny le Rouge ce n'est pas l'invasion migratoire et les mœurs antédiluviennes d'une certaine communauté, mais ceux qui les critiquent. Ceux qui critiquent cette formidable force corrosive anti-occidentale "révolutionnaire".
Avec toute cette magnifique gauche en tant que force destructrice antidémocratique un quelconque fascisme est devenu parfaitement superflu.

La France est mortellement malade de son gauchisme profondément ancré et ni un docteur ni un remède ne se pointent à l'horizon.

(Aucun rapport avec ce message, enfin presque... [twitter.com])
29 novembre 2019, 23:42   Re : Photos
Le multiculturalisme que défend bec et ongles Dany le Rouge possède un tropisme très fort avec l'Afrique, où tous les pays sont multiculturels et de population pluriethnique.

Il présente aussi un très fort tropisme avec ce qui caractériste tout empire : car tout empire est, par définition, multiculturel et pluriethnique.

L'empire maastrichien dans les plis institutionnels duquel Dany le Rouge et ses camarades prospèrent comme le pou dans la doublure du pantalon, très logiquement, veut de l'Afrique chez lui et si possible partout, car il tient à combler les exigences de fond et de forme (ou de superstructure) de cet empire, soit

. La forme, ou la formule, multiculturaliste impériale (vivre-ensemblisme, etc.) qui constitue une caractéristique structurelle indispensable, définitionnelle, pour tout empire en même temps qu'un trait de civilisation constatable comme peu ou prou fonctionnel sur le continent africain et qui, sur le continent noir a, en quelque sorte, fait ses preuves (en reconduisant les chefs d'Etat au pouvoir sur des périodes pouvant aller jusqu'à quatre décennies);

. Le fond, ou la matière, africaine, obtenue par forçage migratoire, qui doit se couler dans cette forme et donner chair (répartition sectorisée des peuples en mosaïque africaine-européenne) au projet multiculturaliste pan-européen, lui-même inspiré des projets impérialistes qui ont animé le continent européen par le passé (balkanisation de cet espace en landers sur le modèle pangermanique; trame plurinationale, mosaïque de nationalités du modèle russo-soviétique).

A noter, s'agissant de la France et de la gouvernance macronienne : le méchant petit proconsul maastrichien qui siège à l'Elysée gouverne le territoire qui lui a été assigné par ses maîtres à la manière d'un chef d'Etat africain dont la mission fondamentale est de faire coexister les ethnies et les minorités sur ledit territoire, d'en arbitrer les tensions, si possible en se donnant des airs charismatiques de roi nègre conciliateur, d'où sa devise "En Même Temps". D'où aussi l'engouement manifesté par les communautés africaines de France pour sa personne, ses airs et son semblant de programme lors de son élection de 2017.

Voilà résumée l'équation des facteurs politiques de "l'africanisation de l'Europe" dont nous crevons en France.

(message modifié)
30 novembre 2019, 00:46   Re : Photos
Il est à noter que dans ce schème (impérialiste, africaniste, multiculturaliste et pluriethnique), Macron montre une adéquation surhumaine à sa mission, à sa fonction. Il est "l'homme de la situation". Il ne le sait sans doute pas intellectuellement, dirons-nous, mais nul doute qu'il le sente, comme par un instinct animal : les démonstrations dont il nous a gratifiés lors de la fête de la Musique à l'Elysée en juin 2018 l'attestent abondamment.
30 novembre 2019, 00:48   Re : Photos
En vérité, il n'y a pas de déchéance, seulement une entreprise méthodique, admirablement pensée et sentie, et résolument exécutée, de démolition et de construction nouvelle.

Dany Le Rouge a beau être un con, grossier de sa personne et très pur dans la connerie, l'Empire et son oeuvre vont : la conjuration des imbéciles est la seule qui se rapproche de l'invincibilité.
30 novembre 2019, 05:27   Re : Photos
Bien comprendre que dans cette construction, l'immigration d'origine africaine (et singulièrement sub-saharienne) est vitale à deux titres:

A. Elle est l'importation d'une matière humaine "populaire" de remplacement des peuples originaires d'Europe;

B. Elle opère l'importation d'un mode de pouvoir, d'un rapport au pouvoir et d'un type de gouvernance consubstantiellement impériaux.

La matière humaine évoquée en A. étant modelée dans et par ce rapport au politique (vénération d'un chef unique consensuel) commandé par une figure (M. En-même-temps) livrée à ce qui n'est rien d'autre qu'un exercice d'équilibrisme et d'autorité (généralement secondé par des milices et des hommes liges -- Black Block, Benalla, etc.) au dessus du filet (et dans la maille) des tensions inter-minorités, cette matière arrive en France macronnienne chez elle. Le passage, malgré l'obstacle de la Méditerranée se fait de plain-pied et à sec.

Il n'y a pas de contradiction entre le caractère identitaire farouche des grappes humaines qui abordent ainsi l'Europe et la nature multiculturaliste de l'espace qui leur tend les bras, ou plutôt cette contradiction se résout dans le mode politique impérial : plus vous êtes identitaire farouche, minoritaire et fier, plus l'Empire vous aime dans le surplomb politique qu'en vous montrant tel, vous lui offrez. Sur ce plan, les populations maliennes de Montreuil et les indépendantistes catalans ou écossais sont logés à la même, sont assujettis à la même mécanique.

Voilà comment et pourquoi l'immigration africaine est vitale au projet impérial pan-européiste : les peuples européens de souche, par comparaison, l'histoire l'a trop montré, se sont de long temps révélés trop médiocrement doués pour le régime impérial continental qui se cuisine entre Berlin, Bruxelles et accessoirement Paris. Cependant que l'Africain, lui, est chargé d'immenses potentialités à s'y soumettre, à le faire sien.

Si de plus, ce projet se voit cimenté par une spiritualité universaliste moniste verte (vert comme l'écologie autant que vert comme l'islam) que lui apporterait, en tiers bénéfice, cette immigration, la réussite historique de cet empire est assurée.
Utilisateur anonyme
30 novembre 2019, 09:23   Re : Photos
Nous serons donc d'accord pour dire que l’Empire, comme la cité ou la nation, est une forme d’unité politique et non, comme la monarchie ou la république, une forme de gouvernement. Cela signifie que l’Empire est a priori compatible avec des formes de gouvernement assez différentes. L’article 1er de la Constitution de Weimar affirmait ainsi que « le Reich allemand est une république ». Certes, par définition, un empire couvre une large superficie. Mais l’essentiel n’est pas là. L’essentiel tient au fait que l’empereur tient son pouvoir de ce qu’il incarne quelque chose qui excède la simple possession. En tant que dominus mundi, il est le suzerain des princes comme des rois, c’est-à-dire qu’il règne sur des souverains, non sur des territoires, qu’il représente une puissance transcendant la communauté dont il a la direction.

Mais « L’empire au sens vrai, écrit Evola, ne peut exister que s’il est animé par une ferveur spirituelle […] Si cela fait défaut, on’aura jamais qu’une création forgée par la violencel’impérialisme —, simple superstructure mécanique et sans âme ». Raison pour laquelle j'ai un peu de mal à voir le gros machin maastrichien comme un véritable empire... Et que dire de l’histoire de France, qui aura été une perpétuelle lutte contre l’empire... ?, la politique séculaire de la monarchie française visant avant tout à morceler les espaces germaniques et italiques. Dans ce sens Macron, qui "montre une adéquation surhumaine à sa mission, à sa fonction", est "l'homme de la situation" (la mise en oeuvre du saccage programmé de l'histoire de France).
30 novembre 2019, 10:57   Re : Photos
L’article 1er de la Constitution de Weimar affirmait ainsi que « le Reich allemand est une république ».

Je crois me souvenir que c'est bien le cas, mais justement, voyez la carrière, brève et amère de cette république, dévorée par l'idée d'un Reich, puis par le Reich tout court.

L’empire au sens vrai, écrit Evola, ne peut exister que s’il est animé par une ferveur spirituelle

Bien sûr, et ce que l'on doit redouter est bien que la chose soit en chemin avec l'installation de l'Islam dans cet espace, doublée d'une étrange néo-spiritualité, comme certains l'on qualifiée, qui est celle de "l'écologie" (qui a déjà sa prophétesse, la gamine suédoise, et ses apôtres chez les gouvernants, dont M. En-même-temps)

Politique française dans l'histoire de cet espace : Louis XIV, manquant le virage thalassocratique pris par ses concurrents anglais et espagnol qui lui damèrent le pion sur les théâtres nord-américains (et aux Indes), fut le seul monarque français à montrer des ambitions impériales dans l'espace ouest-européen; remise sur le métier de cette ambition avec Napoléon, élargie à l'Est, échec et fin. Virage thalassocratique tardif et expansion outre-mer ensuite avec la création de l'Empire français (l'épisode Napoléon III, séquelle du premier, émaillé d'échec avait enfoncé le clou des ambitions continentales de la France)

Seuls deux acteurs majeurs ont été après cela prétendants au titre : la Russie, qui a jeté l'éponge en 1991, et l'Allemagne, chronologiquement très en retard sur Louis XIV, Napoléon et Staline mais néanmoins en train de rafler la mise sur le plateau continental depuis sa réunification et la fondation maastrichtienne.
Utilisateur anonyme
30 novembre 2019, 13:08   Re : Photos
Il faut reconnaître que le concept d’Empire n’est pas facile à cerner..., compte tenu des
usages souvent contradictoires qui en ont été faits. Dans son dictionnaire, Littré se
contente d’une définition tautologique : un empire, écrit-il, est « un État gouverné par
un empereur ». C’est évidemment un peu bref.
Utilisateur anonyme
30 novembre 2019, 13:25   Re : Photos
A quoi peut servir aujourd’hui une réflexion sur la notion d’Empire ? Imaginer ou
appeler de ses vœux la renaissance d’un véritable empire, n’est-ce pas une pure
chimère ? Peut-être. Est-ce un hasard cependant si le modèle de l’empire romain n’a
cessé d’inspirer jusqu’à ce jour toutes les tentatives de dépassement de l’Etat-nation ?

Question : et si l'empire (pas le machin maastrichien évidemment) était la solution ?

L'empire austro-hongrois, pour ne citer que lui, a fonctionné avec une grande efficacité pendantplusieurs siècles, alors que l’addition des minorités formait la majorité de sa
population (60 % du total) et qu’il associait aussi bien des Italiens et des Roumains
que des Juifs, des Serbes, des Ruthènes, des Allemands, des Polonais, des
Tchèques, des Croates et des Hongrois...
Utilisateur anonyme
30 novembre 2019, 13:42   Re : Photos
Francis, je sais (enfin je crois me souvenir) que vous appréciez Alexandre Kojève. Remarquable est le texte qu’il écrivit en 1945, mais qui n’a été publié que récemment, dans lequel il appelait de ses vœux la formation d’un « empire latin » et posait la nécessité de l’Empire, comme alternative à l’État-nation et à l’universalisme abstrait. « Le libéralisme, écrivait-il, a tort de n’apercevoir aucune entité politique au-delà de celle des nations. Mais l’internationalisme pèche par le fait de ne voir rien de politiquement viable en deçà de l’humanité. Lui non plus n’a pas su
découvrir la réalité politique intermédiaire des empires, c’est-à-dire des unions, voire
des fusions internationales de nations apparentées, qui est précisément la réalité
politique du jour ».

01 décembre 2019, 10:32   Re : Photos
L'Union européenne fut une idée kojévienne, du Kojève de Hegel, comme il y eu un Hegel de Kojève, lorsque K. tenait son fameux séminaire à la Sorbonne.

Le problème de l'Empire continental européen tient moins au fait qu'il soit un empire (je parle de son avatar itératif) qu'au fait particulier qu'il se soit montré avec constance fauteur de chaos dans cet espace. Toute l'histoire de cet avatar depuis l'expédition de Charles VIII en Italie est marquée par des désastres. Les guerres, dans cet espace ne sont jamais le fait des nations mais des empires qui les y poussent et celles-là se sont invariablement soldées par des champs de ruines à perte de vue. Les plus épouvantables champs de ruines post-conflits (hormis ceux de Hiroshima et Nagasaki) qu'il ait été donné à l'humanité de contempler ont toujours été en Europe.

Ceux qui nous disent (les propagandistes maastrichtiens) que "les nations c'est la guerre", nous trompent, mentent devant l'histoire. En Europe, la guerre est toujours une volonté impériale. Seuls les empires veulent la guerre, souhaitée par ceux qu'habite l'ambition impérialiste. Cela n'est pas nécessairement le cas sur d'autres continents (Chine, Amérique latine et peut-être même Afrique) et de ce constat, on pourra tirer certaines conjectures.

L'empire Austro-Hongrois fut peut-être le plus va-t-en guerre de tous ceux qui participèrent à la Première guerre mondiale, il contribua généreusement à l'étalement des décombres de cette guerre, et finit par y périr lui-même.

La conjecture : que l'Europe est un continent géographiquement imparfait. Les façades maritimes y sont trop nombreuses, ce qui a eu pour effet de rendre la volonté impérialiste continentale, par exemple en France, pays qui compte deux de ces façades sur des mers distinctes (aux navigations orientées diversement), velléitaire, féroce et pourtant oscillante (cf. sa conversion lente et tardive à la thalassocratie au XIXe siècle). Le cas des puissances européennes très ouvertes sur la mer est éloquent : dès leur conversion précoce à la thalassocratie (extension impériale outre-mer) les voilà qui se désengagent des ambitions continentales : Espagne, Angleterre et Portugal, puis Provinces-Unies. On a dit par exemple de l'armée anglaise dans l'ouverture du premier conflit mondial qu'elle n'était rien d'autre qu'une grosse police coloniale, avec une puissance de feu inférieure à celle de l'armée belge.

Il n'y a pas, en Europe, hormis l'Allemagne, de puissance purement continentale qui eût pu établir un empire durablement. Il manquera toujours à l'appel de cette fondation la liste des puissances thalassocratiques qui en contestent le projet. C'est encore aujourd'hui le cas de l'Angleterre face au projet eurogermanique de l'UE.

L'Eurogermanie, l'Empire Mol, donc, fondé en 1992 (cinq centième anniversaire de la prise de Grenade) suite à la réunification de l'Allemagne et l'effondrement de l'Urss, prit pour première décision, dans les journées qui suivirent sa proclamation, de verser une lampée de kérosène sur le conflit yougoslave en poussant la Croatie à la sécession. Et c'est ce que l'Empire Mol n'a depuis cessé de faire : le conflit du Dombass sur son interface avec la Russie, a été le dernier en date à attester sa volonté de, comme l'aimant la limaille de fer, agréger tous morceaux de toute dislocation nationale à laquelle il aura conspiré. Même chose en Espagne avec la Catalogne.

Le grand jeu impérial en Europe ne convient pas ce continent, c'est la conclusion qu'il faut en tirer. Toute fondation impériale conduit les peuples réunis dans cet espace dans l'antichambre du désastre et favorise l'étalement de la Barbarie.

L'actuel avatar n'y fait pas exception. C'est aux décisions de ses maîtres que l'on doit les quotidiennes attaques au couteau gratuites, actes de barbarie s'il en est, et les assauts à la kalachnikov sur des innocents pacifiques. C'est à ce projet "d'Empire des droits de l'homme" (le ministre Bruno Le Maire) que l'on doit en Europe l'étalement de la pire barbarie dans l'espace public depuis le 3e Reich, voire bien avant -- à ce propos on retiendra que Paris ne fut jamais touchée par une tuerie de l'ampleur de celle du 13 novembre 2015 pendant les quatre années d'Occupation par les forces du 3e Reich (la plus grande exécution de masse pendant l'Occupation eut lieu au Mont Valérien, où les Allemands fusillèrent 69 otages le 15 décembre 1941). Le nombre des seules victimes du Bataclan dépasse celui-là. D'après mes recherches personnelles, peut-être trop sommaires, et dans ce cas je serai reconnaissant à quiconque me corrigera, il faut pour trouver tuerie d'ampleur équivalente dans la Capitale en temps de paix (ce qui exclut la Semaine sanglante, etc.) remonter à la Saint-Barthélémy.

Bien dire à quiconque avance l'élément de langage "les nations c'est la guerre", que l'on doit ce record dans l'horreur aux politiques migratoires de l'Empire Mol.
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter