Partout, il y a des agents de Pékin, des agents de Moscou, des agents de Washington, des agents du Mossad, et même de Pyong Yang, Justin "Le Merdeux" Trudeau (comme il y un Raphaël "Le merdeux" Glucksmann) lui, est agent de l'Union européenne sur le continent nord-américain. Ca paraît incroyable, carnavalesque, mais non, c'est bien ce qu'est Justin Trudeau : une rareté planétaire, un délégué général, mandataire autorisé, agent institué, de Bruxelles dans le pays où périrent à l'unisson Wolfe et Montcalm.

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Les apparences mondialistes trompeuses, les conjonctions historiques improbables ont été telles que, clone de Macron, aucun chef d'Etat canadien n'a fait davantage que Justin "Le Merdeux" Trudeau pour rapprocher son pays du nôtre depuis la fin de Montcalm. Ca ne va pas durer, ça aura duré un an ou deux, 18 mois si Macron s'efface au printemps. Profitons-on, prenons la chose en photo mentale : Justin et Emmanuel, glimmer twins du remplacisme planétaire auront fait plus qu'aucun pour fusionner symboliquement nos deux nations l'espace de deux ou trois saisons politiques.