Est-il attesté quelque part dans l'œuvre que Blanche-Henriette de Mortsauf avait une forte poitrine ? Car son effigie figurant sur la photo est à n'en pas douter une tétonnière, ce qui, si on se souvient du caractère de la bonne femme, étonne un peu... A noter du reste que la jeune Tourangelle à l'air béatement ravie qui pose lui ressemble elle-même comme deux gouttes d'eau (le modèle du statuaire ?), à la statue s'entend, ce qui rend toute l'affaire, Balzac compris, très sex, ce qui n'est pas plus mal...
(Ah oui, suis-je bête, après avoir relu l'article, c'est bien le modèle...)