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Ce qu'est le racisme et ce qu'il n'est pas

Envoyé par Daniel Teyssier 
CE QU'IL N'EST PAS

Commander un petit noir au café, déguster une Dame blanche au glacier, se régaler d'une tête de nègre ou de fondants cocos blancs.

Affirmer que le Sénégal est un pays de race noire et de culture musulmane ou que la France est un pays de race
blanche et de culture chrétienne.

Evoquer la surreprésentation des populations d'origine africaine dans les prisons françaises, les trafics illicites et les fraudes à la CAF, les agressions violentes à l'arme blanche, le harcèlement à l'école, les voitures brûlées à la Saint Sylvestre, les tapages nocturnes, les tournantes, l'échec scolaire et le manque de formation, la violence faite aux femmes et les fameux féminicides (même si, comme on le fait pour les poux à l'école, on ne manquera jamais de nous préciser que cela touche tous les milieux), le manque de souci écologique et de propreté urbaine, les caillassages de flics, pompiers et agressions envers médecins, infirmières, facteurs, chauffeurs de bus et de tout ce qui porte un uniforme représentant, pour eux, l'autorité des gaulois blancs.

De ce qui précède découle apodictiquement le contrôle au faciès. Ce dernier, fruit de statistiques têtues, est rendu inévitable, non pas, comme l'ânonnent paresseusement et avec gourmandise les Plenel et Mélenchon, par un racisme supposé de la Police, mais par ceux qui, par leur comportement délinquant hautement détestable, l'ont rendu (le contrôle au faciès) non seulement possible mais nécessaire au bon résultat d'une enquête. Bien entendu c'est agaçant pour tous ceux qui, bien que citoyens exemplaires, ont à subir ces contrôles, même si je pense que le nombre et la fréquence de ceux-ci soient très en dessous de ce qu'on en dit. Ces contrôles au faciès, faits d'ailleurs par une Police de plus en plus colorée, ne sont que le résultat du pragmatisme et de la rationalité. Tout comme quand un bailleur, suite à de mauvaises expériences subies avec des locataires peu scrupuleux, ne louera plus son bien à une personne appartenant à la même ethnie que ceux-ci.
Lors d'une enquête menée sur une attaque à main armée il est fortement rationnel et pragmatique de faire de la discrimination, c'est-à-dire d'orienter et cibler les contrôles vers des populations jeunes, masculines et bien connues des services de la Police plutôt que vers les foyers de troisième âge ou les culs-de-jatte.

La critique des religions et de l'islam en particulier. Inutile de disserter là-dessus tant c'est trivial.

Remarquons tout d'abord que ce sont les personnes les plus violentes, les plus délinquantes, les plus irrespectueuses des lois, qui dénoncent les violences policières et, plus globalement, un racisme systémique des institutions de la République. Ces personnes sont généreusement soutenues et relayées sans vergogne, dans la presse, par la Gauche progressiste, les islamo-gauchistes à la Mélenchon ou à la Besancenot, les rappeurs dégoulinant de haine contre tout ce qui a trait à la France, certains sportifs et artistes millardaires du showbiz. Pas un seul ne manque à l'appel.
Pourtant il paraît assez naturel que dès lors qu'on multiplie les actes délictueux et violents à l'encontre de la société, on s'expose nécessairement à plus de risques pour sa personne physique. Au vu de l'explosion des crimes et délits, dont les auteurs pointent souvent dans les mêmes populations ethniques, et de l'extrême fatigue et ras le bol des forces de l'ordre, il est presque fatal que surviennent des bavures ou des accidents lors d'interventions musclées à l'encontre de personnes particulièrement agressives.Encore une fois, en la circonstance, ce n'est qu'exceptionnellement qu'on a affaire à du racisme.
La violence policière, la seule légitime qui soit, est, tout simplement, la garante de notre pacte social et de notre démocratie.


CE QU'IL EST

La discrimination positive (affirmative action), supposée contrebalancer les inégalités consubstantielles à notre société blanche éminemment raciste, patriarcale et inégalitaire. A un racisme français grandement imaginaire (ce qui ne signifie nullement qu'il n'existe pas de racistes en France, mais c'est une banalité que de le dire tant est évident qu'aucun pays ni civilisation ne peuvent se targuer d'une virginité sans faille en ce domaine), on oppose donc un vrai racisme, s'affichant tel sans détour en voulant accorder des privilèges à des personnes au seul motif de leur couleur de peau. Or la vérité crève pourtant les yeux : si les africains, contrairement aux autres populations de ce pays, blancs et jaunes, réussissent moins bien dans le modèle méritocratique c'est uniquement parce qu'ils s'investissent rarement dans leur scolarité, que l'éducation reçue de leur famille n'y contribue pas et que, bien souvent, sont distillées, dès les premières années, la haine du pays d'accueil, des Juifs et parfois aussi de la Culture même, celle-ci supposée être celle des Blancs et s'opposant frontalement au Coran.

L'antisémitisme ouvertement et quotidiennement affiché dans les fameux quartiers sensibles.Cet antisémitisme, pourtant très voyant et s'exprimant sans fard, souvent avec violence physique, n'est presque jamais stigmatisé par nos Vigilants, qu'ils pointent au Monde ou à Libé, ni non plus par tous les militants déclarés de l'antiracisme. Quand on pense à tout le pataquès qu'ils ont organisé autour de la non-affaire Renaud Camus, on mesure toute l'ignominie et l'escroquerie de ces gens-là.

Les réunions réservées aux personnes joliment qualifiées de racisées.

L'antisémitisme, présent dans nombre de familles maghrébines, fait paravent à un autre racisme encore moins évoqué, celui par lequel les Noirs sont perçus comme des sous-hommes. Il existe très peu de couples noir/maghrébin. Même musulmane la personne noire se trouvera souvent rejetée des familles maghrébines. La traite négrière arabo-musulmane, particulièrement atroce et meurtrière, quoique très rarement évoquée par les Vigilants, et toujours à contre-cœur, témoigne de cette vision de la race noire.
Comme le notait le non islamophobe Malek Chebel, l'islam a cherché à atténuer les formes les plus pénibles de la servitude mais n'a jamais eu de doctrine franchement abolitionniste. Aujourd'hui, la question de l'esclavage se pose encore dans les pays musulmans sans susciter de débat public. Malek Chebel a visité 18 pays arabes ou musulmans et constaté la persistance d'une mentalité esclavagiste.

De plus en plus la haine du Blanc, surtout de tous ces petits Blancs, de leur histoire, leur religion, leurs coutumes, leurs musiques, en un mot de leur civilisation, de tout ce qui les ont fait. La haine du remplaçant pour le remplacé.
Qualifiés de white trash par un rappeur ou de souchien par un autre, ces petits Blancs ne trouveront pas d'oreille attentive auprès des militants antiracistes ni d'ailleurs non plus auprès des juges de leur pays.

L'endogamie pratiquée en masse chez les populations maghrébines mais aussi gitanes.La discrimination à l'encontre de tout ce qui n'est pas eux, le rejet de l'Autre !

En conclusion j'appelle de mes vœux des manifestations contre le racisme en France.
Utilisateur anonyme
05 juin 2020, 00:45   Re : Ce qu'est le racisme et ce qu'il n'est pas
Le racisme « cutané » n’est que le marqueur visuel ultime mettant en évidence les appartenances quoiqu’on fasse.


Ce n’est certes pas en quelques générations que la mentalité d’une population peut changer en profondeur et que de prédateur, de razzieur, l'on devient bâtisseur... Qu'en est-il chez eux de l’innovation ?, de l’organisation et des projections à plus ou moins long terme ?...
Non, ce qu'ils préfèrent ce sont les « gâteaux » fabriqués par les autres. Ce qu’ils ne produisent pas ils vont le chercher ailleurs, là où il y a encore des Blancs industrieux.
Voilà un beau et clair résumé de notre situation, cher Daniel Teyssier !
Utilisateur anonyme
06 juin 2020, 14:45   Re : Ce qu'est le racisme et ce qu'il n'est pas
Floyd aux États-Unis, Adama ici...


...ainsi va l'Occident, couché devant les racailles pour lesquelles les idiots utiles vont manifester quel que soit leur pédigrée, sans jamais se poser la moindre question sur leurs actions souvent entachées d'une violence qui, elle, n'est pas policière. Mais qu'importe. Aux yeux des belles âmes, genoux pliés et poings levés, cette violence des divers est toujours justifiée. C'est à ça qu'on reconnaît une civilisation déboussolée, et qui est bien partie pour se suicider...

Une londonienne blanche (très blanche, comme seules des Anglaises savent l'être), une certaine Helen Leathem, visiblement profondément atteinte du syndrome de dérangement oïkophobe et de la haine de soi, a publié sur Twitter la photo de sa petite fille agenouillée, tenant dans ses mains un morceau de carton avec le texte "Privileged #Black Lives Matter".
[www.dreuz.info]

Cela s'appelle, je crois bien, l'abus d'autorité sur un mineur..., transformé ici en un vulgaire objet servant à promulguer les fantasmes idéologiques d'un adulte.
Lorsqu'on regarde attentivement la photo on serait tenté de recommander à cette mère si éprise de "justice" de s'occuper d'avantage de la propreté des chaussettes de sa fille, et de son appartement plus généralement.

Et pendant ce temps-là, deux Noirs, David Dorn et Patrick Underwood, ont été tués aux États-Unis par les fascistes de gauche déchaînés qui mettent le pays à feu et à sang.
"Black Lives Matter" ? Sans blague ?
Dans ces vidéos montrant la strangulation de Floyd, et dans le regard du policier absolument sûr de son bon droit, il m'avait semblé qu'il y avait incontestablement comme une reconstitution d'une scène classique de l'imagerie d'Epinal de l'esclavagisme américain : le contremaître corrigeant un boy qui avait fauté, surtout pour l'exemple, éventuellement jusqu'à ce que mort s'ensuive, peu importait après tout.
Ce doit être ainsi du moins que l’ont ressenti nombre de Noirs américains, dans l’inconscient collectif desquels l’esclavage demeure très probablement une plaie se ravivant au moindre prétexte, à tort ou à raison : en l’occurrence, ce garrot de rappel improvisé n’était pas tout à fait fantasmatique, et les réactions qu’il a enclenchées apparaissent somme toute naturelles, étant donné le climat actuel et l’impressionnante subtilité de l’actuel président…
Utilisateur anonyme
06 juin 2020, 21:35   Re : Ce qu'est le racisme et ce qu'il n'est pas
Ce doit être ainsi du moins que l’ont ressenti nombre de Noirs américains, dans l’inconscient collectif desquels l’esclavage demeure très probablement une plaie se ravivant au moindre prétexte

////

Question : quand cette plaie cessera-t-elle de se raviver ? Pour le dire autrement : quand cesseront-ils de nous emmerder (avec leurs histoires de races...) ?
Associer dans un même slogan — contre le racisme et les violences policières — racisme et violences policières est déjà en soi une véritable infamie et un non sens total. On est au niveau du slogan publicitaire, du prêt-à-ne-pas-penser. C'est scandaleux car c'est supposer, a priori, comme allant de soi, que toutes violences policières seraient indélébilement marquées sous le sceau du racisme, comme une évidence qu'il n'y a pas lieu de discuter.
Encore une fois on ne répétera jamais assez que, d'une part, les violences policières ne sont que l'expression péjorative donnée à l'adage républicain Force doit rester à la Loi et que donc, celles-ci, sont les garantes de la paix civile et de l'ordre républicain, et que, d'autre part, tous ceux qui vivent de la délinquance et du crime ont bien compris combien les policiers sont les derniers remparts s'opposant encore un peu à leurs activités illégales.
Honte à tous les politiques qui, par basses considérations électoralistes, joignent leurs voix à cette infamie.
A quand un sursaut républicain et, comme en 68, un défilé dénonçant cette escroquerie intellectuelle et appelant au soutien de notre Police. Mais y-a-t-il encore, de nos jours, des politiques assez couillus pour ça ?
Utilisateur anonyme
07 juin 2020, 09:46   Re : Ce qu'est le racisme et ce qu'il n'est pas
"Les frustrés transforment le combat des déshérités en une injustice de la vie.
Ils apportent dans ces mouvements un peu de raison et des raisons de combattre. Les frustrés qui ne sont pas de véritables déshérités (ils sont souvent écrivaillons , journalistes, enseignants, techniciens) communient dans une jalousie commune et maladivement ils cherchent à réparer ce qu'ils considèrent comme une injustice de la vie ."
"Ils vont diriger le combat des déshérités et transformer le combat des déshérités en une lutte pour de nouvelles dominations. Ils vont vouloir écraser les imposteurs qui ont pris la place qui leur est due en raison du mérite qu'ils s'attribuent."
"Comment le totalitarisme séduit-il à la fois ceux que j'appelle les frustrés et les déshérités ? Il permet d'expliquer les difficultés de la vie sans en donner la responsabilité aux individus eux mêmes. Il promet une revanche à ceux qui vivent un échec. Il joue sur le sentiment de culpabilité (qui est différent de la responsabilité) car il est différent de reconnaître qu'on s'est mal conduit en ne suivant pas les préceptes extérieurs à soi-même plutôt que d'examiner avec sa raison critique l'ensemble complexe des causes qui ont provoqué la situation d'échec. "
"Le totalitarisme promet le salut, si on suit les commandements qu'il préconise. Il exclut la part de hasard dans la vie individuelle et collective. Dans un sens, il apporte un sentiment de sécurité intérieure en faisant croire qu'il existe une solution parfaite ; un comportement parfait pour assurer le bonheur dans cette vie et même dans l'au-delà. Il donne du grain à moudre à l'appétit de pouvoir et à la soif de combattre. Il donne du sens et unit contre un ennemi commun qui est diabolisé qui devient le mal incarné. Ou Dans l'île de Crète, les villageois brûlent le jour de Pâques un immense mannequin représentant Judas, le traître, le maudit. Ce feu de joie délivre l'âme inquiète et affolée par les changements du monde et donne l'assurance que l'avenir peut être bénéfique et même radieux. Cette alliance des frustrés et des déshérités prépare des conflits futurs qui n'opposeront pas seulement des cultures et des civilisations mais à l'intérieur même des sociétés, en OCCIDENT comme en ORIENT, des groupes humains séparés par leurs conceptions culturelles , religieuses, par leurs conditions sociales ou ethniques, dont certains se considèrent comme des victimes de complots fomentés par des ennemis tous puissants et maléfiques."
Charles Rojzman

Pour tout dire : les manifestations de traorétisants en train de racialiser les questions personnelles (en unissant un cas individuel monté en épingle vidéo aux émeutes des Etats Unis) sont en train de nous imposer le futur conflit racialisé de notre avenir.
Tous les ingrédients sont là pour la guerre de domination nouvelle de la couleur contre le blanc.
L'état profond laisse monter la mayonnaise.
Utilisateur anonyme
07 juin 2020, 11:46   Re : Ce qu'est le racisme et ce qu'il n'est pas
D.Teyssier@

Vous en appelez à un sursaut républicain... ? Vraiment ?
Est-ce bien la solution quand on voit l'état de notre pays, fidèle (trop) à ces fameuses "valeurs républicaines" ? Des "valeurs" tellement abstraites, tellement usées, qu'elles ne feront plus jamais se lever personne.
Non, il faut trouver autre chose : un sursaut
viril, patriotique, national, culturel, identitaire... Mais je rêve.
Utilisateur anonyme
07 juin 2020, 14:15   Re : Ce qu'est le racisme et ce qu'il n'est pas
A Albi, manif contre le racisme etc. Que des "petits blancs" !?

[france3-regions.francetvinfo.fr]
Tout dépend de ce que vous entendez ou n'entendez pas sous l'adjectif de républicain.
Citation
Pascal Mavrakis
Ce doit être ainsi du moins que l’ont ressenti nombre de Noirs américains, dans l’inconscient collectif desquels l’esclavage demeure très probablement une plaie se ravivant au moindre prétexte

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Question : quand cette plaie cessera-t-elle de se raviver ? Pour le dire autrement : quand cesseront-ils de nous emmerder (avec leurs histoires de races...) ?

Pas de sitôt, c'est à croire : au moins a-t-on fait aux Juifs l'honneur de les vouloir tous tuer, ce qui est un grand effort, signe qu’on leur attribuait une dangerosité et une nocivité dignes d'un ennemi à abattre à tout prix, voire qu'on les considérait comme des rivaux.
Mais les Noirs ? Des bêtes, braves même, mais des esclaves, bons à n'être que des bêtes de somme, et dont les caractéristiques foncièrement inférieures étaient à jamais inscrites dans leur apparence physique : affront immarcescible !
Utilisateur anonyme
08 juin 2020, 18:16   Re : Ce qu'est le racisme et ce qu'il n'est pas
Mais les Noirs ? Des bêtes, braves mêmes, mais des esclaves, bons à n'être que des bêtes de somme, et dont les caractéristiques foncièrement inférieures étaient à jamais inscrites dans leur apparence physique : affront immarcescible !

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Ah bon ? J'ai plutôt la nette impression, en regardant certains clips de rap, qu'ils sont sacrément fiers de leurs "caractéristiques"... foncièrement inférieures supérieures selon eux. Des caractéristiques qui seraient à jamais inscrites dans leur apparence physique (pour le plus grand bonheur de la gente féminine...).
Plus grande est la fierté maintenant, plus cuisant l'affront, voyons... de n’avoir été considérés par essence que comme des ânes bâtés ; tout bien montés que soient les ânes.
La fierté devrait imposer d'abord à ces Africains de ne pas offrir en spectacle leur fuite, ou plutôt leur sauve-qui-peut, à l'ancien colonisateur en se réfugiant , de surcroît, chez lui.
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