CE QU'IL N'EST PAS
Commander un
petit noir au café, déguster une
Dame blanche au glacier, se régaler d'une
tête de nègre ou de fondants
cocos blancs.
Affirmer que le Sénégal est un pays de race noire et de culture musulmane ou que la France est un pays de race
blanche et de culture chrétienne.
Evoquer la surreprésentation des populations d'origine africaine dans les prisons françaises, les trafics illicites et les fraudes à la CAF, les agressions violentes à l'arme blanche, le harcèlement à l'école, les voitures brûlées à la Saint Sylvestre, les tapages nocturnes, les
tournantes, l'échec scolaire et le manque de formation, la violence faite aux femmes et les fameux
féminicides (même si, comme on le fait pour les poux à l'école, on ne manquera jamais de nous préciser que cela touche tous les milieux), le manque de souci écologique et de propreté urbaine, les caillassages de flics, pompiers et agressions envers médecins, infirmières, facteurs, chauffeurs de bus et de tout ce qui porte un uniforme représentant, pour eux, l'autorité des gaulois blancs.
De ce qui précède découle apodictiquement le contrôle au faciès. Ce dernier, fruit de statistiques têtues, est rendu inévitable, non pas, comme l'ânonnent paresseusement et avec gourmandise les Plenel et Mélenchon, par un racisme supposé de la Police, mais par ceux qui, par leur comportement délinquant hautement détestable, l'ont rendu (le contrôle au faciès) non seulement possible mais nécessaire au bon résultat d'une enquête. Bien entendu c'est agaçant pour tous ceux qui, bien que citoyens exemplaires, ont à subir ces contrôles, même si je pense que le nombre et la fréquence de ceux-ci soient très en dessous de ce qu'on en dit. Ces contrôles au faciès, faits d'ailleurs par une Police de plus en plus
colorée, ne sont que le résultat du pragmatisme et de la rationalité. Tout comme quand un bailleur, suite à de mauvaises expériences subies avec des locataires peu scrupuleux, ne louera plus son bien à une personne appartenant à la même ethnie que ceux-ci.
Lors d'une enquête menée sur une attaque à main armée il est fortement rationnel et pragmatique de faire de la discrimination, c'est-à-dire d'orienter et cibler les contrôles vers des populations jeunes, masculines et
bien connues des services de la Police plutôt que vers les foyers de troisième âge ou les culs-de-jatte.
La critique des religions et de l'islam en particulier. Inutile de disserter là-dessus tant c'est trivial.
Remarquons tout d'abord que ce sont les personnes les plus violentes, les plus délinquantes, les plus irrespectueuses des lois, qui dénoncent les violences policières et, plus globalement, un racisme systémique des institutions de la République. Ces personnes sont généreusement soutenues et relayées sans vergogne, dans la presse, par la Gauche
progressiste, les islamo-gauchistes à la Mélenchon ou à la Besancenot, les rappeurs dégoulinant de haine contre tout ce qui a trait à la France, certains sportifs et artistes millardaires du
showbiz. Pas un seul ne manque à l'appel.
Pourtant il paraît assez naturel que dès lors qu'on multiplie les actes délictueux et violents à l'encontre de la société, on s'expose nécessairement à plus de risques pour sa personne physique. Au vu de l'explosion des crimes et délits, dont les auteurs pointent souvent dans les mêmes populations ethniques, et de l'extrême fatigue et ras le bol des forces de l'ordre, il est presque fatal que surviennent des bavures ou des accidents lors d'interventions musclées à l'encontre de personnes particulièrement agressives.Encore une fois, en la circonstance, ce n'est qu'exceptionnellement qu'on a affaire à du racisme.
La violence policière, la seule légitime qui soit, est, tout simplement, la garante de notre pacte social et de notre démocratie.
CE QU'IL EST
La discrimination positive (affirmative action), supposée contrebalancer les inégalités consubstantielles à notre société
blanche éminemment raciste, patriarcale et inégalitaire. A un racisme français grandement imaginaire (ce qui ne signifie nullement qu'il n'existe pas de racistes en France, mais c'est une banalité que de le dire tant est évident qu'aucun pays ni civilisation ne peuvent se targuer d'une virginité sans faille en ce domaine), on oppose donc un vrai racisme, s'affichant tel sans détour en voulant accorder des privilèges à des personnes au seul motif de leur couleur de peau. Or la vérité crève pourtant les yeux : si les
africains, contrairement aux autres populations de ce pays, blancs et jaunes, réussissent moins bien dans le modèle méritocratique c'est uniquement parce qu'ils s'investissent rarement dans leur scolarité, que l'éducation reçue de leur famille n'y contribue pas et que, bien souvent, sont distillées, dès les premières années, la haine du pays d'accueil, des Juifs et parfois aussi de la Culture même, celle-ci supposée être celle des Blancs et s'opposant frontalement au Coran.
L'antisémitisme ouvertement et quotidiennement affiché dans les fameux
quartiers sensibles.Cet antisémitisme, pourtant très voyant et s'exprimant sans fard, souvent avec violence physique, n'est presque jamais stigmatisé par nos
Vigilants, qu'ils pointent au Monde ou à Libé, ni non plus par tous les militants déclarés de l'antiracisme. Quand on pense à tout le pataquès qu'ils ont organisé autour de
la non-affaire Renaud Camus, on mesure toute l'ignominie et l'escroquerie de ces gens-là.
Les réunions réservées aux personnes joliment qualifiées de
racisées.
L'antisémitisme, présent dans nombre de familles maghrébines, fait paravent à un autre racisme encore moins évoqué, celui par lequel les Noirs sont perçus comme des sous-hommes. Il existe très peu de couples noir/maghrébin. Même musulmane la personne noire se trouvera souvent rejetée des familles maghrébines. La traite négrière arabo-musulmane, particulièrement atroce et meurtrière, quoique très rarement évoquée par les
Vigilants, et toujours à contre-cœur, témoigne de cette vision de la race noire.
Comme le notait le non islamophobe Malek Chebel, l'islam a cherché à atténuer les formes les plus pénibles de la servitude mais n'a jamais eu de doctrine franchement abolitionniste. Aujourd'hui, la question de l'esclavage se pose encore dans les pays musulmans sans susciter de débat public. Malek Chebel a visité 18 pays arabes ou musulmans et constaté la persistance d'une mentalité esclavagiste.
De plus en plus la haine du Blanc, surtout de tous ces
petits Blancs, de leur histoire, leur religion, leurs coutumes, leurs musiques, en un mot de leur civilisation, de tout ce qui les ont fait. La haine du remplaçant pour le remplacé.
Qualifiés de
white trash par un rappeur ou de
souchien par un autre, ces
petits Blancs ne trouveront pas d'oreille attentive auprès des militants antiracistes ni d'ailleurs non plus auprès des juges de leur pays.
L'endogamie pratiquée en masse chez les populations maghrébines mais aussi gitanes.La discrimination à l'encontre de tout ce qui n'est pas eux, le rejet de l'Autre !
En conclusion j'appelle de mes vœux des manifestations contre le racisme en France.