Et voilà que se pose de nouveau la question de la causalité, qui, en médecine, est un casse-tête comme dans nulle autre science.
En France, à l'heure où nous écrivons ceci, les témoignages abondent, chez le personnel hospitalier, de cas de décès par leucémie, par exemple, de personnes dans l'organisme de qui l'on a trouvé des "traces" (fragments d'ARN, je suppose) du covid. Or toutes ces morts s'en vont gonfler, en France spécifiquement, les statistiques nationales du covid.
On meurt "avec" le covid, mais pas
du covid. Il faut gonfler les chiffres d'une mono-causalité imaginaire, parce que cela sert des intérêts multiples, y compris bien sûr des intérêts pharmaceutiques.
Dans un monde
sans extérieur (le monde selon Bill Gates, qui est le sien au sens propriétaire du terme) un univers matriciel, total, fermé, ("il ne peut y avoir d'autres chefs que les nôtres", voir supra) l'industrie pharmaceutique, à l'image de celle des plateformes informatiques (les virus informatiques, j'y reviendrai) ou de la simple quincaillerie (les imprimantes HP, par exemple), les maîtres de ce monde,
créent un problème et nous vendent la solution, ils réalisent ainsi la circularité de l'économie dont ils nous vantent les mérites dans les colonnes des journaux (le philosophe Luc Ferry récemment encore dans le Figaro).
Ce virus a été créé par l'ingénierie biologique, c'est le problème, créé de toutes pièces, et la même ingénierie prépare la vente de la solution, unique, incontournable et absolue: le vaccin. Les mêmes mains, pour ainsi dire, qui ont commis le crime, ou la faute,
oeuvrent à nous vendre, au prix fort, la gomme à effacer leur faute.
Ce "modèle" a été inventé, en gros, en même temps, et par les mêmes créateurs, que celui, désormais souverain, de la micro-informatique et de l'ordinateur personnel, il y a 30 ou 40 ans, c'est ainsi que le "virus informatique", fabriqué par les entreprises commercialisant des anti-virus, appelle une solution que les auteurs de ces virus vous commercialisent généreusement par abonnement. Tel est le modèle de l'industrie de la totalité (ils disent "holistique"). Je vous invite à remarquer au passage que le modèle du racket/protection n'est pas différent: le racketteur se présente comme LA solution aux malheurs qui vous guettent et dont il est l'ingénieur.
Ce vénérable rabbin de 93 ans s'en est sorti et son exemple relance l'éternelle question, parfaitement métaphysique, de de la causalité pure dans l'univers organique.
Dans ce débat, ce monsieur ressemble à Winston Churchill dans le débat sur le tabac: Churchill, qui a fini nonagénaire, fumait comme un pompier, et représentait la preuve incarnée que si le tabac peut gravement nuire et endommager la santé, on ne peut dire qu'il tue, comme tuent le virus du sida ou les agents pathogènes de la peste noire ou du cancer du pancréas
Le covid peut vous ruiner la santé et il faut s'en protéger, et je suis du nombre de ceux qui s'en protègent comme ils peuvent, mais les mesures gouvernementales de contrainte et de confinement ne sont pas des mesures sanitaires: elles font partie d'un plan politique aux ramifications industrielles longues et tortueuses. Voilà mon propos résumé.
Messieurs, retenez bien ceci : il n'y a pas eu, depuis le déclenchement de la pandémie, de confinement à Hong Kong (pourtant très proche de l'épicentre), non plus qu'au Japon, et pas davantage à TaIwan. Or le bilan de mortalité dans ces pays est très inférieur au nôtre.