Me souviens vaguement d'un film de Kubrik, quand le dernier singe de la bande, qui n' a pas encore participé au lynchage, vient "contribuer" en portant un coup, le sien, avant de s'enfuir...
Derrière cette violence raciste la certitude que ces salauds ne guériront jamais, ne paieront jamais, sont déjà irrécupérables, inféodés aux lois d'un groupe, d'un cacique, n'en déplaise à tous les socio-psycho-sémiologues qui verront derrière cette nouvelle agression probablement "gratuite" le désespoir des cités.
Derrière ces images, la lâcheté complice des médias dans le choix des "sujets"... Mais bon, il se trouvera bien un guignol pour nous dire que ce qui est le plus à craindre, c'est une "récupération de l'extrême droite".