Alexandra Henrion-Caude magistrale face à un médecin qui veut imposer le vaccin à tout le monde

Un dernier mot sur Sun Tzi: son traité date d'une époque (très antérieure à l'Empire chinois) où aucune principauté n'était archi-dominante, et se situe dans la chronologie à la veille ce que l'historiographie désigne comme époque des Royaumes combattants. Dans cette phase historique, rien n'est joué, aucune destinée n'est tracée d'avance; l'incertitude sur l'issue ultime des combats est totale. Epoque passionnante où le calcul, dans l'art de la guerre, est décisif de par le fait même qu'aucune force militaire n'est assurée d'un poids suffisant pour établir sa domination.

Dieu est du côté des gros bataillons disait Napoléon devenu empereur. Mais quand le poids de tous les bataillons protagonistes est quasi égal ? Il ne reste plus alors qu'à se vouer au calcul stratégique, qui peut aller, si l'art est poussé à son comble, jusqu'à donner la victoire dans une économie totale de ses forces, soit sans livrer bataille. C'est, en gros, ce à quoi parvinrent Mao et ses hommes.

Citation
Francis Marche
Un prix Nobel de médecine (le Prof. Omura, prix Nobel 2015) s'exprime sur le sujet.

Une synthèse des travaux de son équipe, un pdf de 52 pages, quand même, paru ce dimanche dans le Journal of Japanese Antibiotics est accessible ici:
[pgibertie.files.wordpress.com]

Le texte est dense mais couché dans un anglais d'excellente tenue, ce qui n'est pas si courant ces temps-ci dans le monde des publications scientifiques.

Et semble bien enfoncer le clou: l'ivermectine peut mettre fin à l'épidémie de covid (sa létalité).

Se rendre directement au tableau de la page 70 pour un condensé des résultats des études cliniques.

Ici, c'est du sérieux. Le Prof Omura n'est pas un rigolo pour plateaux télé des chaînes câblées.

Bonne lecture.

La fiche du Prof Omura sur le site du prix Nobel:

[www.nobelprize.org]

Le Portugal en a prescrit à la pelle, résultat fin de la flambée et réouverture des lieux de culture. En Suède, où la vie n'a jamais cessé d'être normale : 0 décès aujourd'hui et une moyenne de 14 morts au cours des 7 derniers jours. Silence radio sur ces deux pays pourtant emblématiques au milieu de cette orgie de débats télévisés sur la "pandémie" [qui a très largement épargné la moitié de la population mondiale (Afrique + Asie)]. Au Chili et aux États-Unis, pays où l'on a vacciné massivement, les contaminations repartent à la hausse.

Bien évidemment, l'explication de feignasses culpabilisantes n'a pas tardé pour expliquer ces reprises épidémiques : c'est le relâchement, pardi ! Problème, aux États-Unis ce n'est pas en Floride ou au Texas, où les mesures barrière ont été levées, que ça repart. Plus généralement, les gestes barrière, l'immunité naturelle et celle conférée par les millions de vaccinations ne suffisent donc toujours pas, pour durablement et véritablement, mettre un coup d'arrêt à la circulation du virus partout il a beaucoup sévi ? (La Rolls Royce de Pfizer immunise pendant 6 mois -- sa mère ! comme on dit à Marseille.)