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Rassemblement des Patriotes à Nîmes

Envoyé par Francis Marche 
C’est par hasard que, traversant la grande esplanade centrale de ma ville, je tombe sur un rassemblement des Patriotes, le groupe de Philippot. Déclaration au porte-voix « au peuple de Nîmes » (quarante personnes à peine) sur la vaccination anti-covid appliquée aux enfants, et en passe de devenir obligatoire, sous l’impulsion des politiques (responsables nationaux et européens). Appels à la liberté, appels à se lever. Voix masculine puissante, tonnante.

Les arguments avancés dernièrement par le Prof Montagnier (voir cette vidéo

[twitter.com]

devraient pourtant peser lourdement dans ce dossier : « les vaccinés souffriront de ce vaccin », selon le prix Nobel, qui fait état de constituants de prions dans les formules à ARNm injectées dans les corps. Mais les Patriotes, qui mettent en garde contre l’hybris vaccinatoire des politiques, ne rencontrent aucun écho (au bout d’une demi-heure, nous ne sommes plus qu’une quinzaine autour d’eux sur l’Esplanade). Les arguments scientifiques de Montagnier, les harangues viriles des Patriotes contre l’irrationnalité des campagnes de vaccination actuelles et de la « dictature sanitaire » roulent dans la poussière de l’Esplanade comme des gouttes de pluies sur les ailes des pigeons de la même Esplanade par temps orageux.

L’homme est un animal doué de raison mais dont le comportement est irrationnel. En Occident, le rapport est linéaire : plus l’esprit raisonne, fait démonstration de sa raison, plus les comportements politiques (au plan collectif comme au plan individuel – la politique de soi, la gestion de son corps dans le corps social et auprès d’autrui) sont déraisonnables.

Rentrant chez moi, j’assiste à un micro-accident de la route : deux conductrices froissent des tôles à un rond-point. Elles se précipitent hors de leurs véhicules respectifs, et aussitôt ce sont des bras qui s’agitent comme des pales d’éolienne, des yeux exorbités, des bouches écumantes (elles sont toutes deux blanches, la plus jeune est accompagnée d’un enfant).

Le code de la route français est un chef-d’œuvre de rationalité, cela dit sans la moindre ironie. Comme l’est le Code civil. Mais plus ces codes sont efficaces et raisonnés, plus les comportements des individus qui consentent à s’y plier (ou qui au moins n’en contestent pas la valeur de rationalité) sont sauvages.

C’est cette équation qui fait la damnation de l’espèce homo sapiens en Occident: ses codes, ses lois ne lui ont pourtant été dictés par l’Etre suprême – ce sont bien des hommes et des femmes, pas des surhommes ou des demi-dieux, ni, comme pour le Coran, Dieu lui-même qui les ont élaborés, alors comment cette espèce admirable tolère-t-elle si communément la prise en main de ses comportements par le cerveau reptilien ?

Dans le cas des Mahométans, cette contradiction semble s’exacerber (on pourrait dire qu’elle s'exhalte, devient pure comme le diamant) car c’est, pour le coup, le Tout-Puissant soi-même qui leur a dicté la Loi, cependant que les abîmes d’irrationnalité dans lesquels plonge un si grand nombre d’entre eux sont sans commune mesure avec les nôtres (ceux d’aujourd’hui).

On pourrait vouloir simplifier la question en décrétant que, après tout, les lois, les codes, les normes, la pensée rationnelle sont l’apanage d’une caste supérieure d’humains, la fameuse « élite » et que tous les autres citoyens doivent être considérés comme du bétail dont il convient de canaliser les comportements, tâche qui incombe à l’élite éditrice des lois et codes. Mais c’est une option non viable au regard de plusieurs considérations : la séduction qu’exerce l’irrationnel est irrésistible sur les hommes et les femmes doués de raison. Lisant ces jours-ci le premier volume de l’Histoire de la Seconde guerre mondiale par Winston Churchill, je note que, en 1936, les généraux d’Hitler freinaient le Führer des quatre fers (allitération non comprise dans l’original) au moment où ce dernier tenait à provoquer les démocraties honnies (réarmement forcené, réoccupation de la rive gauche du Rhin, etc.). Ces généraux allemands étaient des êtres de raison qui ont fini par se laisser séduire par la folie du patron de l’Etat allemand. Mais ce n’est qu’un exemple parmi des millions d’autres.

L’autre considération est que le bétail humain est fortement majoritaire par rapport à l’élite, et, ce qui est plus préoccupant encore, il n’est pas composé d’animaux, mais d’animaux irrationnels, mus par des forces d’auto-destruction et de volatils désirs aux prolongements apocalyptiques. Il n’est pas manoeuvrable par la raison, mais il l’est par les chefs démagogues dont il se dote à l’occasion. L’élite éditrice de codes frigides, à supposer qu’elle puisse se constituer et se poser comme telle face à lui, ne possède pas le magnétisme bouillonnant du démagogue (Macron est une sorte de magnétiseur politique, d'où, du reste sa précieuse utilité au service de l'élite davocratique).

L’élite qui aime à se poser telle (Jacques Attali, François Hollande et les clubs de pensée qu’ils représentent) est faible parce qu’elle est incapable d’irrationalité positive (ou, si l'on préfère, d'anti-irrationnalité, comme il y a, en mathématique, l'anti-symétrie).

Elle concocte des « solutions rationnelles » à ce qu’elle se figure être des problématiques nouvelles nées de l’évolution du corps social et appuie les tendances de cette évolution qui creuseront l’écart entre elle et le bétail humain dont il faut contenir les embardées. C’est ainsi qu’elle promeut « le revenu universel » (justifié selon elle par la digitisation et la robotisation des tâches industrielles qui priveront d’emploi des pans entiers du corps social).

Ce « revenu universel » (qui ne va pas sans son grand frère « économie circulaire ») comporte des implications pour la dignité humaine du civilisé que, semble-t-il, peu de monde perçoivent : d’abord, si chacun, dès l’enfance, se sait assuré d’une rente qui le dispensera de se forcer à quelque apprentissage que ce soit (« apprendre un métier » comme on disait au siècle dernier), à quelle fin, somme toute, apprendre à lire et à écrire puisque le vivre est garanti (avec le toit grâce aux diverses lois en ce sens). Pourquoi se fatiguer à se civiliser ? Autant s’assumer légume, s’en contenter, et accompagner ce contentement d’un doigt d’honneur à la société, vivre en Zadiste toute sa vie et basta !

Mais hélas, cette issue, lamentable quoique de formule pacifique, se complique et se gonfle de conséquences retorses car, ayant délaissé l’éducation, le citoyen moyen n’en délaisse pas pour autant ses désirs et ses envies, lesquelles il satisfera comment si sa carence éducative fondamentale, son défaut d’instruction et de formation, nourris par le dit « revenu universel », ne lui permettent pas d’œuvrer économiquement à les satisfaire ? Il y a là un nœud coulant, un étranglement entre ses faibles capacités, son inculture foncière, la négligence de tout effort et l’inappétence générale pour la discipline d’un apprentissage ou la contrainte d’une occupation rémunérée, et le brûlant désir d’en être, de briller, de posséder des biens, de se faire valoir auprès du sexe convoité et d'en être désiré. Cette contradiction admet un dénouement, pour ainsi dire, naturel : la délinquance et le crime, seules voies qui s'ouvrent à l’heureux bénéficiaire du revenu universel s'il veut « flamber » en s’élevant au-dessus du statut de légume subventionné.

Cela, l’élite qui « pense le futur » ne le peut penser parce qu’elle n’intègre pas l’irrationnalité du désir d’être, que n’habite pas le chou-fleur au revenu universel. Le bétail humain est infernal, précisément parce qu’il n’est pas un pur et simple bétail.

Allez donc expliquer cela à Jacques Attali. Il ne comprendra pas. Clignera des yeux, et marmottera quelques « éléments de langage », toujours les mêmes, qu’il marmotte depuis 1981, qui diront toute la rationalité négative des visions du futur qu’il se fait fort d’échafauder.

L’irrationalité positive reste à inventer.
30 mai 2021, 14:24   L'effort impossible
Le seul vrai effort qu'on se refuse obstinément à faire, c'est de rendre l'oisiveté habitable. On trouvera plus simple de rendre respirable l'atmosphère de Mars afin d'y transporter le besoin de taf quitte, pour cela, à se débarrasser des "encombrants" après les avoir anesthésiés à un "revenu universel" sans objet.
» Le seul vrai effort qu'on se refuse obstinément à faire, c'est de rendre l'oisiveté habitable

Non non non : vous les voyez, les masses aux cerveaux de plus en plus reptiliens, en perpétuelles vacances, en villégiateurs abonnés, vous les entendez, vous les souffrirez, tout autour de vous, tout le temps ?
Si vous "rendez l'oisiveté habitable", c'est simple, c'est imparable, vous allez la saloper irrémédiablement, pauvre de vous !
30 mai 2021, 18:55   Mort aux vaches
Au fait, les prions maintenant ! Comme l'humanité s'achemine sûrement vers les 2 000 000 000, deux milliards ! de vaccinés, l'on se dit que ça va vraiment tourner à la folie, cette histoire...
Gardons néanmoins un esprit critique en comparant les points de vue, si possible : factchecking
Rendre "l'oisiveté habitable", noble ambition.

Mais cette habitabilité suppose une clé, et il n'en est aucune qui ne soit culturelle, civilisée.

Or se cultiver, s'éduquer, s'élever, se détacher du mode d'existence reptilien ou bétailler ne va pas sans effort. Mais l'effort requis pour briser le donné naturel comme l'insecte sa chrysalide n'admet aucune motivation intrinsèque. N'y étant point contraint, ou conduit par l'obligation des circonstances s'il ne veut l'être par aucun maître, l'individu ne trouvera en lui aucunes ressources non plus que l'élan requis pour aller à l'encontre du donné, se faire autre, ou simplement se rendre civilisé.

S'instaure alors un cercle vicieux: le donné conforte le donné; la pitance et le toit, s'ils sont des dons, consacrent la condition par défaut, le donné natif et brut, de leur bénéficiaire, et c'est privé du ressort nécessaire à un remodelage de soi qui transcenderait son état naturel primaire que l'oisif inquiète, intrigue et convoite ce qu'il ne peut négocier par le fruit d'efforts consentis; il devient alors naturellement nocent et finalement capable, puis coupable de voies de faits perturbatrices de la paix et de l'ordre comme l'est toute délinquance.

Si les Romains pensaient que l'oisiveté est mère de tous les vices, c'est sans doute parce qu'à sa racine, il y a l'inculture, la non-romanité.

Au fond, la quiétude du non-civilisé ou du Barbare est impossible. Elle l'était, et l'est encore, par la spiritualité et la religion pacifiques, mais dans un monde où toutes ne le sont pas, et où celles-ci sont en passe de devenir dominantes, l'oiseveté rémunérée est appelée à instaurer l'enfer sur terre.
Citation
Alain Eytan
Au fait, les prions maintenant ! Comme l'humanité s'achemine sûrement vers les 2 000 000 000, deux milliards ! de vaccinés, l'on se dit que ça va vraiment tourner à la folie, cette histoire...
Gardons néanmoins un esprit critique en comparant les points de vue, si possible : factchecking

Les moues de Julie et Natalia, en fin d'article, ne laissent aucun doute sur le sérieux de ce qu'elles rapportent, l'AFP étant depuis fort longtemps un modèle de rigueur et d'objectivité... Mais déjà, goûtons les qualités rédactionnelles de nos deux demoiselles : "La plupart des pays recensent et analysent très précisément tout signal inquiétant de sécurité, sans qu'à ce jour ne soient apparu de signal sur des apparitions de maladies dégénératives." (Les journalistes scientifiques sont, on pouvait s'y attendre, encore plus débiles et illettrés que les scientifiques eux-mêmes. Ce qui n'est pas peu dire et déplorer.)
31 mai 2021, 14:19   Gloubi glouba
"La plupart des pays recensent et analysent très précisément tout signal inquiétant de sécurité, sans qu'à ce jour ne soient apparu de signal sur des apparitions de maladies dégénératives...

Mais il n'est pas négligeable de signaler toutefois l'apparition de signaux de cas observables où peut s'observer très précisément l'apparition de certaines pratiques du discours organisé qu'on pourrait assimiler à une forme inquiétante de sécurité sous la forme recensée d'une incapacité à organiser le discours dans un mode fluide et appréhensible. Il n'y a toutefois pas lieu de s'inquiéter déraisonnablement.
31 mai 2021, 14:28   Re : Gloubi glouba
Citation
Roland Destuves
"La plupart des pays recensent et analysent très précisément tout signal inquiétant de sécurité, sans qu'à ce jour ne soient apparu de signal sur des apparitions de maladies dégénératives...

Mais il n'est pas négligeable de signaler toutefois l'apparition de signaux de cas observables où peut s'observer très précisément l'apparition de certaines pratiques du discours organisé qu'on pourrait assimiler à une forme inquiétante de sécurité sous la forme recensée d'une incapacité à organiser le discours dans un mode fluide et appréhensible. Il n'y a toutefois pas lieu de s'inquiéter déraisonnablement.

Hahaha, you made my day, cher Roland !
31 mai 2021, 17:48   Re : Mort aux vaches
Bien que de facture un peu pataude, je trouve pour ma part que le sens de la conclusion est parfaitement clair : parmi un nombre déjà considérable de vaccinés de par le monde, il n'a été à ce jour signalé par les organismes de santé aucun cas de maladies dégénératives pouvant être lié à la vaccination.
Clair, concis, net, c'est à prendre ou à laisser.

En anglais c'est expéditif :

Our rating: False

The claim that COVID-19 vaccines can cause prion and other neurodegenerative diseases is FALSE, based on our research. The claim originates from a paper (likely not peer-reviewed) published earlier this year that asserts the mRNA component of the vaccine causes prion disease. Neither Pfizer nor Moderna, both of which manufacture mRNA-based vaccines, reported cases of prion or other neurodegenerative diseases. The federal Vaccine Adverse Event Reporting System also has not received any such reports. Scientific experts have said Classen's claim is highly speculative and lacks actual proof.
31 mai 2021, 18:17   Parole d'expert
» Or se cultiver, s'éduquer, s'élever, se détacher du mode d'existence reptilien ou bétailler ne va pas sans effort

S'il est vrai que l'oisiveté est un état violent, elle se rapproche davantage du "mode d'existence reptilien" qu'elle ne s'en détache, car elle est la sorte de bandaison du jean-foutre.
Neither Pfizer nor Moderna, both of which manufacture mRNA-based vaccines, reported cases of prion or other neurodegenerative diseases.

Ouch ! Dans l'estomac les complotistes d'extrêmedrouâte !

Que les maladies neurodégénératives prennent des années, voire des décennies, avant de se déclarer, n'est pas dans les radars des "scientific experts" du Vaccine Adverse Event Reporting System, qui, franchement, ont autre chose à foutre que d'entrer dans ces considérations de complotistes néo-nazis;

Et que Pfizer ou Moderna ne sauraient par conséquent en faire état quatre mois à peine après la mise sur le marché de leurs concoctions ne devrait inquiéter que les mêmes conspirationnistes néo-machins, dont se rient les scientifiques véritables, évidemment.

Epoque de cauchemar.
S'il est vrai que l'oisiveté est un état violent, elle se rapproche davantage du "mode d'existence reptilien" qu'elle ne s'en détache, car elle est la sorte de bandaison du jean-foutre.

????
"Clair, concis, net "

My goodness ! I hope you are speaking about the english version because for the french version the word that you use to caracterised it, i mean when you write that this version is a littlle "pataude", let me laf all my soul because these women who translated this article write french like spanish cows, with all my respect.
"VAERS has received no reports of prion-related diseases, Alzheimer's disease, or amyotrophic lateral sclerosis (ALS) after COVID-19 vaccination,"

'tain ça serait quand même un monde, que l'Alzheimer ou la sclérose en plaques y se déclenchent et se manifestent en quinze jours. Alors là, là peut-être, il s'émeuvraient quand même un peu les savants du VAERS. Sinon, non. Si pas Alzheimer quinze jours après la picouze, circulez, y'a rien à voir. Ca c'est de la science ... pûûtain!
Dans la version française, on lit cet argument, troublant :


de toute façon, "les maladies à prions sont des maladies du système nerveux central. Ces vaccins sont injectés dans le muscle (...), pas injectés dans le système nerveux central", assène encore le professeur de chirurgie.

J'aimerais tenir le bras, dénudé, de ce professeur de chirurgie, pour lui injecter dans le biceps, n'importe quoi, le virus VIH, du Mojito fortement dosé en rhum, du liquide rachidien d'une vache morte folle, et le rassurer virilement, "t'en fais pas mon gas, ça va aller, t'as rien à craindre, ton cerveau ne risque rien, c'est seulement ton muscle qui va déguster".

Science d'arracheur de dents à l'ancienne.
31 mai 2021, 20:56   Time is money
Hé, peuchère, Francis, vous ne savez pas que tout s'accélère à l'ère du Covid ? Si vous croyez qu'on va attendre quarante cinq générations pour analyser très sérieusement les signaux inquiétants de sécurité non mais sans déc !
C'était quand, déjà, que nos élites responsables et sages prônaient "le principe de précaution" ? C'était au milieu du XIXe siècle ? avant Pasteur ? Comment se fait-il que je m'en souvienne et que je sois le seul à m'en souvenir? Je dois être un voyageur dans le temps.
Bien, les choses se présentent donc ainsi : quelques éminents experts ès scientificité et maladies dégénératives dues aux prions du forum de l'In-nocence affirment, avec Bigard (je l'aime bien celui-là, pardon) et autres sommités, que le vaccin Pfizer provoque des maladies neurodégénératives, s'appuyant sur le modèle expérimental du "parce que Montagnier l'a dit, c'est vrai, envers et contre tous ! ".
Dont acte.

En regard, il semble établi que sur les quelques milliard et demi (voire plus ?) ayant reçu à ce jour ce foutu vaccin à ARNm depuis les quelques 5 mois qu'il a été inoculé, on n'ait recensé aucune pathogénie de ce type.

Il ne reste plus qu'à se frotter les mains et attendre patiemment les dégâts...
Vous allez adorer cette vidéo du Dr Perrone, Alain, qui commente les pratiques du VAERS, entre autres:

[lbry.tv]

Je retiens mon souffle dans l'attente de votre réaction.
Si vous croyez qu'on va attendre quarante cinq générations pour analyser très sérieusement les signaux inquiétants de sécurité non mais sans déc !

T'as raison Roland. Alzheimer dans vingt ans on s'en balek. Dans vingt ans on aura réinvesti le flouze des vaccins dans des resorts de plage aux Bahamas, des clubs privés à Cancun et on vivra à Phukett sur un yacht dessiné comme le château de Chambord, entourés de gonzesses aux cannes fines et au cul nu doré à point.

On invitera Manu, qu'il faudra récompenser en gâteries. On lui dressera même une stèle à ce petit con s'il parvient à faire garder la muselière aux moutons jusqu'au vaccinodrome final.

Alzheimer... Alzheimer .. pffff ! On lui a fait savoir qu'on s'occuperait d'Al-Zemmour avant un an. C'est déjà pas mal non ? c'est qu'on sait soigner nos potes nous, question renvoi d'ascenseur ... mouarf !

A la tienne Roland !
02 juin 2021, 18:17   La grande plupart
C'est terrible, on lui donnerait le bon Dieu sans confession, au Pr Perronne... Je n'arrive cependant toujours pas à comprendre pourquoi en Israël, qui présente le taux de vaccinés le plus élevé au monde, la survenue d'effets secondaires n'"explose" pas : point de trous sphinctériens (!!!), de fuites urinaires, de razzias sur les couches-culottes, ou alors ce doit être plus costaud que les autres, un Sabra.
Non plus que je ne m'explique comment et pourquoi la plupart des médecins (et c'est une "grande plupart" de par le monde, quand même) dédaigneraient utiliser des traitements ayant démontré leur efficacité contre telle maladie, et ne hurleraient haut et fort comme un seul homme, puisque ce serait si expérimentalement avéré, que c'est ce qu'il faut faire, du moins dans les pays où les gens peuvent en principe dire ce qu'ils veulent, a fortiori quand il s'agit d'administrer les bons remèdes en période d'épidémie.

Attendons donc un déferlement de cas de vaches bien folles avant de se prononcer, moi je dis...
(Lu dans un twit: Depuis que ma voisine s'est fait vacciner, ma connexion 5G s'est nettement améliorée -- irrésistible. Même dans les pires moments, les Français conservent cette forme renversante d'humour à la Alfred Jarry. Un bon signe pour l'avenir)
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