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Du harcèlement scolaire à l’or olympique, la face cachée d’Alain Bernard

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
[www.lefigaro.fr]

«Une bande de petits caïds m’intimidaient en me menaçant: “On va t’attendre à la sortie, on va t’éclater.” Je ne demandais rien à personne, Je ne comprenais pas.» Le plus grand nageur français se dévoile dans un livre où il révèle avoir été victime de harcèlement au collège.

Je poste cette information que je trouve intéressante car je peux la lier à une expérience personnelle et à des discussions qui m'ont beaucoup marqué. Alain Bernard a 38 ans, j'en ai 51, et les gens de ma génération comme de la sienne témoignent souvent de la même chose : nous sommes très nombreux à avoir été, enfants, menacés, harcelés, agressés par des Arabes. Cela fut mon cas, au collège, où un pré-ado de mon âge avait inventé que je l'emmerdais pour expliquer pourquoi qu'il séchait les cours. Il avait, comme il se doit, lancé son grand frère à mes trousses. Ce dernier, un Arabe terrifiant, était venu rôder aux abords du collège pour m'intimider, au point que le surveillant général avait dû, un soir, me faire sortir par une porte dérobée. Ce surveillant général était connu pour sa sévérité envers les élèves, mais je n'ai pas oublié son inquiétude en évoquant la panade dans laquelle je me trouvais, du haut de mes 13 ans... En substance, le grand frère, sa famille même, était vraiment dangereux mais le collège ne pourrait pas faire grand-chose si rien ne m'arrivait en dehors de l'enceinte de l'établissement. Nous étions au début des années 1980, et, déjà, l'Éducation nationale, je m'excuse d'employer cette expression, se chiait dessus et était sous l'emprise de ces tarés. C'était avant l'islamisation de cette racaille qui a donc pourri la scolarité et la vie de millions de Français de ma génération (les journées passées à la piscine municipale étaient également marquées très souvent par la peur d'être la cible de bandes maghrébines).
Puis 30 ans plus tard, au fin fond de l'État de Pennsylvanie où je séjourne, chez un expatrié français originaire de Lyon, j'ai cette discussion étonnante avec les convives (nous sommes le soir de Thanksgiving) : tous sont français et TOUS ont subi les affres traumatisants de cette pesante présence arabe dans leur jeunesse. Ces gens-là, qui travaillent dans de grandes entreprises, sont guère politisés. Dix ans après, c'est dans les environs de New York que je réside. Une Française, grenobloise, m'héberge pendant un mois. Elle est très à gauche, active dans le petit domaine culturel, parle plusieurs langues, retape seule une grande maison. Elle découvre certaines de mes détestations, ce qui, me confie-t-elle plutôt délicatement, la fait hésiter à prolonger ma location. Le soir, pourtant, nous passons à autre chose autour d'une bouteille de vin. Et là, elle se tire toute seule les vers du nez et m'avoue, après m'avoir entendu parler de l'inimitié que m'inspirent les Arabes, avoir été harcelée au collège par une Maghrébine qui l'avait violemment prise en grippe en raison de son statut de "petite bourge" (parents docteure et ingénieur).
Au fond, même si l'Algérie était restée française, trois siècles d'entreprise de civilisation n'auraient pas suffit à rendre le gros des Algériens moins effrayant. Et c'est une malédiction d'avoir à se les coltiner au quotidien (ce que crient d'ailleurs les héroïques dissidentes de cette communauté).
07 novembre 2021, 18:30   Deborrah
Pardonnez-moi, j'y vais de mon couplet assez rebattu du "ça a toujours existé", et que les enfants et adolescents n'ayant pas à un moment ou un autre subi des sortes de "harcèlements" seraient plutôt une minorité : Törless fut terriblement chahuté ; je me souviens d'une nouvelle de Mishima, absolument glaçante, se passant dans un internat où les joies de l'ijime étaient complaisemment décrites ; le jeune Michel, sosie de Houellebecq dans Les Particules élémentaires, fut forcé de lécher une brosse de chiottes par ses gentils camarades, tous très blancs ; le garçon un peu efféminé de Thé et sympathie de Minelli ne dut son salut et sa revanche, à la fin du film, qu'au fait d'avoir été déniaisé par la femme du coach qui présidait la troupe de bufflons qui le terrorisaient (se payer la très comestible Deborrah Kerr, c'était bien joué !) ; moi-même, dans ma treizième année, avait commencé d'être pointé du doigt par une bande de petites salopes qui me trouvaient décidément trop joli pour être honnête (pas faux, du reste), et ne fus sauvé que par le gong d'une relocalisation à Paris, où ma scolarité s’écoula paisiblement dans une petite couveuse de fils de diplomates, surprotégé par ma déniaiseuse à moi, la fille du responsable du Mossad, toute petite et toute mignonne.
J'en passe et des meilleures : les ados ont toujours été de sales petites frappes, à de rares exceptions près, et je doute que les Arabes aient en l'occurrence inventé quoi que ce soit : il occupent majoritairement le terrain, soit, mais plutôt par une sorte de division du travail qu'autre chose...
Si un jour vous passez par Marseille, je vous emmènerai dans les parcs pour enfants que nous fréquentons, mon fils de 8 ans et moi. Puis vous regarderez qui emmerde qui, disons, 7 fois sur 10. (Curieusement, les 3 fois restantes sont souvent le fait de gamins de bobos, petits chieurs particulièrement sadiques et énervants.)
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