Enfin ma résidence... Celle où je vis et j'ai fait l'acquisition d'un bel appartement, dotée d'une vue proprement fascinante sur le massif de Marseilleveyre.
Résidence semi récente, habitée pour l'essentiel par de petits retraités, et située donc dans un quartier calme. Aucun souci les premières années (j'y suis depuis 5 ans). En 2018, arrivée en nombre de Guinéens et de Nigérians. En effet, les associations financées par le Département ne trouvant plus d'hôtels avec lesquels conventionner pour loger ces jeunes hommes au profil inquiétant (les services de la Préfecture confient à ceux du Département, eux-mêmes agressés, n'avoir jamais eu affaire à des étrangers aussi difficiles à prendre en charge), elles s'appuient habilement sur la législation vivrensembliste en vigueur et préemptent des studios inoccupés dans...des résidences, dont les loyers sont payés par la CAF. Vous me voyez venir : 5 studios "à vocation sociale" accueillent désormais des "migrants" dans ma résidence. Résultat des courses : bruit, odeurs, trafic de stupéfiants, squats dans les caves et garages, insalubrité à l'origine d'infestations de cafards et de punaises de lit sur deux étages, dégâts des eaux dus à l'explosion de conduites d'eau complètement bouchées par de la nourriture, vide-ordures bloqué par l'accumulation de couches et de bris de verre. Deux syndics de copropriété ont jeté l'éponge et 3 propriétaires sont partis après avoir chanceusement réussi à vendre leur appartement (le voisin de palier m'a avoué avoir tout caché à la personne à qui il vient de vendre).
Elle est pas belle la vie dans cette France-là, dans cet
asile ?
