Hong Kong n'a jamais confiné sa population comme l'ont fait les pays d'Europe et Israël en 2020. Quant aux mesures de quarantaine, elles n'ont été prises que cette année à Hong Kong et ne sauraient expliquer pareille disparité des taux de contamination entre les deux pays (bien
pays et non
cité s'agissant de Hong Kong, sans doute confondu avec Singapour par les journalistes).
Le port du masque sanitaire, courant depuis des lustres en Asie, ne saurait non plus expliquer cette différence puisqu'il est général en Occident depuis plus d'un an.
La seule explication doit être d'ordre épidémiologique strict et non sociologique ou politique, et je ne n'en vois qu'une: l'immunité naturelle au type de coronavirus SRAS acquise par la population de Hong Kong lors de l'épidémie de SRAS-1 qui a déferlé sur ce territoire il y a vingt ans fait toute la différence.
L'immunité naturelle protège vingt ans (ce qui était celle des vrais vaccins, qui n'étaient pas des injections ARNm); l'immunité artificielle des laboratoires charlatans imposant ces injections expérimentales à ARNm, moins de 20 semaines. Ce devrait être la grande leçon de cette histoire, qui ne s'étale pas sur 2 ans maintenant mais sur près de 20 ans.
Entre le naturel et son imitation vénéneuse, il faut choisir le naturel.