La race s'était déjà ouvert de splendides perspectives lors de la visite, en plein conflit et alors que les combats faisaient rage dans son pays, de l'innénarable Zélinsky à Klaus Schwab, destinée à lui prodiguer les assurances diplomatiques de rigueur sur ses intentions d'instaurer tout le tintouin davosien prôné par le grand prêtre du transhumanisme: identité numérique, pass de ceci et de cela, revenu universel, dépouillement des citoyens, contrôle non moins universel que le revenu du même nom, etc.
Klaus Schwab est un grand prêtre heureux. Le crypto-Lénine, ou crypto-Machin à moustache, qui sommeille en lui en est tout frétillant.
Pendant ce temps, Poutine, homme déconcertant de lucidité, annonce au monde que son combat n'est pas contre l'Ukraine mais contre le Nouvel Ordre Mondial.
Biden, aussi tremblotant, gaga et perdu que pouvait l'être un Constantin Tchernenko à la veille de son trépas, lui, annonce à Poutine que la destruction mutuelle assurée par échange nucléaire, ma foi, n'est plus qu'une question de temps et ne tient plus qu'à un rien.
Heureusement, il y a Disney pour nous distraire de toute ça, qui, lui, annonce qu'il va rattraper son retard en matière de promotion LGBT dans ses productions. On a failli attendre.