C'était Paris

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(La ressemblance avec Poutine n'est même pas relevée.)

Vous voyez du Poutine partout... Pour ma part je trouve que c'est assez désaltérant, comme idée, vert acide et malicieux, éphémère, et à la différence de Poutine, qui serait plutôt du genre con constipé, là ça pisse par tous les orifices, on se verrait bien s'y amuser par grande chaleur en courant sous les jets.

Je lis que la ressemblance avec Poutine, que je vois en effet partout et pour cause..., ne fait pas l'unanimité sur les réseaux sociaux. Bizarre, elle me saute aux yeux. En tout cas ces hommes-fontaine verts, en résine, cette histoire d'orifices, tout cela ne pouvait qu'être installé là, sous les fenêtres du ministère de la culture. La sérieuse idiotie de l'artiste écolo et ce que vous inspire son aqua-parc (piquer une tête quand il fait très chaud) attestent que bien des pages gravées en lettre d'or de la civilisation d'avant ont été tournées.

Ceci dit de façon générale, je ne vois pas pourquoi la notion même d'orifice serait en soi antithétique à toute idée de culture, ou même de beau... Au contraire, aurais-je plutôt tendance à penser, à part moi...

Mais je veux bien qu'il ne s'agirait ici que de joindre l'agréable au décoratif, un peu douteux certes, et que de beau, en l'occurrence, il ne saurait probablement être question...

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Dans ce fatras de massacres, on a tendance à oublier ces attaques effroyables, il est vrai à l'arrière-plan de celles commises chaque jour par Noirs et Arabes.

Qu'un Indo-Pakistanais sur le retour de 53 balais vous fonce dessus tout à trac avec une hache en pleine rue, cela interloque, j'en conviens...

Cela me rappelle un passage du Journal de Kafka : y est décrite une scène où un homme marche dans la rue d'une grande ville, tranquille et confiant, quand tout à coup, survenu de nulle part, fond sur lui un javelot qui l'atteint ; il s'affaisse, tombe à terre, mais n'est pas gravement blessé, se relève promptement pour faire face, scrute les alentours... Rien... On n'en saura pas plus...