C'est qu'il faut connaître du beau monde (Dieu), pour pouvoir être béat comme Spinoza : les avortons nerveux dans mon genre ne connaissent ni ne voient rien de cela, d'ailleurs ne voient rien du tout en fait, hormis ce que fait apparaître un tout petit éclairage intello-sensoriel de peu de portée et d'autonomie, qui est très insuffisant... Cependant, quelques restes d’élémentaire fierté, ou de prétention, ont toujours fini par me persuader que les autres, malgré de belles attitudes, n'y voient en réalité guère mieux...
Chercher anxieusement un peu de tranquillité et de repos est bien compréhensible, surtout physiologiquement, mais...
« Une âme un peu courageuse daignerait-elle accepter ou la fortune, ou le repos d'esprit, ou la modération, s'il fallait leur sacrifier la vigueur de ses sentiments et abaisser l'essor de son génie ? » (Vauvenargues)
Non !