On sait que jadis nombre de gauchistes virèrent abruptement à droite, dans un même combat, pour fusionner, se consumer dans le pire, comme dans un simulacre de petite mort, avant la grande ; il est distrayant de remarquer qu'actuellement nombre de "droitistes" bien droits dans leurs bottes éprouvent des frissons de plaisir anticipé à l'idée d'embrasser la plus coruscante des gauches dans un grand feu de joie.