Tableau

Avant probable interdiction définitive, mon tableau de la situation : n’a de rôle politique en France, ne gouverne et ne peut librement s’exprimer qu'une caste imposant aux indigènes des peuples qui, non contents de les grand-remplacer, les assassinent, égorgent, volent et violent un à un jour après jour.

Cette caste singe un fantôme. Quel fantôme singe-t-elle ? l'aristocratie prédatrice, "libertine" ,du siècle de Voltaire, dernier des siècles de sa domination.

Quelle est cette caste ? Une oligarchie née du capitalisme florissant des XIXe et XXe siècles convaincue que le temps est venu de mettre un coup d'arrêt à la machine capitaliste expansionniste toujours capable de faire naître une classe concurrente à la classe dominante et qui serait capable de se comporter, en quelque sorte, comme un Tiers-Etat du XXIe siècle. Ce Tiers Etat de la communauté mondiale est aujourd'hui représenté par les Brics et la Chine et, en Occident, par les aspirants à l'enrichissement à l'ancienne que sont les Elon Musk et autre Donald Trump. Bill Gates, qui n'est qu'un héritier, un rentier du logiciel devenant à présent rentier de la propriété foncière, est un représentant du camp économique de la néo-aristocratie: lui ne cherche pas l'enrichissemnt mais la domination politique et anthropologique (fabrique de l'homme) absolue.

C'est le programme de Davos: l'économie ne doit plus engendrer aucune classe montante, avide de s'enrichir ou de se désappauvrir, qui, motivée par cette avidité, pourrait se montrer capable de subversion, mais se faire "économie circulaire" afin que se fige la domination de la Caste issue des premières révolutions industrielles. Il est indispensable au désir politique de cette néo-aristocratie, singeresse des aristocraties de jadis, que se fige la poursuite de toute croissance économique, d'où l'insistance de Schwab et de ses mignons à vouloir, par exemple, la paupérisation des classes moyennes ("vous ne possèderez rien et serez heureux") et leur mise en dépendance économique (revenu universel, etc.). La pérennité de sa domination passe par la fin de tout essor entrepreneurial, susceptible de perturbation et d'effets impondérables pour l'Ordre mondial. Elle veut la fin du capitalisme de recherche du "profit maximal", et c'est ce qui explique le portrait de Lénine dans le bureau de Schwab.

La révolution industrielle que prône Davos, qui se veut "quatrième" du nom, n'a théoriquement point besoin de prolétariat et doit, pour pérenniser la domination des vieilles oligarchies portées par les précédentes vagues d'industrialisation (pétrole au XIXe et informatique au XXe), s'appuyer sur les robots et les cyborgs transhumains. C'est son pari. L'histoire de l'Occident, qui se confond, ces deux derniers siècles, avec l'histoire du capitalisme et de son expansion, doit s'abolir, se faire plane et sans histoire, trouver son inertie. Davos milite pour une fin de l'histoire et le génocide des Européens est l'instrument, tant pratique que symbolique (symbolique, puisque depuis presque un demi-millénaire, l'histoire mondiale se confond avec celle de l'expansion de l'Occident), de cette fin et finalité.

Le "Great Reset" est une entreprise utopique et génocidaire.

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Wono Camus
@WonoCamus

Avant probable interdiction définitive, mon tableau de la situation : n’a de rôle politique en France et ne gouverne qu'une caste imposant aux indigènes des peuples qui, non contents de les grand-remplacer, les assassinent, égorgent, volent et violent un à un jour après jour.

26 juil. 2022 à 3:56 AM

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» L'histoire de l'Occident, qui se confond, ces deux derniers siècles, avec l'histoire du capitalisme et de son expansion, doit s'abolir, se faire plane et sans histoire, trouver son inertie. Davos milite pour une fin de l'histoire et le génocide des Européens

Une question, Francis, si vous permettez : si Davos veut tant la fin de l'histoire et souhaite si ardemment disposer de peuples gelés qui n'auraient plus d'histoire, pourquoi s'échine-t-il à vouloir remplacer des peuples européens qui de toute façon sont manifestement en fin de course, d’histoire, apparemment exsangues et à bout de souffle, par des populations qui elles sont encore en plein dedans, jusqu'aux yeux, et qui sont donc capables de produire de l'imprévisible, de diverger et possiblement de progresser (précisément le "tiers état" dont vous parlez) en plein cœur de son fief ?
Si la veille carne fera idéalement l'affaire, tout amorphe, passive et robotisable qu'elle est, quelle mouche piquerait les davosiens de la vouloir irriguer et revivifier par du sang neuf, de l'humanité toute fraîche, pour ainsi dire, en pleine, turbulente et incontrôlable jeunesse, et encore si fortement traditionnelle ?
Quand Douguine vante si véhémentement la Tradition, c'est aussi, et peut-être surtout, vers les musulmans qu'il se tourne (voir à cet égard l'importance de René Guénon à ses yeux), comme civilisation encore vigoureusement et virilement historicisée, ce qui veut dire en somme : qui n'a rien perdu du fil de son devenir et continue de le parcourir et de l'affirmer, notamment contre Davos...

si Davos veut tant la fin de l'histoire et souhaite si ardemment disposer de peuples gelés qui n'auraient plus d'histoire, pourquoi s'échine-t-il à vouloir remplacer des peuples européens qui de toute façon sont manifestement en fin de course, d’histoire, apparemment exsangues et à bout de souffle, par des populations qui elles sont encore en plein dedans, jusqu'aux yeux, et qui sont donc capables de produire de l'imprévisible, de diverger et possiblement de progresser (précisément le "tiers état" dont vous parlez) en plein cœur de son fief ?

Les populations par lesquelles Davos ourdit (ce sont des complotistes authentiques) de remplacer les peuples européens sont économiquement passives, ne produisent rien, n'ont pas tradition d'entreprendre, sont des clients idéaux à la dépendance (c'est déjà le cas en France avec la CAF). Leur imprévisibilité répond à des constantes (violence, crime, rapine) aisément maîtrisables. Elles ne sont en rien subversives pour l'ordre mondial. Ne sont susceptibles d'aucune ambition organisée, d'aucun projet concurrent au NOM. La racaille est l'idiot utile de Davos. La terreur qu'elle fait régner prive peu à peu les populations européennes pacifiques de tout espace public utilisable par elles et c'est autant de pris pour la Caste néo-aristocratique enfermiste. Marx avait déjà démontré la chose (cf. le Lumpen) il y a cent cinquante ans et plus.

Quand vous dites que ces nouvelles populations "n'ont pas tradition d'entreprendre", c'est plutôt vrai, mais justement, étant encore traditionnelles et fortement arrimées aux roues d'une histoire en marche, elles sont susceptibles de changer et d'évoluer également sur ce point-là : les pays dont elles sont originaires sont tout de même, au regard de la marche accélérée de l'histoire en Europe, très en retard, et à moins d'invoquer une incapacité intrinsèque d'ordre bio-ethno-culturelle (pour faire simple : raciale), ce retard sera toujours susceptible d'être comblé d'une façon ou une autre, même si c'est au forceps et au détriment des indigènes, qui n'en pourront mais...

Et puis quand même : même si l'on voulait absolument que les candidats au Remplacement ne soient à jamais capables de produire que de la violence (ce qui reste à démontrer, et je ne peux ne pas penser aux premières vagues d'immigration aux Etats-Unis, surtout les Italiens, Irlandais et juifs, qui se sont tout de même spécialisés tout d'abord dans la délinquance dans des proportions effarantes (l'incroyable Murder Inc. fut chapeauté par le yiddishiste Lepke Buchalter que sa mère appelait Lepkeleh)), cette violence donc est en soi toujours subversive et à mon avis rien moins que "maîtrisable" : aucun ordre digne de ce nom ne peut tolérer que couvent en son sein des foyers d'incendie qui risquent à tout moment de s'embraser et de générer un chaos généralisé et une guerre civile, auquel cas il arrivera rapidement aux schwabiens (tels que vous pensez qu'ils sont) ce qui arriva à l'aristocratie submergée par la Révolution.

De ce point de vue, l'importation accélérée d'éléments allogènes pour asseoir son règne me paraît plutôt une folie, car à terme beaucoup trop dangereuse pour sa propre survie : tout au contraire, si le rêve de Davos est tel que vous le décrivez (ce que je ne crois pas, pour des raisons que j'ai déjà dites, mais c'est une autre question), si la "davocratie" ne vise qu'à tout figer dans une fin d'histoire allant sur son erre par seule inertie, du moins at home, alors elle devrait plutôt veiller à tout prix à la pureté d'une fin de race, me dis-je (ce qui semble presque un projet camusien)...