Réanimations en France

Impossible de restituer ici le feu roulant des cris d'Orfraie qui saturent depuis des semaines l'espace médiatique. Retenons celui d'un chef de service d'un hôpital francilien qui, hier, y était allé de son bon mot parfaitement insensé pour mettre la trouille à la France et se faire réinviter sur les plateaux télé : le nombre d'admissions en réa augmente de façon exponentielle... Avant cela, ce même monsieur avait osé la énième comparaison aquatique, ce coup-ci avec la montée du niveau de la Seine !
Or d'autres réanimateurs, que le catéchisme catastrophiste n'a pas encore rendu cinglés, expliquent qu'en gros, il y a réanimation et réanimation. Que près de la moitié des personnes nécessitant une oxygènothérapie sont hospitalisées dans des chambres classiques, d'hôpital de jour voire dans des salles de réveil.
Le cas de Bachelot est ainsi l'occasion de rappeler que 35% des près de 5000 malades en réanimation ne sont pas intubés. Ces gens sont conscients, passent leurs journées à pianoter sur leur smartphone et à regarder le plafond... 35% ! Les voilà l'apocalypse, l'enfer dantesque, l'abomination, l'horreur et la fin du monde : 2 foutues canules dans les narines.

D'autres petits chiffres puisqu'on y est. Le variant britannique, qui serait 70% plus contagieux que la première souche, a fait passer le taux de mortalité probable d'un sujet âgé de plus de 65 ans de 0, 09% à 0,14%. Vite, vaccinez-moi !

Je recommande l'édition du jour du JDD, où la tribune épouvantée de médecins regorge de comparaisons surenchéristes formidablement délirantes. Au hasard : la situation dans les hôpitaux de la region parisienne est pire que pendant les attentats subis ces dernières années. Celle-là, il fallait y penser !

(Je reviendrai sur le mensonge connexe au catastrophisme relatif aux réanimations, savoir : le fameux tri, ou chantage au tri, de patients, qu'il faudrait bien effectuer "pour sauver le plus de vies possible".)

Inutile de revenir sur l'odieux chantage au tri, les justes des hôpitaux de Paris tirent salutairement à boulets rouges depuis hier sur la clique à l'infect Martin Hirsh, ennemi de Macron qui très lourdement essaie de damer le pion à l'ARS. Cette clique qui ment comme elle respire par voie de presse et du soir au matin sur les plateaux télé, clique constituée d'infectiologues et d'épidémiologistes..., se fait actuellement descendre en flamme sur toutes les chaînes d'information par des chefs de services de réanimation.
Paris concentre vraiment les détenteurs de pouvoirs les plus médiocres et malfaisants (comme l'agressivité et l'idiotie, ça va souvent ensemble) du pays. Dieu merci, il existe des contre-pouvoirs actifs et sérieux pour couper la chique aux Caumes, Lacombe, Deray et autre Pialoux ("Des malades mourront sur des brancards").

La réponse des justes à la tribune des enfermistes publiée dans le JDD : [www.google.com]

Ci-dessous, un autre mensonge, concocté celui-là par l'Education nationale pour obtenir la fermeture des écoles. Les hôpitaux et les écoles sont commandés par des gens qui rêvent d'hôpitaux sans malades et d'écoles sans élèves. (En l'espèce, il est intéressant de noter que les prolos de l'hôpital et de l'école ne veulent pas se faire vacciner.)

[etudiant.lefigaro.fr]

L'école : à la lettre, c'est du jour au lendemain qu'elle est devenue LE problème de cette épidémie. Fascinant combien l'ouvert et le fermé sont délirés dans cette affaire.

How big are the blood-clot risks of the AstraZeneca jab?

[www.theguardian.com]



Plus cons que les Anglais ? Laissez-moi réfléchir...Non, vraiment, je vois pas !

"It is challenging to think of such low risks: when we have to count the zeros, all intuition goes. So what else has roughly a one in 100,000 chance for a young adult? We could choose from the risk of dying when under general anaesthesia, or in a skydiving jump, or, on the positive side, winning the Lotto jackpot if you bought 450 tickets, or guessing the last five digits of someone’s mobile phone number."