Suède : la première ministre reconnaît la victoire du bloc de droite et d’extrême droite aux élections législatives et annonce sa démission

Vais-je finalement pouvoir découvrir ce pays ? Je me doute que les conservateurs ne pourront pas reconstituer la Suède d'avant sa fulgurante transformation en un improbable territoire septentrional somalo-marocain. Mais de la visiter en sachant qu'ils sont à sa tête adoucira sûrement mon point de vue, mon appréciation des lieux.

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Comme d'habitude, on parle de "l'extrême droite", synonyme de fascisme et de nazisme pour les bien-pensants voulant effrayer les électeurs.
Quant à l'extrême-gauche, du moins en Suisse romande, elle est pudiquement nommée "la gauche de la gauche" car il ne faut surtout pas faire allusion au communisme et à ses dérives.
Donc, après la Suède voici l'Italie, avec Giorga Meloni, "l'étoile montante de l'extrême droite italienne", grande favorite aux élections générales italiennes du 25 septembre prochain.
Giorga Meloni, se présentant comme "femme, mère, chrétienne, sociale, nationale et populaire", est en tête de la coalition de centre droit, avec son parti "Frères d'Italie". Elle veut lutter contre l'immigration, l'islamisation de l'Europe, la domination LGBT mais soutient la famille traditionnelle et… l'Ukraine !