Communiqué n° 2070
mardi 11 octobre 2022
Sur le racisme et le bruit
Le parti de l’In-nocence observe avec intérêt que déplorer le bruit — et notamment le bruit des personnes qui parlent trop fort dans les lieux publics, dans les immeubles, les hôtels ou les transports en commun, sur leurs téléphones portables ou à leurs voisins, ou à des tiers éloignés, voire seules — est désormais considéré comme raciste (sic). Ainsi en juge le mouvement woke, ou wokisme, ou mcwokisme, qui est l’aile marchante du remplacisme global davocratique et la milice idéologique de son Bloc Génocidaire. Et c’est un bel hommage au racisme, aux races ou à certaines d’entre elles, les plus amies du silence.
Le parti de l’In-nocence l’a souligné de longue date, le bruit est une des toutes premières et des plus graves des nocences ; et le contrôle de sa propre voix, le souci de ne pas l‘imposer aux autres, le chuchotement ou le silence, sont avec les manières de table un de ces préalables à l’éducation sans lesquels elle n’est pas possible, non plus que la civilisation et la tranquillité publique. L’antiracisme woke, en assumant la défense d’un droit au bruit, et en revendiquant comme légitime ou vertueuse l’imposition sonore, au moins pour l’occupant, confirme qu’il est le promoteur décomplexé de la nocence sous toutes ses formes, dès lors qu’elle est bien l‘instrument du Grand Remplacement, ou génocide par substitution.