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Encore l' islam ...

Envoyé par Philippe Versini 
21 mars 2008, 15:21   Encore l' islam ...
Voici plusieurs années que je fréquente quotidiennement ce forum , et je me décide enfin à y participer , en vous soumettant cet article du Figaro qui devrait vous intéresser .

L'islam, première religion
à Bruxelles dans vingt ans

De notre envoyée spéciale à Bruxelles Stéphane Kovacs
20/03/2008 | Mise à jour : 22:40 | Commentaires 70

Aujourd'hui, un tiers de la population est musulmane et les jeunes générations sont plus pratiquantes.
La capitale européenne sera musulmane dans vingt ans. C'est du moins ce qu'affirme une étude publiée la semaine dernière dans le quotidien La Libre Belgique. Près d'un tiers de la population de Bruxelles étant déjà musulmane, indique Olivier Servais, sociologue à l'Université catholique de Louvain, les pratiquants de l'islam devraient, en raison de leur forte natalité, être majoritaires «dans quinze ou vingt ans». Depuis 2001, Mohamed est, chaque année, et de loin, le premier prénom donné aux garçons nés à Bruxelles.

«Il faut relativiser ces chiffres, insiste Mahfoud Romdhani, député socialiste et vice-président du Parlement francophone bruxellois. Les immigrés de pays musulmans ne sont pas tous musulmans ! Moi-même, je suis de culture musulmane, mais agnostique.» Olivier Servais se veut d'ailleurs prudent sur les projections à long terme, Bruxelles subissant des flux de population importants en tant que capitale de l'Union européenne.

Reste, constate La Libre Belgique, que «si leurs parents n'étaient guère pratiquants», pour faciliter l'intégration dans leur pays d'accueil, «les jeunes marquent un retour important vers le fait religieux». Quelque 75 % des musulmans s'estiment aujourd'hui pratiquants. Auteur d'Infiltrée parmi les islamistes radicaux *, la journaliste flamande Hind Fraihi va plus loin : «Les jeunes sont de plus en plus radicalisés, affirme-t-elle. Ils rejettent les valeurs occidentales, même leurs parents s'en inquiètent. À Bruxelles, il existe des îlots, comme Molenbeek, où l'on a parfois du mal à se croire en Belgique…»

Du bazar Tafoukte à la bijouterie Mohammed, les musiques du Maghreb envoûtent le passant. Encombrée de seaux en plastique multicolores, de chaussures de sport et de caftans chatoyants, la ruelle piétonnière du Prado conduit à la mairie de Molenbeek, le quartier marocain de Bruxelles. Presque toutes les femmes sont voilées et les commerçants parlent arabe. «On se sent mieux, ici, qu'en France ou en Espagne, assure Akim, gérant d'un magasin de vêtements. Peut-être parce qu'on est une grande communauté. C'est comme au pays !»


«Gestes de respect»

Il y a quelques années, raconte Philippe Moureaux, le bourgmestre PS de Molenbeek, «des musulmans sont venus me trouver : ils voulaient que je sois le “président” de leur nouvelle mosquée…». C'est dire si cet ancien ministre, pourtant agnostique, est bien vu par le «gros tiers» de musulmans parmi ses 83 000 administrés. Création d'un Conseil consultatif des mosquées doté d'allocations de la mairie, ouverture d'un abattoir municipal pendant la fête du sacrifice, présentation d'une liste électorale comprenant une majorité de musulmans… «Ce sont des gestes de respect qui m'ont valu la confiance de cette communauté, explique le bourgmestre. On a été très loin, certains disent trop loin. Mais pour moi, la seule solution, c'est l'ouverture.»

Selon Alain Escada, président de l'association Belgique et chrétienté, «on va d'abandon en abandon». «De plus en plus de cantines introduisent des menus halal aux dépens des chrétiens, déplore-t-il. Les autorités ne font plus leur travail : les politiques, qui, avec une vision à court terme, sont prêts à tout pour séduire un nouvel électorat, mais aussi le clergé, qui met les musulmans et les chrétiens sur un pied d'égalité, alors que c'est loin d'être réciproque : voyez cet archevêque assassiné récemment en Irak !»

Pour l'instant, «l'essentiel de l'islam belge est paisible et familial, souligne Olivier Servais, mais un jour il y aura peut-être une revendication claire d'islam. Je n'exclus pas des explosions sociales.» Des partis communautaristes, redoute-t-il, pourraient capitaliser sur le taux de chômage très élevé à Bruxelles (plus de 20 % de la population), qui frappe notamment la population musulmane.

Jean-François Bastin, un Belge de 65 ans coiffé d'un turban à carreaux et la barbe teinte au henné, s'appelle aujourd'hui Abdullah Abu Abdulaziz Bastin. Converti à l'islam, il a fondé en 2004 le Parti des jeunes musulmans. Abdullah ne serre pas la main des femmes. «C'est tromper Allah, lâche-t-il. C'est aussi tromper celle à qui l'on donne la main, en lui faisant croire que vous êtes égaux. Mais je vous fais un grand sourire !» s'empresse-t-il d'ajouter.


« Instrumentalisation »

Lui-même clame que les sourires, que certains politiques font aux musulmans ne sont qu'une «instrumentalisation grossière : Il y en a assez de cette sorte de néocolonialisme, s'emporte-t-il. Ils prétendent qu'ils vont nous défendre, et ensuite ils interdisent le foulard à l'école !». Aux dernières élections municipales, le PJM, qui ne se présentait que dans deux quartiers de Bruxelles, a rassemblé moins de 5 000 voix. «Nous pourrions prendre appui sur cette étude pour exiger plus de mosquées visibles, des appels à la prière, des cimetières, des écoles, des maisons de retraite…, s'emballe le converti. Moi je dis aux musulmans : “Perdez cet esprit de colonisé ! Les colons se sont fait bouter hors d'Algérie, c'est peut-être ce qui se passera ici.”» Les immigrés, conclut-il, en ont assez fait, et «même trop» pour s'intégrer : «c'est désormais à la Belgique de s'adapter».
21 mars 2008, 15:40   Re : Encore l' islam ...
Merci, cher Geronimo, mais je tiens à vous signaler que Marcel Mayer a été plus rapide que vous, voir plus bas sur un autre fil!

Mais bienvenu quand même sur ce forum...
21 mars 2008, 15:41   Lumière des Flandres
Vous allez nous désespérer Aline.
Parlons d'autre chose.
Je n'aime ni l'esprit ni la lumière du Midi. Par instinct, j'adore la lumière du Nord, celle qui laisse aux objets leur nature, la lumière qui éclaire les Flandres, qui rend l'eau des canaux froide et immobile, celle qui laisse la verdure verte, garde aux blancs, au bleu, au rouge des péniches dolentes leurs propres qualités, celle qui ne maquille pas, qui n'embellit pas par des artifices [...]
Vlaminck
Utilisateur anonyme
21 mars 2008, 16:31   Pratiquons "louverturisme" !
"Mais pour moi, la seule solution, c'est l'ouverture"

Quel fin visionnaire, ce bourgmestre. (Si ça continue comme ça, moi, j'vais faire comme Jean Robin : j'vais aller m'lâcher sur l'site F. Desouche...)
» Quel fin visionnaire, ce bourgmestre.

Je crains bien qu'on ne lui fasse le même procès qu'à archevêque de Cantorbury...
21 mars 2008, 23:03   Re : Lumière des Flandres
Quand j'entends Moureaux, j'ai envie de me faire Flamande!
« Je crains bien qu'on ne lui fasse, sur ce forum et à propos de cette citation, le même procès qu'à archevêque de Cantorbury... »
23 mars 2008, 19:50   Re : Lumière des Flandres
Recrudescence des agressions homophobes par des musulmans.

Bruce Bawer, auteur de While Europe Slept, parle de la recrudescence des agressions islamophobes aux Pays Bas et en Europe par des musulmans, et de l’aveuglement volontaire des autorités et autres bien-pensants qui blâment le racisme des européens et continuent de subventionner des groupes islamistes qui demandent « compréhension et respect » pour une religion qui prône l’exécution des homosexuels.

Le mois dernier, j’ai donné une conférence à Rome sur la manière dont la soi-disant idéologie libérale du multiculturalisme a rendu possible la diffusion en Europe de l’idéologie très intolérante de l’islam fondamentaliste, avec toute sa brutalité et - entre autres choses – sa violente homophobie. Quand je suis retourné à mon hôtel, j’ai appelé mon partenaire à la maison, à Oslo, pour apprendre que quelques instants auparavant, il avait été confronté à un arrêt de bus par deux jeunes musulmans. L’un d’eux lui a demandé s’il était homosexuel, il a commencé à sortir un couteau puis a frappé mon partenaire à coups de pieds alors qu’il montait dans le bus qui arrivait juste au bon moment. Si le bus n’était pas arrivé, la rencontre aurait pu être bien pire.

Il n’y a pas très longtemps, Oslo était une Shangrila verglacée de l’auto-discipline scandinave, de la gouvernabilité et du respect de la loi. Mais ces dernières années, il y a eu des changements sombres, y compris une hausse des raclées infligées aux homosexuels. L’été 2006 en a vu une vague sans précédent. Les coupables sont, de manière très disproportionnée, des jeunes hommes musulmans.

Il ne s’agit pas seulement d’Oslo, bien sûr. Le problème afflige la plupart des pays d’Europe occidentale. Et des données empiriques suggèrent que ces crimes sont dramatiquement sous-estimés. Mon propre partenaire a choisi de ne pas faire rapport sur les voies de faits qu’il a subies. Je le lui ai recommandé, mais il a protesté que cela ne ferait aucune différence. Il a probablement raison.

La raison de la hausse des attaques contre les gais en Europe est claire - et c’est la même raison que pour l’augmentation des viols. Comme le nombre de musulmans en Europe augmente, et que la proportion de ces musulmans qui sont nés et ont grandi en Europe augmente aussi, de nombreux hommes musulmans sont plus enclins à voir l’Europe comme une partie de la oumma (ou monde musulman), à croire qu’ils ont le droit et le devoir de faire appliquer la charia dans les villes où ils habitent, et de reconnaître que toute agression de leur part va probablement rester impunie. Ces hommes n’ont pas besoin d’être activement religieux pour penser qu’ils ont carte blanche pour assaillir ouvertement les hommes gais et les femmes non soumises, dont la liberté de vivre leur vie comme ils l’entendent est parmi les plus remarquables symboles de la défiance de l’Occident à leur loi sacrée.

Les multiculturalistes ne peuvent pas affronter tout cela. C’est ainsi que même quand il y a des agressions brutales contre les gais, peu de journalistes en parlent, et parmi ceux qui le font, peu mentionnent que les auteurs sont musulmans, et ceux qui l’évoquent prennent la position que c’est une réaction désespérée des agresseurs à leur propre oppression.

Peu importe que l’Europe, loin d’opprimer les musulmans, offre des libertés personnelles et des prestations de l’Etat-providence bien au-delà de celles qui sont disponibles dans n’importe quel pays musulman. Peu importe que peu ou pas d’Européens - certainement pas les homosexuels – attaquent les musulmans. Peu importe que les immigrants hindous et bouddhistes ou les immigrants en provenance d’Amérique du Sud ou de la Chine, ne se sentent pas dans l’obligation de réagir violemment contre leur « oppression ». Non, les agressions commises par les musulmans doivent toujours être interprétées comme défensives - comme des expressions non de puissance, mais de faiblesse, non d’agression, mais d’impuissance. Suggérer que les auteurs - loin d’être de fragiles et délicates fleurs qui ont été poussées au-delà des limites par quelque chose que nous avons fait - sont en fait des intimidateurs impardonnables mus par un sentiment de supériorité et une profonde méchanceté - qui leur ont été soigneusement enseignés à la maison, à l’école, et, oui, dans la mosquée - est verboten.

On connaissait la réponse : « Eh bien, des non-musulmans aussi tabassent des gays ! » Yep - en fait ils le font. Pourtant, depuis un certain temps, dans une grande partie de l’Europe occidentale, l’homosexualité était en passe d’être un faux problème. À Amsterdam, à la fin des années 1990, j’ai été agréablement surpris de découvrir que lorsque des groupes d’adolescents hétéros croisaient des couples homosexuels dans la rue, ils passaient sans aucune réaction que ce soit. La vue de l’homosexualité ne les bouleversait pas, ni ne les menaçait, ne les amusait, ou prêtait à confusion. L’envie familière de répondre à l’homosexualité ouverte avec une sorte de mot ou de geste dédaigneux de distanciation - et d’affirmer les uns aux autres et à eux-mêmes leur propre hétérosexualité - n’était tout simplement pas partie de ces enfants. Pour moi, ce fut une expérience remarquable. Amsterdam me semblait alors à l’avant-garde d’une nouvelle vague dans le progrès de la civilisation humaine.

Hélas, c’est maintenant très clairement l’opposé. Le nombre d’agressions contre les homosexuels à Amsterdam augmente maintenant régulièrement d’année en année. Presqu’à moitié musulmane, la ville est un front dans la lutte entre la démocratie et la charia, en vertu de laquelle, ne l’oublions pas, l’homosexualité peut être une offense capitale. Les choses sont devenues tellement mauvaises que même chez des gens excessivement politiquement correct, il y a un certain degré de reconnaissance que quelque chose a changé, et est toujours en mutation. Après qu’un groupe de musulmans d’Amsterdam a battu Chris Crain (mesurant 6’5), éditeur du magazine gay des Pays Bas The Washington Blade, le chef de l’organisation principale des Pays-Bas pour les droits des gays a admis que la tolérance de l’homosexualité dans cette ville s’échappait « comme du sable à travers les doigts » et que « les gais et les lesbiennes sont moins disposés à marcher main dans la main parce qu’ils pourraient être battus. »

Je peux témoigner que cela est vrai. Pourtant, les hommes politiques, les journalistes, les militants et d’autres qui s’accrochent à la mentalité multiculturelle n’arrivent pas à reconnaître les fondements islamiques de l’ensemble de ces brimades. Au lieu de cela, ils offrent le même type de non-sens qui a été servi par un porte-parole de Human Rights Watch après l’incident de Chris Crain. « Il y a toujours un degré extraordinaire de racisme dans la société néerlandaise », a dit le porte-parole. « Les gays en deviennent souvent victimes lorsque les immigrants ripostent aux inégalités qu’ils subissent. »

La volonté de se détourner de la pure et simple vérité est si puissante que le maire d’Amsterdam, Job Cohen, a récemment commandé une étude à l’Université d’Amsterdam. Son but ? Essayer de déterminer quels sont les motifs qui expliquent l’augmentation des attaques contre les hommes gais et les lesbiennes par les hommes marocains-néerlandais d’Amsterdam. « Certains chercheurs », a écrit un journaliste pour UPI, « croient que les musulmans s’en prennent aux gays après s’être sentis stigmatisés par la société néerlandaise. » En d’autres termes, comme l’experte norvégienne de l’immigration au franc parler Inger Lise Lien l’a dit de façon sardonique quand je lui ai montré l’article - « c’est l’agresseur qui est la vraie victime ».

Quant à Cohen, il semble fonctionner par pur cynisme. C’est le même maire, après tout, qui a appelé les Pays-Bas à accorder certains « accommodements » à ses résidents musulmans de sexe masculin, qui leur permettraient d’opprimer leurs épouses, leurs sœurs, et leurs filles - encore qu’il n’a pas été tout à fait clair quant à l’endroit où il faudrait tracer la ligne. (Les passages à tabac ? le viol ? le mariage forcé ? les mutilations génitales ? Les meurtres d’honneur ?) Compte tenu de cette extraordinaire preuve de pragmatisme, il semble prudent de supposer que Cohen serait également plus que prêt, au nom de la paix à notre époque, à détourner le regard avec une respectueuse discrétion lorsque des gangs de musulmans battent les occasionnels flikker.

En tout état de cause, un autre maire, le maire Ken Livingstone de Londres, a déjà flambé cette piste. En 2004, recevant le savant sunnite Youssef al-Qaradawi qui a appuyé l’exécution des homosexuels, Livingstone l’a salué comme un « progressiste ». Quand les militants gays lui ont reproché cette affirmation ridicule, Livingstone a riposté en rédigeant une longue dissertation dans un rapport qui blanchit Qaradawi et accuse ses détracteurs d’être racistes.

Alors même que les Européens en position d’autorité persistent à nier les faits évidents au sujet de l’attitude des musulmans envers les homosexuels, les leaders musulmans européens nous rappellent ce qu’est cette attitude. Prenez le norvégien Asghar Ali, vice-président du Conseil islamique de Norvège. Ali, qui détient également des postes de rang élevé au sein du Parti travailliste au pouvoir et de la puissante Confédération norvégienne des syndicats, et qui a travaillé en qualité de conseiller de l’Ombudsman du gouvernement pour l’égalité et contre la discrimination, semble être un modèle d’intégration réussie. Pourtant lors d’un débat en novembre 2007 organisé par l’association étudiante gay à l’Université d’Oslo, il a refusé de rejeter la peine de mort pour les homosexuels. Interrogé sur cette question, le chef du Conseil islamique, Senaid Kobilica, a déclaré que les musulmans norvégiens devaient en discuter et consulter les autorités religieuses.

« Pendant que ce processus est en cours », a dit Kobilica : « Je demande la compréhension et le respect pour le fait que je suis incapable de faire des commentaires, que ce soit au sujet de ma position personnelle ou quant à la position du Conseil islamique de Norvège. » Compréhension et respect, il faut le dire, pour son refus de dire clairement qu’il ne croyait pas que les homosexuels devraient être exécutés.

Peut-être que les musulmans éduqués et plus jeunes sont plus éclairés ? Un autre participant au débat à l’université d’Oslo, le président du Muslim Student Association, Usman Rana, a dit que personnellement il n’était pas favorable à rendre l’homosexualité un crime punissable de mort, mais qu’il ne critiquerait pas les pratiques d’autres pays. « Il y a malheureusement en Norvège une tendance à dénigrer les gens religieux », a dit Rana à Universitas, le journal du collège. « Elle est due à l’extrême laïcité parmi le public norvégien. Je souhaite sincèrement que notre participation [dans le débat sur la peine de mort pour les homosexuels] contribue à créer une vision plus nuancée de l’islam. Le public norvégien doit devenir plus libéral ». Encore une fois, ce sont les assaillants - ou, dans ce cas, les éventuels bourreaux - qui sont les véritables victimes.

Le public norvégien n’est peut-être pas encore assez « libéral » au goût de Rana, mais l’establishment européen l’est. Bien que le refus de Kobilica de condamner l’exécution des homosexuels ait provoqué un bref remous dans les médias, le gouvernement norvégien n’a rien fait pour retirer sa subvention annuelle d’un demi-million de couronnes (environ US $ 100 000) au Conseil islamique

Les responsables gouvernementaux et les journalistes continuent de traiter le Conseil islamique avec déférence, de le considérer comme la voix des musulmans, et de prétendre qu’il s’agit d’une voix modérée. Une fois l’affolement sur l’exécution des gays apaisé, les politiciens et les autres ont repris assez vite le mantra que l’islam est une religion de paix.

Ce qui se passe ici – et où ça s’en va – est très clair. L’Europe est en marche sur le chemin de l’islamisation, et elle est arrivée à un point sur ce chemin où les droits des homosexuels à la vie, à la liberté et à la recherche du bonheur sont directement remis en cause, tant par les intimidateurs sur la rue qui manient le couteau que par des voyous financés par les contribuables et qui jouissent déjà d’une autorité quasi-gouvernementale. La charia est peut-être encore un concept étranger à certains Occidentaux, mais elle regarde les gays européens droit dans les yeux - et pointe vers un futur qui fait frissonner tous les peuples libres. Pim Fortuyn a vu tout cela venir il y a des années, et la plupart des actuels dirigeants européens refusent toujours de le voir même si c’est juste devant leurs yeux.
Utilisateur anonyme
23 mars 2008, 20:05   Re : Encore l' islam ...
Ceci est très grave, je regrette que cela ne soit pas étayé par des références à des textes édités.
Utilisateur anonyme
23 mars 2008, 21:07   Re : Encore l' islam ...
« c’est l’agresseur qui est la vraie victime ».


Mais comment en est-on arrivé à ce renversement radical du bon sens... ?
25 mars 2008, 11:50   Out of joint
Bruce Bawer, auteur de While Europe Slept, parle de la recrudescence des agressions islamophobes aux Pays Bas et en Europe par des musulmans [...]
On y comprend plus rien.
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