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Lettre aux faces de craie

Envoyé par Gérard Rogemi 
22 mars 2008, 10:36   Lettre aux faces de craie
Je signale à Jean Robin que j'ai trouvé le texte ci-dessous sur le site américain et que je suis très reconnaissant à F. Desouche d'avoir mis la traduction de Petit Sanglier en ligne! Bravo Mr. Buchanan de nous rappeller quelques vérités bien sonnées.

Lettre aux faces de craie

Lettre de Pat Buchanan.

Traduite de:
[www.humanevents.com]
par Petit Sanglier

Je me suis posé la question: comment va-t’il y arriver ?
Comment Barack allait-il expliquer à ses fans de la presse pourquoi il est
resté assis sans rien dire sur un banc à l’église pendant 20 ans pendant
que le révérend Jeremiah Wright lançait des diatribes racistes contre
l’Amérique blanche justifiées par nos critiques de Fidel et de Kadahfi, ou
le SIDA, notre invention pour infecter et tuer les noirs.
Comment allait-il justifier ne pas s’être levé pour sortir alors que le
Wright crachait son venin sur “les Etats-Unis du KKK Américain” et hurlait
“Que Dieu maudisse l’Amérique” ?

Mon intuition était bonne. Barack allait retourner la situation.

Oui, Barack le concède, les déclarations de Wright étaient “sujettes à
la controverse”, “divisives”, et “avec une connotation raciale”, reflétant
une “vue déformée de l’Amérique”.

Mais nous devons comprendre l’homme dans sa globalité et l’impact de
l’origine noire du Révérend Wright: 350 ans d’esclavage et de
ségrégation.

Barack a ensuite produit une liste de griefs des noirs et nous a informés
sur ce que l’Amérique blanche doit faire pour combler la fracture raciale
et guérir le pays.

La “communauté blanche”, a dit Barack, doit “accepter que la souffrance de
la communauté Afro-Américaine n’existe pas uniquement dans l’esprit des
personnes noires; que l’héritage des discriminations et ses exemples
actuels, bien qu’ils soient moins ouvertement affichés que par le passé,
sont réels et doivent être traités. Pas seulement en paroles, mais en
actes…”

Et quels actes devons-nous accomplir pour nous guérir, nous et notre pays
?
La “communauté blanche” doit investir davantage d’argent dans les écoles
et les communautés noires, faire respecter les lois sur les droits
civiques, assurer l’équité du système judiciaire et donner à cette
génération de noirs des “échelles d’opportunité” qui étaient
“indisponibles” pour les générations de Barack ou du Révérend Wright.
Qu’est-ce qui ne va pas avec le diagnostique et le remède de Barack ?
Juste une chose. C’est la même vielle arnaque, la même vieux racket que
des escrocs noirs entretiennent depuis que la Commission Kerner a déclaré
que les émeutes de Harlem, Watts, Newark, Detroit, et une centaine d’autres
villes étaient la faute de, comme disait Nixon, “tout le monde sauf les
émeutiers eux-mêmes”.

Est-ce que le “racisme des blancs” était véritablement le responsable
quand ces homme noirs pillaient des concessionnaires automobiles et des
vendeurs d’alcool, quand ils brûlaient leurs propres communautés, comme
l’affirmait Otto Kerner avant qu’on ne l’enferme pour corruption.
Barack dit que nous devons avoir une conversation sur les races en
Amérique.

D’accord. Mais cette fois, il faut que ce soit un dialogue. L’Amérique
blanche doit être entendue, pas seulement réprimandée.

Cette fois, la majorité silencieuse doit faire entendre ses convictions,
ses griefs, et ses exigences:

D’abord, l’Amérique a été le meilleur pays au monde pour les personnes
noires. C’est ici que 600 000 personnes noires, arrivées d’Afrique dans des
bateaux d’esclaves, se sont développées en une communauté de 40 millions,
qu’elles ont découvert le salut chrétien, et ont atteint des niveaux de
prospérité et de liberté qu’aucun noir n’a jamais connu.

Wright devrait se mettre à genoux et remercier Dieu d’être Américain.
Ensuite, personne nulle part n’a jamais autant fait pour aider les noirs
que les blancs Américains. Des milliers de milliards de dollars ont été
dépensés depuis les années 60 en allocations, tickets repas, aides au
logement, aides financières, bourses d’étudiants, services judiciaires,
aides médicales, réductions d’impôts, et programmes de lutte contre la
pauvreté pour permettre à la communauté Afro-Américaine d’accéder à la
classe moyenne.

Les gouvernements, les entreprises et les universités pratiquent la
discrimination contre les personnes blanches - avec la discrimination
positive, les contrats réservés, et les quotas - pour avantager les
candidats noirs face aux candidats blancs.

Des églises, des fondations, des associations, des écoles et des
personnes partout en Amérique ont donné de leur temps et de leur argent
pour monter des soupes populaires, des groupes d’éducation pour adultes,
des garderies, et des maisons de retraite pour les noirs.

Nous entendons les complaintes. Où est la gratitude ?

Barack parle de nouvelles “échelles d’opportunité” pour les noirs.
Qu’il aille à Altoona et à Johnstown, et qu’il demande aux enfants blancs
dans les écoles catholiques combien d’entre eux ont reçu la visite des
recruteurs des universités d’élite distribuant des invitations aux
élèves blancs “méritants”.

L’Amérique blanche est-elle vraiment responsable du fait que les taux de
criminalité et d’incarcération des Afro-Américains sont sept fois plus
élevés que ceux de l’Amérique blanche ? Est-ce vraiment la faute de
l’Amérique blanche que 70 pour cent des enfants de la communauté
Afro-Américaine sont illégitimes et que l’échec scolaire des noirs dans
les lycées de certaines villes dépasse 50 pour cent ?

Est-ce la faute de l’Amérique blanche, ou est-ce d’abord et surtout un
échec de la communauté noire elle-même ?

En ce qui concerne le racisme, on en trouve la manifestation la plus
horrible dans la délinquance inter-raciale, et surtout dans les crimes
violents. Barack Obama est-il au courant que, alors que les délinquants
blancs ciblent des victimes noires dans 3% des cas, les délinquants noirs
choisissent des victimes blanches dans 45% des cas ?

Barack sait-il que les viols commis par des hommes noirs sur des femmes
blanches sont 100 fois plus fréquents que l’inverse, ou que les vols commis
par des noirs sur des blancs ont été 139 fois plus fréquents dans les
trois premières années de cette décennie que l’inverse ?

Nous avons tous entendu jusqu’à la nausée le Révérend Al [Sharpton]
parler de Tawana Brawley, de l’affaire du viol à Duke, et de Jena.
C’étaient des canulars. Mais l’épidémie de crimes noirs sur des blancs
est bien réelle, elle, et nous n’en entendons pas parler.

Désolé Barack, mais certains d’entre nous ont déjà entendu tout ça il
y a environ 40 ans et 40 000 milliards de dollars.

Ps. Je rappelle comme je l'ai déjà fait une dizaine de fois sur l'ancien forum qu'Hollywood dans une désinformation permanente et immonde veut nous faire croire dans ses films et feuilletons télévisés [voir Experts et co] que les plus grands criminels aux USA sont les blancs de la classe moyenne.
Utilisateur anonyme
22 mars 2008, 13:09   Re : Lettre aux faces de craie
"Je signale à Jean Robin que j'ai trouvé le texte ci-dessous..."

Oh, non... mais vous n'allez tout de même pas quémander de M. Robin l'autorisation de mettre en ligne tel ou tel de vos messages... ? - non ?
Ne vous faites pas de souci, cher D. Wagner, c'était ironique même si en relisant la phrase on peut en douter.

Don't worry ...
Utilisateur anonyme
22 mars 2008, 14:05   Re : Lettre aux faces de craie
Cher Rogemi j'étais moi-même très ironique (quoiqu'une mention du genre, "pas trouvé sur le site F. Desouche", pourrait nous éviter à tous les foudres de M. Robin (vous savez combien il est pinailleur sur ces questions...)).
Messieurs les ironiques, et les autres, je ne sais pas si on peut juger de la situation américaine à l'aune de notre situation française. En effet, alors que la ségrégation était encore à l'oeuvre là-bas dans les années 50, chez nous cela faisait belle lurette que les noirs jouissaient exactement des mêmes droits que les blancs. Il faut se garder je pense de plaquer sa propre grille de lecture sur des événements lointains, dans le temps ou dans l'espace, si l'on ne peut va tomber dans le piège de l'éthnocentrisme ou de ... tiens d'ailleurs, comment dit-on pour le temps ?
Mais personne n'a dit qu'il y avait, cher Jean Robin, en France, la moindre similitude avec la situation américaine

Mais on se doit de constater, que toute proportion gardée, le progressisme américain nous a amené pas mal de désagréments ces dernières decennies à commencer par le politiquement correct, sans parler de toutes les théories abracadabrantes avec lesquelles un nombre de plus en plus grand de noirs des iles ou d'Afrique s'identifient.

P.e. les pharaons noirs et tuttu quanti...
Permettez-moi, cher Rogemi, d'être parfaitement en accord avec vous. Champagne !
Utilisateur anonyme
22 mars 2008, 19:29   Re : Champagne
Bon, il ne faudra sans doute pas trop attendre pour le boire.....
22 mars 2008, 19:47   Viol
Cet article m'ouvre des horizons nouveaux :

"Barack sait-il que les viols commis par des hommes noirs sur des femmes
blanches sont 100 fois plus fréquents que l’inverse ?" y lit-on.

Avez-vous des détails sur la façon de procéder de ces dames ? je veux dire, les dames de l'inverse ?
Utilisateur anonyme
22 mars 2008, 21:06   Re : Viol
Ces racistes de blancs qui ne violent pas les femmes noires, c'est un vrai scandale !
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