Le site du parti de l'In-nocence

Page-loisir

Envoyé par Thomas Rhotomago 
17 novembre 2009, 23:34   Page-loisir
Dans le sillage du fil lancé par Bruno Chaouat, permettez-moi de vous proposer un moment-loisir sous la forme d'un jeu très simple qui consiste à disposer en un temps record d'un référentiel.

Pour cela, les joueurs citent simplement par leur nom, parmi les personnages qui se sont illustrés en tout temps et lieux comme champs d'action divers, ceux qu'ils déclareraient in-nocents. On ne parle pas des vivants.

Pour commencer, ne me paraissent pas équipés pour la nocence : Robert Walser, Emmanuel Bove, Jean de la Ville de Miremont, Franz Kafka, Villiers de l'Isle Adam, Saint-Jean de la Croix et Fernand Pessoa (activités diverses... hmm.)
17 novembre 2009, 23:40   Re : Page-loisir
Marcel Proust.
17 novembre 2009, 23:48   Re : Page-loisir
Paul Valéry.
18 novembre 2009, 01:21   Re : Page-loisir
Montaigne.
18 novembre 2009, 08:32   Re : Page-loisir
Ah oui, Montaigne, certainement. Je propose Montaigne comme saint patron de l'In-nocence.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 08:46   Re : Page-loisir
(Message supprimé à la demande de son auteur)
18 novembre 2009, 09:39   Re : Page-loisir
Platon.
Hegel.
18 novembre 2009, 10:04   Re : Page-loisir
Jésus
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 10:18   Re : Page-loisir
"Des hommes assez excentriques pour être et devenir vertueux en toute gravité se comprennent partout, se retrouvent sans peine, et forment une opposition silencieuse à l'immoralité régnante, qui passe précisément pour morale."


Ph. Lacoue-Labarthe / J.-L. Nancy, L'absolu Littéraire, p. 167.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 10:26   Re : Page-loisir
au panthéon des in-nocents :

Châteaubriand pour son conservatisme franc-tireur, sa modernité paradoxale, son dégoût des accomodements avec le pouvoir ?

Alexis de Tocqueville pour sa clairvoyance et son libéralisme ?

Monsieur Bolacre, a-t-on le droit de mettre des vetos ?



Modification : veto pour véto
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 10:49   Trio
Simone Weil

Georges Perec

Ernst Jünger
18 novembre 2009, 10:50   Noli Me Tangere
Aujourd'hui, Marie-Madeleine

Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 10:54   Re : Noli Me Tangere
Jacques Legras, on oublie toujours Jacques Legras.

18 novembre 2009, 11:24   Pour ne pas dire 36 000
Veto ? Je trouve que cela s'accorde mal avec l'idée de loisir. On peut fermer le ban à 36 noms, par exemple. On en tient 21, sans oublier personne.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 11:41   Re : Page-loisir
Vous avez sans doute raison, mais je ne pensais pas à mal : plutôt à une sorte de procès en in-nocence comme il y en a en béatification, pour donner matière à débat et raffiner la liste.
18 novembre 2009, 11:46   Re : Page-loisir
Avant le raffinage, l'extraction, non ?
18 novembre 2009, 11:49   Re : Page-loisir
» Platon.
Hegel.



Savez-vous bien ce que vous dites ?
18 novembre 2009, 11:52   Re : Page-loisir
Montaigne, oui, sûrement.
Brassens.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 11:54   Re : Page-loisir

» Platon.
Hegel.

Savez-vous bien ce que vous dites ?

voilà ce qui me faisait douter plus haut.
18 novembre 2009, 12:07   Re : Page-loisir
Ah oui, Montaigne. Je suis un fan de Montaigne. Il est toujours à mon chevet, et même toujours avec moi dans mon "pocket PC".
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 12:13   Re : Page-loisir
Malesherbes
18 novembre 2009, 12:16   Re : Page-loisir
Et de 23.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 13:06   Re : Page-loisir
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 13:07   Re : Page-loisir
(Message supprimé à la demande de son auteur)
18 novembre 2009, 15:03   Re : Page-loisir
Citation
Guillaume Audrige
Monsieur Bolacre, a-t-on le droit de mettre des vetos ?

Citation
Bernard Lombart
» Platon.
Hegel.


Savez-vous bien ce que vous dites ?

Et pourquoi non?

Par exemple :


- Platon, République VIII, 562e-564a :

Vois, par exemple, quand le père prend l'habitude de se comporter comme s'il était semblable à son enfant et se met à craindre ses fils, et réciproquement quand le fils se fait l'égal de son père et ne manifeste plus aucun respect ni soumission à l'endroit de ses parents. Dans quel but ? Devenir libre. Et pareillement pour le métèque [563a] qui se fait l'égal du citoyen, et le citoyen l'égal du métèque, et de même pour l'étranger.

― Voilà bien comment les choses se passent, dit-il.

― Oui, voilà les faits, continuai-je, et il y en a d'autres de même nature, mais de moindre importance. Dans ce régime, le maître craint ceux qui sont placés sous sa gouverne et il est complaisant à leur endroit. Les élèves, eux, ont peu de respect pour les maîtres, et pas davantage pour leurs pédagogues. On peut dire que généralement les jeunes conforment leurs gestes au modèle des plus vieux et ils rivalisent avec eux en paroles et en actions. De leur côté, les vieux sont racoleurs, ils se répandent en gentillesses et en amabilités auprès des jeunes [563b], allant jusqu'à les imiter par crainte de paraître antipathiques et autoritaires.

― Oui, exactement, dit-il.

(...)

― Et la conséquence principale de tous ces facteurs conjugués, repris-je, tu peux la concevoir : tout cela rend l'esprit des citoyens irritable, avec le résultat qu'ils se fâchent et se révoltent à la moindre occasion où se présente pour eux un élément de contrainte. Tu sais bien qu'au bout du compte, d'une certaine manière, ils ne manifestent plus aucun respect ni pour les lois écrites, ni pour les lois non écrites, tant ils sont désireux que personne ne soit, de quelque façon, [563e] leur maître.

― Je le sais trop bien, dit-il.

― Tel est donc, mon ami, repris-je, l'amorce belle et juvénile, à partir de laquelle se développe selon moi la tyrannie.

― Juvénile, pour sûr, dit-il, mais que se produit-il ensuite ?

― La même maladie, répondis-je, qui s'est manifestée dans l'oligarchie et qui a conduit à sa perte, se développe ici en raison de la permissivité qui se répand avec une ampleur et une force plus considérables, au point d'asservir la démocratie. Car de fait une action démesurée dans un sens a tendance à provoquer une transformation en sens contraire, que ce soit dans les saisons, [564a], dans la végétation ou dans les organismes, et cela ne vaut pas moins pour les constitutions politiques.





- Hegel, Encyclopédie des sciences philosophiques , t. III, "Philosophie de l'Esprit", add. au § 396 ; tr. fr. B. Bourgeois, Paris, Vrin, 1988, p. 435-436 :

Il faut donc que ce que l'adolescent doit apprendre lui soit donné avec autorité ; il a le sentiment que ce donné est, relativement à lui, quelque chose de supérieur. Ce sentiment est à fixer scrupuleusement dans l'éducation. C'est pourquoi il faut qualifier de complète absurdité la pédagogie du jeu, qui veut que le sérieux soit apporté aux enfants comme un jeu, et adresse aux éducateurs l'exigence de se mettre à la portée de l'intelligence enfantine des élèves, au lieu de les hisser au niveau de la Chose. Cette éducation par le jeu peut avoir, pour toute la vie de l'adolescent, cette conséquence qu'il considère tout avec un esprit méprisant. Un aussi triste résultat peut aussi être provoqué par une incitation à raisonner s'adressant aux enfants, telle que celle que recommandent constamment des pédagogues sans entendement ; par là, ceux-là acquièrent facilement quelque chose de suffisant. Assurément, la pensée propre des enfants doit être éveillée ; mais l'on n'a pas le droit de livrer la dignité de la Chose à leur entendement vain, sans maturité.
Pour ce qui concerne, plus précisément, l'un des côtés de l'éducation, la discipline, il ne faut pas permettre à l'adolescent de s'abandonner à son bon plaisir propre ; il doit obéir, pour apprendre à commander. L'obéissance est le commencement de toute sagesse ; car, par elle, la volonté qui ne connaît pas encore le vrai, l'objectif, et n'en fait pas encore son but, qui, pour cette raison, n'est pas encore véritablement subsistante-par-soi et libre, mais bien plutôt inachevée, admet-elle en elle la volonté rationnelle qui vient à elle de l'extérieur, et fait de celle-ci peu à peu sa volonté. Si, par contre, on permet aux enfants de faire ce qui leur plaît, - si l'on commet encore, par-dessus le marché, la sottise de leur donner des raisons pour leurs caprices, on sombre dans la plus mauvaise manière de les éduquer, - alors naît, chez les enfants, la déplorable attitude consistant, pour eux, à s'installer dans le bon plaisir particulier, dans les bizarreries du jugement, dans l'intérêt égoïste, - la racine de tout Mal. Par nature, l'enfant n'est ni bon ni mauvais, puisque, pour commencer, il n'a de connaissance ni du Bien ni du Mal. Tenir cette innocence ignorante pour un idéal et aspirer à y faire retour, serait de la niaiserie ; elle est sans valeur et de courte durée. Bientôt, se manifestent dans l'enfant le caprice et le Mal. Ce caprice doit être brisé par la discipline, - par elle, ce germe du Mal doit être anéanti.




Mais j'attends les raisons de votre surprise et vos objections avec grand intérêt.

J'en profite pour dire que, pour ma culture personnelle, je trouverais utile que chacun développe ses propositions par une citation ou une brève justification.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 15:13   Rappel
« Définie selon l'étymologie comme une absence (idéale) de nuisance, l'in-nocence selon Camus n'est pas un acquis mais, de même que l'éducation, un processus, un combat en soi et dans la société contre la nocence, que celle-ci se manifeste à l'égard des personnes ou qu'elle sévisse contre la nature ou le cadre de vie. Écologique par définition, le parti s'attache au nom de l'"In-nocence", à promouvoir et à défendre la sécurité et la tranquillité publiques, la propreté et l'intégrité du territoire urbain, suburbain et rural, le paysage dans sa beauté, la culture dans sa diversité et la langue dans sa complexité.

Le parti de l'In-nocence est constitué autour des valeurs de civisme, de civilité, de civilisation, d'urbanité, de respect de la parole et de fidélité à l'épaisseur stratifiée du sens. Attaché au caractère européen de l'Europe autant qu'au caractère français de la France, il est par exemple opposé à l'entrée de la Turquie dans la Communauté européenne, sans qu'il entre là la moindre hostilité à l'égard des Turcs et de leur pays. Un voisin désir de réinflux de sens au coeur des gestes et des phrases (et des diplômes) lui fait placer au centre de son programme l'Éducation, à ses yeux processus de tous les processus et principal instrument de l'in-nocence. »
18 novembre 2009, 15:16   Re : Page-loisir
Mais en matière d'in-nocence, l'allégorie de la caverne, si vous me permettez l'expression, se pose déjà là.
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 15:18   Legras
civisme, civilité, civilisation, urbanité, fidélité à l'épaisseur

Quand je vous le disais, c'est tout Jacques !
18 novembre 2009, 15:50   Justification
Je m'en suis déjà expliqué...
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 18:15   Re : Page-loisir
Cher Julien Fleury,

ne prennez pas mal mes réserves (ni trop au sérieux, je ne suis pas une autorité) : j'espérais moi aussi que celà conduirait à développer les raisons de ces choix.

On peut trouver entre Platon (le Cratyle !) (comme sans doute avec tout penseur de génie) et les principes l'in-nocence un dénominateur commun.
En contestant votre choix, je ne fais pas de Platon ou Hégel des nocents, mais je trouve les correspondances comme celles que vous relevez un peu trop lâches, et parfois contradictoires avec d'autres aspects et développements de leur pensée. Pour faire vite, et puisque vous le citez, le mythe de la caverne me parait bien peu compatible avec la bathmologie : l'idée platonicienne ne connait pas de spirale du sens ; Platon n'aurait jamais soutenu l'aphorisme d'Oscar Wilde cité dans l'autre fil.

Sans compter que la Turquie n'existant pas, il n'aurait pu s'opposer à son entrée dans l'U.E....
18 novembre 2009, 19:10   Re : Page-loisir
fra Angelico

18 novembre 2009, 19:42   Re : Page-loisir
Personne encore n'a proposé Valery Larbaud ?
18 novembre 2009, 19:48   Re : Page-loisir
Citation
Bernard Lombart
la propension du philosophe à vouloir régenter la cité, et ce, au moins, depuis Platon

L'idéal serait sans doute de n'avoir rien à "régenter", et que les hommes agissent d'eux-même sagement. L'idéal serait que chacun sache la nécessité de s'imposer à soi-même volontairement les contraintes formelles qui sont la source du beau et du bien. Mais il semble que la réalité ne s'accorde pas à ce vœu, et que l'essence même de l'in-nocence tient dans ce constat, contraire à la vulgate rousseauiste mais commun à Platon ou Hegel, qu'on ne peut se contenter de laisser être le monde tel qu'il est au naturel, et qu'il faut tenter de le "régenter". Je n'ai pas une connaissance de première main des thèses de Popper ou Arendt, mais il me semble que le refus du totalitarisme n'implique pas qu'on tombe dans l'interdiction d'interdire libérale-libertaire.



Citation
Guillaume Audrige
Pour faire vite, et puisque vous le citez, le mythe de la caverne me parait bien peu compatible avec la bathmologie : l'idée platonicienne ne connait pas de spirale du sens ; Platon n'aurait jamais soutenu l'aphorisme d'Oscar Wilde cité dans l'autre fil.


Quant à Platon, les spirales du sens qui découlent de l'indétermination de sa position d'auteur par rapport aux personnages de ses dialogues; l'ambiguïté particulière de son rapport à un Socrate lui-même atopos et à l'historicité ambiguë; le caractère aporétique d'une grande partie des œuvres; la différence des thèses apparemment victorieuses selon les différents dialogues; la multiplicité des hypothèses échafaudées longuement et ruinées brusquement; la façon dont le Parménide par exemple, en lui-même multiple et indécis, détruit comme en passant ce qu'on présente habituellement comme la base du "système platonicien", la théorie des Idées; la force donnée aux théories apparemment anti-"platoniciennes" d'un Calliclès ou des sophistes, toujours réfutés, toujours revenants; tout cela me paraît l'éloigner fort de tout dogmatisme totalitaire, et je soutiendrais bien volontiers qu'il est le prince des bathmologues...
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 19:51   Re : Page-loisir
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 20:01   Re : Page-loisir
(Message supprimé à la demande de son auteur)
18 novembre 2009, 20:14   Re : Page-loisir
Oh ! Cher Didier... Nous rejoindrions-nous là aussi ? Si je ne manquais aussi cruellement de talent pour écrire je vous narrerais mon récent voyage dans la région de Florence et cette effarante émotion de se retrouver sur le belvédère de Cortona, au sortir d'une si longue dévotion à l'une des annonciations de Fra Angelico, devant le même air du soir toscan ... J'avais choisi deux repères pour ne point trop m'égarer parmi ces fresques sublimes : le combat singulier au sein des mêlées pour les scènes guerrières et l'annonciation pour les scènes religieuses. Mon Dieu !...Que la vie est belle...
18 novembre 2009, 20:16   Nom
Spinoza.
18 novembre 2009, 20:20   Re : Justification
(Erreur de lien.)
18 novembre 2009, 20:21   Re : Justification
(Erreur de lien. Pas possible, ce doit être la faute à Phorum !)
Utilisateur anonyme
18 novembre 2009, 20:54   Re : Justification
Fra Angelico
Che è bello, molte grazie caro Éric !
18 novembre 2009, 21:37   Re : Page-loisir
Je crois que le choix de D. Bourjon mérite d'être renforcé: le texte en bleu posté ici par Agrippa se lit véritablement comme un manifeste confucéiste: l'éducation au centre du système et le respect des lieux (nature et société) tels qu'ils nous ont été légués et tels qu'ils apparaissent dans leur ordre de fonctionnement sont au coeur de l'enseignement confucéen. L'In-nocence et la Vertu confucéenne semblent se superposer jusque dans les termes de leur discours.
18 novembre 2009, 23:42   Re : Page-loisir
Robert Louis Stevenson ?
Utilisateur anonyme
19 novembre 2009, 02:44   Re : Page-loisir
(Message supprimé à la demande de son auteur)
19 novembre 2009, 03:51   Re : Page-loisir
» Je m'en suis déjà expliqué...

Mais je n'avais pas vu cette entrée !
Le grand penseur débagoulant et logomachant par devers soi pour, sitôt émergé, faire le geste d'interdire, c'est en effet amusant...
19 novembre 2009, 09:24   Re : Page-loisir
Dans ce cas, ajoutons Novalis.
Utilisateur anonyme
19 novembre 2009, 19:04   Re : Page-loisir
Cher Julien Fleury,

vous n'avez pas tout à fait tort et je suis très tenté de laisser à Didier Bourjon le dernier mot : sa distinction me parait heureuse.
20 novembre 2009, 19:21   Re : Page-loisir
32 - Ambroise Paré (un homme de l'art ne serait pas de trop au sein d'un tel cénacle.)


Il reste donc quatre places à prendre dans ce panthéon improvisé pour 36 in-nocents, ou plutôt, à mon avis, il en reste cinq. Sans vouloir entamer une controverse théologique qui me dépasserait, je suis un peu embarrassé par la présence de Jésus dans cette liste, non que je mette en doute son in-nocence (avec ou sans tiret d'ailleurs), mais les questions relatives à sa nature rendent, comment dire, disproportionnée son apparition au sein de cette liste "humaine trop humaine".
20 novembre 2009, 20:14   Re : Page-loisir
Stefan Zweig
Léon Tolstoï
Felix Mendelssohn-Bartholdy
Lao Tseu
20 novembre 2009, 20:32   Re : Page-loisir
Le soldat inconnu.
20 novembre 2009, 21:04   Arbitrage délicat.
Les 36 y sont.

Avec le soldat inconnu, s'il prend la place Jésus (cette substitution me paraitrait bienvenue.)
Utilisateur anonyme
20 novembre 2009, 21:39   Re : Arbitrage délicat.
le parti s'attache au nom de l'"In-nocence", à promouvoir et à défendre la sécurité et la tranquillité publiques, la propreté et l'intégrité du territoire urbain

Eugène Poubelle
20 novembre 2009, 23:36   Re : Arbitrage délicat.
Trop tard !
Utilisateur anonyme
21 novembre 2009, 12:56   Re : Page-loisir
Jamais pour L'homme invisible
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