J'en voudrais éternellement à Dominique Wolton d'avoir abusé de la gentillesse insigne de Raymond Aron par des questions grossièrement gauchistes dans le livre d'entretiens
"Le spectateur engagé" paru en 1981.
Avec son compére Jean-Louis Missika ils ont été irrespectueux vis à vis de Raymond Aron et ont fait preuve, comme dirait Alain Finkielkraut, d'une
"self-righteousness" progressiste insupportable.